Chapitre 4:

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C’était une très grande maison, en bois. On passait par derrière, avec une clé de voiture, je réussie à ouvrir la porte. Je rentrais, super ils étaient dans le salon de dos, super. J’avançais doucement, avec délicatesse, je pris mes armes. Et d’un coup j’en mis un derrière la tête de l’homme et l’autre derrière la tête de la femme.
- Coucou, dis-je avec un grand sourire. Vous pouvez vous retournez, je ne vais pas vous tuer.
Ils se retournèrent doucement.
-Enfin pas maintenant. Aller vous s’asseoir sur votre canapé.
Ils le firent.
-Vous savez qui je suis ?
-Nina ? Demanda l’homme.
-Gagné, vous savez la fille de votre fille, que vous avez lâchement abandonnée. Alors maintenant vous allez appeler les parents de mon père.
- On n’a aucun contact avec eux. Dis la femme.
-Ah oui ? Alors vous savez quoi, je ne suis pas votre fille, je ne vais pas vous laissez tomber comme sa, donc soit vous le faites, soit votre tête va faire BOUM !
-D’accord.
L’homme prit le téléphone, et composa le numéro.
-Oui, elle est là, et veut vous voir, vous aussi.
….
-D’accord, très bien.
-Ils arrivent dans 10 min.
-Très bien, nous allons donc les attendre.
10 minutes plus tard….
-Tient Nina, on vient de trouver ces deux personnes ! S’exclama Dereck.
- Très bien, lâche-les, je les attendais.
-D’accord, mais je reste avec toi, on sait jamais.
-Ok, et vous allez vous s’asseoir à cote des autres.
Avec Dereck, on s’assit en face. Et les deux couples en face. C’est vrai, qu’ils ressemblaient tellement à mes parents, ça me fit de la peine, mais je ne devais pas le faire montrer.
-Pourquoi étais ici ? Demanda le père de mon père.
-Pourquoi ? N’ait je pas le droit d’aller voir mes grands-parents chéris. Ah mais bien sûr que non, je ne peux pas, puisque vous voulez juste ma mort.
-C’est faux ! Cria la mère de ma mère.
-Ah oui ? Et abandonner c’est enfants ? C’est faux, aussi ? Vous saviez tous les quatre, comment j’allais être, vu les parents que j’avais.
-Et pourquoi c’est toi qui dois nous parler de cela, à moins que mon fils ne soit même pas capable de venir lui-même, il a bien du culot ! Dit ma grand-mère paternelle.
-C’est marrant, je sais d’où viens mon cote garce, de vous. Dis-je en la montrant.
-Je ne vous permets…
-Vos enfants sont morts.
-Non, ce n’est pas possible. Parla mon grand-père maternel. Pas eux, ils sont beaucoup trop forts.
-On les a assassinés, sous mes yeux.
-Nina… je voudrais te prendre a pare s’il te plait.
Je ne savais pas quoi faire, peut-être qu’elle disait sa, pour que les trois autres s’enfuient…mais je les retrouverais ou bien c’est important. Oh et puis merde.
-Dereck, tu les surveilles.
-Ok
Je suivais cette vieille femme, elle m’emmena dans une pièce, d’ados, la chambre de ma mère je présume.
-J’ai laissé la chambre de ta mère tel quel, quand elle est partit. En espérant qu’elle allait revenir.
-Vous n’avez rien fait pour qu’elle revienne.
-Je ne pouvais pas, ton grand père, ne voulait plus de ta mère, pourtant j’ai tout fait pour qu’elle reste.
-Mouais.
-C’est vrai, mais si je t’ai fait venir c’est pour ceci.
Elle ouvrit un tiroir d’une petite commode en bois, et sous le tiroir, il y avait une cachette, elle sortit un pendentif, avec une pierre précieuse rose pale.
-Ta mère m’a dit de te le donner le jour où tu viendras, et quand elle ne sera plus de ce monde.
-Elle le savait alors qu’elle allait mourir, tout le monde me dit ça.
-Ils savaient à quoi s’en tenir par rapport à leur relation et puis…toi.
-Comment sa moi ?
-Tout le monde te veut, déjà ta mère, tout le monde voulait se marié avec, mais alors toi, sa aurait était encore pire, c’est pour ça qu’ils voulaient te confier au gang de leurs meilleurs amis, ils savaient qu’eux, ça ne serait pas pour te marié ou quoi.
-Oui, c’est ce qu’on m’a dit. On m’a dit aussi que vous vouliez tous les quatre ma morts.
-Impossible, et même si les autres auraient voulu, je les aurais empêché, soit sur de ça.
-Mais qui auraient voulu les tuer ? J’en ai marre de tourner en rond !
-Je comprends. Tes parents avaient beaucoup d’ennemis. Mais surtout un.
-Qui ?
-Ta mère m’avait parlé d’un homme très riche, qui dirige un gang très connu, ils a beaucoup de filles autour de lui, très puissant. Il s’appeler Arturo je crois.
-Oh oui, je vois bien qui. Merci.
-Tu vas aller le voir ?
-Bien sûr, s’il a osé toucher à mes parents, il doit le payer.
-Tu ressemble bien à ta mère. Mais s’il te plait, viens me voir, j’aimerai apprendre à te connaitre, enfin quand je suis seule.
-Oui bien sûr.
On retourna dans le salon, personne n’avait bougé.
-Dereck, on part, c’est bon.
-Déjà ?
-Oui, j’ai quelqu’un à aller voir.
-Très bien.
- Au revoir mes chers grands-parents.
Et on sortit de la maison, on s’installa dans la voiture, j’étais côté passager, Dereck conduisait, les autres derrière.
-On va ou ? Me demanda Dereck.
-Pour l’instant chez toi, et je vous en dirais plus, une fois la bas.
Je m’endormis dans la voiture, après une heure de trajet on arriva enfin. Je fis un pat dans le salon, toute suite on me demanda chez qui nous irons la prochaines fois.
-Non que j’irais.
-Et c’est qui ? Demanda le père de Dereck.
-Le fameux Arturo.
-Mais tu es malade ! Crièrent tous ensemble.
-Non je veux juste une vengeance, maintenant je veux un ordinateur, je reviens dans 5min et vous pourrez admirer le spectacle.
Et je montais dans ma chambre, me préparée.

La Tueuse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant