chapitre 17:

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J’avais fait toutes les recherches besoin pour Dereck. J’allais le détruire, ceci est une promesse.
Mais avant toute chose, j’avais quelques affaires dont il fallait je m’en occupe. Ce n’est pas simple d’être la Tueuse.
Quelques misérables petits hommes, fessaient leurs lois dans les rues, la nuit. Ils ne savent pas le risque qu’ils en courent. Des hommes à mon oncle s’y sont déjà présenter, ils pensaient qu’ils étaient un petit gang de rien du tout. Faux. Certains ont était capturés et tués. C’est donc à moi la charge de rendre ces hommes inexistants.
Torturés ? J’aime ça.
Mourir ? Qui a peur de sois même.
Mon oncle a voulu que j’emmène certains de ces hommes, je lui ai dit oui. Mais malencontreusement, ils se retrouvent enfermés dans une cellule chez nous. Je sais faire le sale boulot, seule. Je n’ai besoin de personne.
Savez-vous pourquoi m’appelle-t-on Arley ? Les gens de la rue m’ont nommé comme ça. Ils disent que je suis aussi folle que cette Harley Quinn ou ce Joker. Personnellement ? Je trouve que leur folie n’est qu’un pourcent de la mienne.
Mon oncle a essayé de me faire taire cette folie. Et on y arriver. Nous avons trouvé la solution.
Je mets une robe évasé noir mi-cuisse avec un léger décolleté et des escarpins noirs. Un couteau à ma cote droit, et mon flingue à ma cote gauche. Je mets une petite veste en fourrure pour cacher mes armes et en met quelques autres cache dans la doublure. 
Un homme de mon oncle m’emmène jusqu’à l’entrée de la ville. Je vais faire croire que je sors d’une petite soirée seule.
Je marche dans les rues. Cette ville est tellement animé le jour, mais la nuit tout devient différents. On peut entendre quelques chats, chiens. On voit les lampadaires. Et biens sur ce vent, ce vent froid qui annonce la mort.
J’espère ne pas attendre trop longtemps, pour vite finir ce sale boulot. J’entends des pats derrière moi, ce n’est pas trop tôt, j’ai cru j’allais du aller les cherchés.
-Bah alors tu fais quoi ici toute seule ma jolie.
Je me fais un visage apeurée. Ils venaient m’entourés. Ils étaient 8. Tous en noir, avec une capuche pour pas les reconnaitre surement.
-Laissez-moi partir, je vous en supplie.
-Oh non, tu vas nous servir à nous vider, dis un homme.
-Oh oui tu allaire bonne en plus, déclara un autre.
Ils s’approchent. Me secoue. Me prennent par les bras. Je me débats.
Et merde, ils m’ont enlevé ma veste. C’est imbéciles n’ont même pas capté les armes sur moi.
Malheureusement, ma robe avait un grand décolleté aussi dans le dos, on pouvait donc voir les tatouages et très vite m’identifier.  J’essaie de tout faire pour pas qu’ils ne les voient, mais trop tard.
-Les mecs arrêtés, vous avez vu ces tatouages ; c’est la tueuse !
Ils arrêtent leur petit jeu et se mettent en ligne devant, les pauvres petits ont pouvait y lire de la terreur dans leurs yeux.
-Alors on ne joue plus ? Je leur demande en m’avançant.
Ils reculaient. Plus j’avance, plus ils reculent.
-Allez finissons en une bonne fois pour toute, vous savez que vous allez mourir dans tous les cas.
Ils se lancent des regards, ils montent un plan pour m’attaquer. Qu’ils sont bêtes !
Un homme vient pour m’attraper un bras, en me fessant tourner sur moi-même, pour qu’un me capture de dos. Dommage, je fais la roue et il reçoit mes talons dans son visage.  Quant à l’autre je m’approche, il sort son arme, mais je le désarme en lui donnant un coup de pied dans la main.
Je regarde les quatre autres, ils viennent m’attaque tous en même temps. Je sors mon couteau, le plante dans le ventre d’un. Ensuite je me retourne et donne un coup de pied puis un coup de poing dans la tête d’un homme. Les deux autres, je sors mon flingue et leur tire dans leur épaule. Tous sont par terre, je prends le premier lui lève la tête.
-Qui est ton patron ?
Il a du mal à répondre, du sang inonde tout son visage.
-Personne.
-Oh tu me prends pour qui ? Des hommes comme vous, c’est certains que c’est quelqu’un qui vous a engagez !
-Personne.
-Très bien.
Je lui plante mon couteau dans son tibia.
-Ça fait mal hein ? Mais attend d’avoir encore plus mal.
Je lui enfonce encore plus le couteau, et le tourne pour qu’il le sente encore mieux.
-Alors ?
-Dereck.
-Oh très bien.
Je mets une balle dans la tête de chaque homme.
Dereck voulait vraiment jouer, mais il ne sait pas à qui il a, à faire. Il me connait mal.


J’étais sur mon lit, je me souviens quand j’avais 9 ans, je n’étais qu’une gamine. Un gang m’avait capturé, j’avais peur, j’étais jeune, je pensais que quelqu’un allait venir me sauver. Mais personne. Pendant des jours j’ai étais torturés. Un jour à ce moment-là, je pensais mourir, ils étaient allés fort, je mettais endormi, je pensais ne jamais me réveiller et pourtant.
Mes parents m’étaient apparus, je leur avais sauté dans les bras. Ils m’avaient fait un câlin puis s’étaient mis à genou pour me parler, sérieusement.
-Ma fille tu sais qui nous sommes ?
-Oui papa, vous êtes les enfants de deux grands gangs du monde.
-Et tu sais pourquoi nous étions toujours en cavale ? M’avait redemandé mon père.
-Car on veut vous tuer, et me capturé dans leur gang pour m’avoir comme soldat.
-Très bien ma fille, avait commencé ma mère, on ta entrainer nuit et jour pour tu sois encore meilleure que nous, destructrice. Et là, tu pleures, tu te laisses faire et tu es prête à mourir. Notre fille n’est pas comme ça. Analyse, trouve des solutions, des points faibles, fais tout comme on t’a appris.
Je la regardais et dans mes yeux quelque chose changeait.
-Plus jamais je serais aussi faible, je me battrai, et je les tuerais.
-Bravo ma fille, avaient déclaré en même temps mes parents.
-N’oublie jamais ma fille, n’importe quel torture tu peux y résister, on ta former des petite pour ça. Deviens aussi folle que nous, pour tuer et torturés. Me disait mon père.
Je commençais à disparaitre, signe que j’allais me réveiller.
-Et ma fille n’oublie pas non plus aucun survivant, pense à toi, pas aux autres et fait tout pour que tout le monde est peur de toi, et nous serons fière de toi.  Déclarait ma mère.
Je m’étais réveillé sur la chaise après ce fameux rêve, un homme était devant moi et me balançais des seaux d’eau froide. Je pensais à ce que disaient mes parents. Je levai la tête et je lisais de la terreur dans son visage car il appelait les autres.
Et oui j’étais quelqu’un d’autres. Je les ai torturés chacun leur tour de la pire des façons, comme ils ont pu m’y faire. J’étais devenu complétement folle. Ma folie avait décuplé. Mon oncle était arrivé quelques jours plus tard, en trouvant enfin ou j’étais. Et quand il a vu le massacre, mais sur mon visage de la joie, un grand sourire et non de la peur, de la folie.
C’est là qu’on comprit.
La seule solution à ma folie pour la faire taire était de tuer. J’étais devenu une machine destructrice, a tuer pour le plaisir. Mais je savais que mes parents étaient fière de moi car j’ai réussi se qu’ils m’ont demandé.
Tout le monde a peur de moi, dans le monde.

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Désolé pour le gros retard et les fautes. J espère que vous allez aimer ce chapitre je voudrais  qu'on vois de plus en plus la folie de la tueuse. J'espère que vous en serez pas decu. Dites moi en commentaire. J'essaie de faire vite le prochain  chapitre.





















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