Gang Girl /w Justin Bieber TERMINÉ

Chapitre 13

Lorsque je me reveillais, Justin dormais encore, les paroles de mon frère me revinrent en tête, et je fit attention de me lever dans la plus grande discrétion. Je ramassais nos habits par terre, et fouilla les poches, mais il n'y avais aucune trace de la clé USB. Je vérifiait souvent pour voir si Justin dormais toujours et remarqua qu'il avait pris le préservatif dans la petite table de chevet. Avec un peu de chance, elle serait dedans. Je fis attention à ne pas faire de bruit, mais il n'y avait rien d'autre que des préservatifs dans ce tiroirs. Je sortir de la chambre, et allais chercher dans le salon. Sous les coussins du canapé, dans la corbeille de fruits, elle n'était nul part, et pourtant, il devait bien l'avoir poser quelque part.

- Cest ça que tu cherche ? Me fit sursauter Justin.

Je ne l'avais pas entendu sortir de la chambre, depuis combien de temps était il là ? Je me retournais vers lui. Il avait la clé dans la main.

Je me pincais les lèvres, cherchant une excuse.

- C'est ça que tu cherches ? Répond moi ! C'est ça ? S'énervait-il.

- Oui, dis-je d'une petite voix.

- Je savais que je ne devais pas te faire confiance. Tout ça, c'était prévu pas vrai ?!

- Oui, mais... tantais-je de m'expliquer.

- Tu m'as menti, et je parie que hier, la dispute avec ton frere c'était faux aussi ?

- Non, il n'était pas au courrant de tout ça, il n'y avait que mon père et moi.

- Quand tu disais m'aimer c'était faux aussi ! Tu n'as jamais rien voulu d'autre que cette foutue clé de merde !!!

Il avait les yeux rouge, je me rapprochait de lui pour le prendre dans les bras, mais il reculait.

- Non, ce n'est pas vrai, je t'aime, vraiment Justin. Si seulement cette clé pouvait ne pas exister.

- Tu sais quoi, tiens prends là. Comme ça ton père sera fier de toi vu que apparemment c'est tout ce qui compte pour toi ! Cracha-t-il.

- Jen veux pas ! Mes larmes se mirent à couler, et Justin jeta la clé à mes pieds. Je la rammassais, mais n'en voulais pas. Garde là. Elle est moins importante que toi à mes yeux. Alors si je ne peux pas t'avoir, je ne veux pas de cette clé.

- C'est de ta faute tout ça ! Tu voulais couché avec moi juste pour avoir ce que tu convoitais, la clé. Alors maintenant tu as ce que tu veux. Tu as gagné c'est tout.

- tu te trompe Justin ! Je n'ai rien gagné ! Au contraire j'ai tout perdu ! Je t'ai perdu ! pleurais-je.

- Tu me dégoûtes Jade, encore plus que toutes les meufs en chaleur avec qui j'ai pu coucher avant toi, mais toi tu en es une belle, une belle salope ! Maintenant tire-toi avec cette foutue clé, donne la à ton papounet chérie et ne cherche plus à me contacter.

- Justin s'il te plaît ... pleurais je.

- Dégage !! Cria t il.

Je pris mes affaires et partie en courrant. Dehors il pleuvait et je ne savais pas dans quel quartier je me trouvais. Je sortis mon telephone de ma poche et appelais mon père.

- Papa, reniflais-je.

- Jade ? Que c'est il passé, pourquoi tu pleure ?

- Vien me chercher, je ...

- Jarrive, tu es ou ?

- Je sais pas, dans le quartier de chez Justin, devant un bar, un peu bizarre

- Jarrive.

Je m'assi par terre sous la pluie, et attendis que mon père arrive. Une demi heure après environ une voiture de garais à côté. Mon père en sorti et je lui sautais dans les bras.

- Qu'est ce qu'il t'arrive ?

- Justin a compris pourquoi j'étais avec lui !!

- Mais hier soir, ton frère à vraiment cru à ton petit cinéma...

- Il est au courant ?

- Non je ne lui ai rien dit, juste que je m'en occuperais aujourd'hui.

Les larmes coulaient de plus belle, et mon père me serra dans des bras.

- Est ce que tu as pu récupérer la clé ?

Devais la lui donner ? Ou garder cette information pour moi ? Je pris la décision de garder cette clé pour moi.

- Non, il ne m'a pas laisser l'occasion de la lui prendre.

- Mais il l'a sûr lui ?

- plus maintenant, il a dit qu'elle était en sécurité.

- putain ! Est qu'il t'a touchée ??

- Non, il ne m'a rien fait, sechais-je mes larmes.

Oh qui si, il m'a fait plein de choses, qui sont toutes moins catholiques les unes que les autres. Et je dois dire qu'il est doué pour ce genre de truc.

- Je crois que tu te trompe sur lui. J'ai vu comment il est... et ce n'est pas du tout comme ça que je te le décrirais papa.

- Tu n'es pas sérieuse Jade ? Ce garçon est trop âgé pour toi et en plus c'est un coureurs de jupons qui plus est violent avec ses conquête.

- trop vieux pour moi ? Il n'a que 21 ans !

- Et tu en a 20. C'est ce que je dis, il est plus vieux que toi. Ne me dis pas que tu es tomber amoureuse de lui.

- Non, je ne suis pas amoureuse de lui, je dis juste qu'il n'est pas comme ça, en tout cas il ne l'était pas avec moi.

- Est ce que vous avez couché ensemble Jade ? S'inquiétait mon père.

- Non papa. Je n'ai pas couché avec lui, ni avec personne d'autre d'ailleurs.

Je ne sais pas comment j'ai pu lui mentir avec autant d'assurance pendant les dix minutes qui on précédé, mais il est la seule personne à qui je n'ai jamais réussi à mentir.

La voiture se gara dans le garage de notre maison, j'en descendais et mempressais d'aller m'enfermer dans ma chambre pour pleurer tranquillement, une fois de plus.

Je n'arrivais pas à sortir Justin de ma tête, à chaque fois que je croyais que les larmes se tarrissaient, une nouvelle vague me submergeait de plus belle, et je suffoquait seule dans ma chambre, dans personne pour comprendre ma peine. Je ne pouvais même pas appeler une amie, puisque je n'en avais pas.

Les jours passaient lentement, et je continuais d'aider mon père en allant chercher des paquets pour lui ou de l'argent. Et quelques fois quand j'étais seule dans la rue, je me mettrais à pleurer. J'espèrais le croisé et lui dire que j'étais tellement désolée. Je savais qu'il pourrais comprendre, mais je ne savais pas si il en avais envie. Moi j'avais envie d'être avec lui, et encore plus après notre nuit à deux.

...

Trois semaines, c'est le temps qui c'est écoulé depuis que mon frère ne m'adresse plus la parole, c'est aussi le temps qui c'est écoulé depuis la dernière fois où j'ai vue Justin. Il me manque. Quand il était avec moi, je ne me rendais pas compte à quel point il occupait de l'espace dans ma vie, c'est quand je me suis rendu compte que je ne le reverrais certainement plus. Tout me manquais chez lui, son odeur, sa voix, son rire ses yeux, ses tatouages, sa presence, tout.