Bellarke AU: Secrets {PAUSE}

Chapitre 17

PDV Clarke:

Je me réveillais péniblement sur ce vieux matelas qui me servait de lit depuis maintenant trois jours... Mon dos était douloureux mais c'était l'endroit qui me faisait le moins mal... Mon regard se perdit sur mes bras remplis d'ecchymoses et mes yeux se voilèrent. Une boule se forma dans ma gorge quand du bout des doigts je palpais ma paumette endommagée. Des souvenirs d'hier soir refirent surface et une larme s'échappa pour rouler sur ma joue...

Flashback:
La porte de la cabane s'ouvrit pour laisser entrer Enzo. Par instinct je me collais contre le mur voulant être le plus loin possible de lui.

-Salut mon ange ! Je te dis pas des gens m'ont pris la tête aujourd'hui donc j'ai juste qu'une hâte c'est de me détendre ! me sourit-il.

-T'approches pas de moi, murmurais-je.

-Chéri... Tu ne te souviens déjà plus de ce que je t'ai dis ce matin ? Je fais ce que je veux de toi, donc si j'ai envi de me défouler c'est ce que je ferais, ria-t-il avant de s'approcher de moi.

Il m'attrapa violemment par le bras pour me relever et je savais qu'un bleu serait là demain vu la force qu'il mettait dans sa poigne.

-Enzo...tu me fais mal...gémis-je.

-Oh c'est vrai ? Quel dommage, répondit-il avant d'attraper mon deuxième bras de la même manière que le précédent.

-Qu'est-ce que tu veux à la fin ? demandais-je.

-Déshabille-toi, dit-il simplement.

-Quoi ? Non ! m'exclamais-je.

-Je vais pas le répéter, rétorqua-t-il.

-Va te faire foutre ! crachais-je.

Cela me valut un coup de poing dans la joue. Je tombais par terre par la violence du choc et des larmes dévalèrent mon visage.

-Chéri, tu sais que je t'aime comme un fou mais je t'ai dis que je donnais les ordres et que tu les exécutais donc maintenant tu vas te déshabiller avant que ce ne soit moi qui le fasse d'une manière moins sympathique, menaça-t-il.

Mes sanglots redoublèrent quand je compris que je n'avais aucune autre option.
Une nuit de cauchemar venait de commencer.

Fin du Flashback

Une prière se créa dans ma tête pour que l'on me sorte de cet enfer mais comme mon karma est nul a chier, excusez mon langage mais il faut dire ce qu'il est, la porte de ma prison s'ouvrit sur le diable en personne.

-Salut chérie ! J'espère que tu t'es bien reposée car j'ai pleins de projets pour nous ! sourit Enzo en déposant un sac sur la table qui trônait dans un coin de la cabane.

Je ne répondais pas comme à chaque fois qu'il m'adressait la parole mais ça n'avait pas l'air de le déranger puisqu'il continuer son monologue sur sa vie barbante à New York.

-Tu sais qu'on va venir me chercher ? Tu ne pourras pas les duper longtemps Enzo, ils vont finir par comprendre, déclarais-je en le regardant.

-Tu parles de Scott et Bellamy ?

Il riait à gorge déployée et je me surprise à imaginer un couteau glissait sur celle-ci. Ça y est l'influence psychopathe d'Enzo déteignait sur moi.