Routine

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Avec youssoupha on avait encore pris nos distances n'empêche qu'on se parlait fréquemment mais c'était plus comme avant y'avait plus cette magie , cette envie , cet attraction j'en arrivais même à me demander si je n'avais pas rêvé ou truc du genre.

Quand j'y pensais sax ça me faisais rire quand les filles me disaient que mes yeux brillaient quand je parlais de lui ou que lui me disait « je sais que je te fais du bien » .

Sérieux nos discussions je ne sais pas comment dire étaient ennuyantes en un point que je me demandais de quoi on parlait durant tout ce temps quels étaient nos sujets de discussions ???

Ou qu'est-ce que je lui trouvais ???

Bizarre non ?

Après c'était au tour d'ibrahima . Ah celui là alors...

Un jour à la fac 11h aux alentour je me tenais en face du hall quand j'ai vu un mec de teint clair , grande de taille et un peu maigrichon mais rien de méchant. Il portait un bas jogging communément appelé jordan au Sénégal, avec une paire de baskets de couleur vert, un tee-shirt blanc . Il m'a directe attiré parce qu'après 4 mois de cours c'était la première fois que je le voyais , rien qu'en le voyant on pouvait aisément deviner que c'est un guinéen.

Je devais faire renf donc j'avais quitté le hall tout en priant le revoir encore. Le même jour vers 15h je l'ai vu sur un scooter c'est lui qui conduisait et j'étais plus accrochée moi qui adore ces engins et c'est ce qui lui a valu le nom de scooter dixit Garmy .

J'arrêtais pas de parler de lui aux filles mais bizarre il avait disparu je ne l'ai plus revenu jusqu'à vers 1 ou 2 mois sur le hall du côté de l'amphi A . Vu qu'il ce tenait là-bas et se faisait rare j'en ai déduit qu'il était en licence 3 puisqu'il ne faisait que 3 jours de cours.

Ce matin là il avait plut des cordes sérieux jamais pluie ne m'avais autant impressionné . Et poisseuse comme je suis il a fallu que je sois juste à la grande porte de l'ucad pour que ça commence les gens couraient dans tous les sens y'en avait qui se réfugier sous les arbres lol. Moi je marchais à mon rythme mais j'avais déjà un plan, me refugiais au pavillon A bâtiment le plus proche. Et sérieux je ne l'ai pas regretté , le vent soufflé comme une tempête bien vrai que je n'ai jamais vu de tempête mais je le qualifie ainsi vu que c'était énorme pour moi. Les gens tombaient et vite fais les rues du campus commençaient à se remplir d'eau et le niveau augmentait rapidement .

« désolée pour ceux qui habitent à la campagne ou en banlieue je veux dire par la ce qui assiste à pire que ça vous devez sûrement vous dire elle se fout de nous ou quoi ? » mais c'est comme ça que je l'ai vécu.

Ça avait plut genre 1h ou plus et je commençais à avoir froid avec la robette manchette que je portais oh. Après que ça s'est calmait je suis allée à la fac avec quelques camarades qui étaient dans la même situation. Arrivée là-bas je me tenais sur le balcon et j'ai vu un des vigiles faire de grands gestes auprès d'un scooter et là comme par magie scooter (la personne) débarque encore plus mignon avec un casque à la main il s'est dirigé vers le vigile et avait déplacé le scooter cette engin iper sexy dernière modèle je suis restée là-bas à le zyeuté jusqu'à ce qu'il repart à l'amphi quoi fallait quand même que je m'occupe vu que les filles n'étaient pas la et j'ai eu la confirmation qu'il était belle et bien en licence 3. Après ça les filles sont arrivées et je leurs ai dit que je l'avais revu .

Fa m'a dit qu'elle l'avait vu non loin de chez elle et qu'ils habitaient le même quartier. En parlant de lui il sortait de la fac avec son ami il était plus que sexy et il m'ont grave maté j'en ai même eu des frissons je vous assure. On se croisait plus souvent jusqu'au jour où il avait enfin décidé à faire le premier pas.

Chronique De Marie: À la Recherche De L' Amour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant