Une Ardente Attirance [ Terminé ]

15- Le danger

  Kathleen et son époux se promenait sur les collines.
A cet instant, un son venu du château lui fit dresser la tête, il se raidit
Le son s'éleva de nouveau

- la trompe... Quelqu'un donne l'alerte depuis les remparts !

  Edmund se tourna vers la mer, elle n'était plus vide.
Des bateaux approchaient, ils s'agissait des navires capable de transporter des soldats et des armes, ils se dirigeait vers Thornbeck.
La trompe retentie de nouveau.

- Les Écossais !
S'écria Kathleen

- Rentrez vous mettre à l'abri, vite !
Cria Edmund en poussant sa femme vers le château

- Je veux vous aider !

- Je dois aider les villageois, vous, dites a vos dames de s'enfermer.

Elle s'en alla, mais se promis de protéger son époux.
Edmund ignorait comment tout cela allait finir, il était prêt a verser le sang pour protéger le domaine et sa merveilleuse épouse qu'il venait d'épouser.
Il aida les villageois a se mettre à l'abri y compris Wat Hobson.

Quand tout le monde fut à  l'abri de l'enceinte du château, Edmund, Roberts et ses hommes étaient tous réunis au Donjon.
Ils attaquaient les grands navires de sir William Fleetwood: tous étaient descendus de leurs navires et avaient commencés a attaquer, mais le château de Thornbeck taillé en pierre était bien scellé, le tout se fermant sur une grande porte ronde de pierre taillé au fond du donjon.

Une heure plus tard, l'ennemi se retira et alla faire des campements.

- Nous avons abattu un bon nombre,
Commenta Roberts.

- Oui, mais pas assez.
Au matin ils seront frais et disposés dans un coin du château.
Surtout pense a poster des sentinelles partout au cas où ils chercheraient a profiter de l'obscurité pour nous surprendre.
Ordonna Edmund.

Réfugié dans un coin du château, Wat Hobson dissuader ses compagnons à voix basse...

- Qu'est-ce qu'on va devenir, hein ?
Je vous le demande !
Va-t-on attendre sans rien faire que les Écossais prennent le château et nous massacre tous ?

- Que veux tu faire d'autre ?
Dit Ben d'un ton las.
J'ai passé l'après-midi a soulever des braseros, je n'en peut plus !

- J'ai travailler aussi dur que toi, et je trouve justement que c'est pas normal !
N'est-ce pas aux gens du château de nous protéger ?
Ils se servent de nous pour exécuter leurs besognes , voilà tout !

- De toute façon, nous sommes coincés ici
Intervint un jeune pêcheur nommé Elvis Coran.
- Et je préfère encore rester auprès de ma femme, qui attend un enfant.

  Wat haussa les épaules
- Tous des poules mouillées, voilà ce que vous êtes !
- Vous savez quoi, on aurait mieux fait de rester au village, et de nous arranger avec les Écossais !
- Si cela ne tenait qu'à moi,
  
  Il baissa le ton pour dire:

- Pourquoi ne pas sortir d'ici ?
Je parle de nous les hommes, nos femmes resteraient à l'abri
Mon Gil connaît bien le château.
Je suis sûr qu'il pourrait nous indiquer une petite porte par laquelle nous évader.

- Et puis après ?
Dit Ben
Les Écossais ont dû s'installer chez nous, je me trouve très bien où je suis, et surtout pressé d'aller retrouver ma femme dans son lit !

- Moi aussi
Dit Elvis Coran en se levant.
Je vais rejoindre Mary, tu sais combien les femmes sont nerveuses, quand elles sont grosses....

  Wat les regarda partir, d'un oeil noir.
Ces deux là songea t-il, pensaient un peu trop à leur moitié.
Ce n'était certes pas lui qui laisserait sa femme décider de son sort.

Le camp ennemi

Lord David Fleetwood était en voyage depuis peu, c'est dont la raison pour laquelle il ne se trouvait pas auprès de son père.
Sir William Fleetwood avait modifié les plans d'attaque contre l'île du Nord, car premièrement, il savait que son fils n'aurait qu'en tête d'enlever Kathleen, et ceci aurait perturbé le cour des événements.
Deuxièmement, il ne voulait pas que David soit blessé, pire qu'il trouve la mort. Il n'aurait pas voulu perdre son garçon.
 
  Sir William s'exclama face à ses soldats, qui dépassaient ceux du château.

- Demain nous attaquerons très tôt, mais pour vaincre les Anglais, nous-s'y pénétrons à l'intérieur du château grâce à Wat Hobson.
Dit-il avec force.

- Cependant, ce Wat Hobson devra être notre premier mort, car les traites non aucune dignité !
Pensa sir William.

- La mort sera la récompense du traitre nommé Wat Hobson !
Cria-t-il

Les soldats acquiescèrent tous

- Mangez ! Buvez ! Prenez des forces pour demain.
Dit William d'un ton autoritaire.

Château de Thornbeck en média.