CHAPITRE 17

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PDV ANTOINE

Lemon en vue !!!


Je ne réfléchis pas quand elle me dit ça, je saisie sa nuque brusquement et l'embrasse fougueusement. Elle s'accroche à moi aussi fort que possible et je commence à descendre le long de sa clavicule, elle gémit doucement. Elle aime ce que je suis entrain de lui faire. Elle pose ses mains délicatement sous mon t-shirt, sur mon torse. J'en dégage un léger frisson, j'ai tellement envie d'elle, là, tout de suite, maintenant. Je n'attends pas plus longtemps et la porte jusqu'au lit, elle entrelace ses jambes autour de ma taille. J'attends quelques instants avant de la poser et continue de l'embrasser. Mes mains tiennent fermement ses fesses et je pose mes lèvres en haut de sa poitrine. Elle jette sa tête en arrière, comme pour me demander de continuer, alors je pose délicatement son corps sur le lit. Je descends jusqu'à son ventre. Je soulève son débardeur, elle frissonne et commence à rire.

- Tu me chatouilles.

Je ne relève pas sa phrase et je pose des baises sur son ventre, tout en remontant ma main vers ses seins. J'en effleure un de mes doigts. Elle gémit de plus belle, ses jambes bougent comme pour me dire qu'elle n'en peut plus, mais si elle savait elle n'est pas au bout de ses surprises. Je finis par empoigner l'un de ses seins et commence à le masser doucement puis de plus en plus fermement. Je sens ses seins se raidir au contact de mes mains. Je me fais de plus en en plus entreprenant, j'enlève complètement son débardeur et détache son pantalon. Je la regarde pour être sûr d'avoir son approbation. Elle me sourit tendrement, puis ferme les yeux quand j'extirpe son pantalon. Elle est devant en sous-vêtement, je dois avouer que pour une simple jeune de femme elle a tout ce qu'il faut, là où il faut comme on dit. Je caresse ses cuisses lentement, je sens ses doigts me caresser les cheveux. J'aime quand on me fait ça. Généralement c'est signe qu'une femme prend du plaisir. Je dépose des baisers dans son entrejambe, je la sens crispée. Je remonte à sa hauteur, je l'embrasse :

- Tout va bien ?

- Mmh mmh.

- Tu es sûr, il est encore temps de tout arrêter.

- Non, continue.

- D'accord.


J'embrasse son cou, je finis par la soulever et dégrafer son soutien-gorge. J'enlève le vêtement et découvre sa poitrine, à peine dénudée je m'empresse de saisir un mamelon et d'entamer une série de suçon. Elle gémit, elle tremble, elle se cambre sous moi. Je sens ma virilité se manifester à son tour. C'est très agréable. J'ai tellement envie de lui faire découvrir le plaisir de la sexualité.

Tout en embrassant ses seins, je descends ma main vers son intimité, je la touche d'abord avec la culotte, puis ma passe mes doigts sous sa petite culotte. J'entame une série de caresse au bord de son clitoris.

- Oh, Antoine, c'est ...

- Dis-le.

- C'est bon.

Alors que je sens son intimité s'humidifier, je décide de faire pénétrer un doigt. Je vois ses yeux s'ouvrir de surprise et elle souffle bruyamment comme-ci elle manquait de respirer.

- Chut, ça va aller. Ferme les yeux.

Elle fait ce que je lui dis et je continue de tourner mon doigt dans un seul et même sens de façon a l'élargir. Quand je la sens un peu mieux disposer je commence une série de va-et-vient. Je la sens toute chaude, toute humide. Elle est belle et si sexy comme ça. Je me sens tellement excité de la voir sous mon contrôle. Je me décide d'enfoncer un deuxième doigt. Elle a une fois de plus le souffle coupé.

- Tu aimes ce que je te fais ?

- Mmh...

- Tu as envie que j'aille plus vite ?

- Oui...

Dans ces moments là nous les mecs, ça nous pose aucun problème de tailler une bavette, on a même envie de créer tout un scénario avec des mots salaces, du genre : tu aimes ça salope... Bon ok, c'est un délire exclusivement masculin, mais dans ces moments on besoin de satisfaire notre égo. Elle commence à gémir de plus en plus fort, il ne faudrait pas que Didier nous suprême, alors je l'embrasse en même temps. Je sens son souffle chaud entre chaque baiser, elle ne sait plus où donner de la tête. J'enfonce mes deux doigts de plus en plus loin, elle repli ses jambes, elle atteindra l'orgasme dans quelques secondes si je continue, mais je m'arrête lentement. Elle ouvre les yeux et me regarde surprise.

- Il est hors de question que tu atteignes l'orgasme avec mes doigts seulement...

- Mais... Mais on ne continue pas.

- Je vais me laver les mains.

Je reviens quelques minutes plus tard, j'ai pris le temps de laisser se rhabiller et surement de s'essuyer elle était tellement mouillée.

- Anna je te vois, même si tu te caches sous les draps.

- Laisse-moi tranquille. Je plonge sur le lit et je suis à côté d'elle.

- Anna, arrête, je veux voir tes yeux.

- Non, je ne suis vraiment pas présentable.

- Et moi je trouve que tu as bien plus d'arguments que tu ne veux le prétendre.

- ...

- Allez enlève ça de ta tête. Elle remonte sa tête sur l'oreille mais cache ses lèvres avec le drap.

- Tu as aimé ?

- ... Elle hoche la tête.

- Tu te sens comment ?

- Bizarre...

- Tu étais tellement belle à voir. J'ai pris plaisir à te regarder.

- Arrête ça me gêne tout ce que tu me dis.

- J'ai encore plus envie de te faire l'amour maintenant.

- Mais ! Elle cache sa tête sous le drap.

- Tu n'aimes pas que je dise ça à voix haute ?

- Antoine, c'est dégueu !

- Tu étais très bien. Je t'assure.

- Mais, tu as tout fait.

- Et alors tu aurais pu te raidir, j'aurais pu te faire mal, tu aurais pu ne pas aimer.

- C'est possible ?

- Oui, certaine femmes ne ressentent absolument rien.

- Ah bon ?

- Dois-je en conclure que ce n'était pas ton cas ?

- ... Elle fait signe non de la tête.

- Tu es fabuleuse, et ton corps l'est aussi.

Je finis par perdre patiente, je me déshabille en caleçon et me mets sous les draps avec elle. Je suis ravi de voir qu'elle est encore en sous-vêtement. Une fois dans le noir complet :

- Antoine?

- Oui ?

- Je veux te dire un truc, mais c'est super gênant.

- Dis-moi.

- J'ai hâte.

- Hâte de quoi ?

- De devenir une vraie femme.

- Devenir une femme ou perdre ta virginité ?

- Antoine, arrête ! Tu sais très bien ce que je veux dire.

- Sache que j'a hâte moi aussi je te faire l'amour.


Je l'embrasse, puis nous finissons par nous endormir encore abattu par nos ébats. Dans tout ça je n'ai pas eu le temps de lui parler de ma recherche google et encore moins du fait que nous étions entrain de faire une énorme bêtise. La jeunesse est faite d'erreurs et d'insouciance, j'espère que je ne serai jamais une erreur de parcours dans la vie d'Anna...

Mot de l'Auteur :

Take my hand through the flames - #AG.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant