Mes pieds nu sur le carrelage froid

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Au cours de la nuit, je me suis réveiller en sursaut, ruisselante de sueur, le coeur battant à toute allure. Je me suis levé du lit, mon cadran, que je dois changer justement, affichait 3 heure du matin. J'ai contourné Molière qui dormais sur mon sac d'école que j'avais déposer par terre la veille. Je me suis pris d'autres vêtements, car mon pyjama était pleins de sueur et me frigorifiait, j'ai opté pour un chandail a manche courte noir et une paire de jogging gris , qui m'arrive aux genoux. Une fois changer, j'ai quitter ma chambre et parcouru mon petit appartement en frissonnant encore un peu. Sans vraiment m'en rendre compte, mes pas m'ont menés devant l'appartement 12. Ma main c'est soulevé et a posé trois coups bref quand même assez fort contre le bois massif de la porte. Comme si les coups m'avais réveiller je me suis rendu compte de où j'étais et devant chez qui, cette personne que j'ai rencontré qu'hier. Je suis devant chez lui et j'ai frappé à sa porte à 3heures du matin, a 3heures du matin! Je fou quoi ici bordel ! Mais pendant que je réfléchissais au pourquoi, j'entendis un déclic suivie d'un grincements, la porte était en train de s'ouvrir et moi j'étais plus capable de bouger. Et la plusieurs questions évidentes se son écrit dans mon esprit: Et si c'est pas lui qui me répond ? Et si c'est sa famille... ? Et si c'est lui mais qu'il est seulement en boxer ? Mais qu'est-ce que je fou la bon sang!?

La porte  s'ouvrit doucement laissant place à ... Sam, ouf c'est déjà ça, et il était habillé, une chance mes joues resteront blanches ... Ses cheveux sont en bataille une mèche retombant dans sa face. Il bailla en s'en décrocher la mâchoire avant de prendre la parole.

- Sérieux frangin, 3h ? non mais tu pouvais pas apporter t'es clés avec toi pour une fois ? dit-il froidement.

Je toussotai

-hum ... ce n'est pas ton frangin .. dis-je doucement.

Ses yeux grand ouvert,s'attendant sûrement pas à me voir la et à cette heure, ont fixer les miens.

- Tori ? que fais tu la ? dit-il surpris Déjà plus capable de te passer de moi ? qu'il rajouta le sourire en coin.

- Ne m'appelle pas Tori, Samuel. Lui dis-je, je me suis réveiller et.. je sais pas ce que je fou ici écoute je vais retourner chez moi....

- Non non .. ne part pas. Ya quelque chose qui ne va pas ? me demande t-il l'air inquiet. Entre rajoute Sam, tu va prendre froid... ses yeux fixa mes pieds un instant. Mes pieds nu en passant.

Après mainte protestation de ma part, Sam m'as pris par le bras et m'as fait m'asseoir sur son divan, après avoir fermé la porte évidemment qu'est-ce que vous allez vous imaginer? Il pris une chaise et la plaça devant moi et me fixa intensément.

- Aller crache le morceau, qu'est-ce qui ce passe ? Me dit-il toujours en me fixant, j'en ai déduit qu'il essaye  de gagner ma confiance avec son  truc d'yeux la.. Et maudit il m'as eu .. Alors j'ai dit d'une petite voix qui ne me ressemblait pas trop:

- J'ai fais un cauchemar... J'ai fermé les yeux, étant sur qu'il allais me dire un truc du genre, mais à quoi tu penses de venir me réveiller à cette heure pour un foutu cauchemar?! Mais à la place sa voix est devenu douce..

- C'était quoi se cauchemar? Tu veux bien m'en parler ?

J'hochai la tête et j'ai tout déballer, j'ai raconter ma vie difficile avec mes parents qui partaient tout le temps et qui sont jamais là pour moi, de ma merveilleuse grand mère, de la dixième marche, d'un gros chat aux poile gris et blanc et de toutes les petites choses qui me préoccupe, être assis en avant dans la classe, se faire interroger, le stress d'arriver en retard et tout une ribambelle de choses inutiles mais qui m'allégeais peu à peu tout ce que j'avais sur le coeur. Si bien que comme une débilos j'ai éclater en larmes, une vrai fontaine je vous jure, si ça avait été des larmes en chocolat on aurais pu faire une méga grosse fondu, si si même en pleine nuit. En moins de quelques minutes de pleurage intense, Sam n'en pouvais plus de me voir dans cette état lamentable et ma prise dans ses bras. J'ai pleuré de plus belle contre son épaule c'est gentil à lui de me la prêter, elle devint mouiller bien assez vite, pas son épaule mais son t-shirt, sur son épaule, tout le monde saisis ? Good. Mais c'est lorsque ses mains on glissées dans mon dos pour me caresser que je me suis figer. Je l'ai repoussé et j'ai séché mes larmes en me levant.

- Je rentre, merci pour m'avoir accueilli ici, dis-je froidement.

Je me suis retourner et suis partie dans mon appartement assez rapidement. Dans ma chambre le cadran affichait 5h35, je me suis glissé sous les couvertures en repensant aux yeux bleus si profond de Sam, il m'a juste regarder et pouf, je me suis confier. Je dois vraiment apprendre à éviter ses yeux, ils me font trop d'effets bizarroïde.. J'ai caresser la tête de Molière pour ensuite le pousser en bas du lit. Bah quoi ? Je déteste quand il viens de coucher dans mon lit, son poils reste suspendu en l'air pis rentre dans mon nez, pis maudît ça picote tellement!  Nan mais c'est vrai .. Je chasse l'air pleins de poils loin de mon petit nez fragile. Je ne sais pas pourquoi mais l'image de Sam apparaît dans mon esprit, ses yeux inquiet et son visage lorsqu'il m'a écouté raconter ma vie. J'ai tout dis de ma petite vie à un étranger que j'ai seulement connu hier, vous imaginez ? Non mais qu'est-ce qui m'as pris bon sang ... Je repense à ma douce grand-mère en laissant quelques larmes emplirent mes yeux et plonge dans les bras de Morphée en sentant la chaleur de ce peut-être pas si con de chat contre les draps frais.

Au grès du vent de ma vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant