Pdv~ Samuel alias Torchon
En entendant Tori crier qu'elle avait trouver où allait la clé j'ai foncer dans son appartement.- Où ça? Demandais-je à la hâte.
- La! Me répondit elle la radio au bout des bras me montra un trou.
Attend quoi? Dans une radio c'est impossible...
- Hum Victoria je pense qu'il est l'heure d'aller dormir, je sais que tu cherche l'endroit depuis longtemps mais là tu dois divaguer..
- Non ! Me coupa telle, regarde bien Torchon, ça à la forme de la clé!
Je m'approcha et elle avait bien raison, une encoche qui ressemblais effectivement à un trou de clé était devant mes yeux, sur une radio!
- Où c'est? Demanda les deux amoureux arrivant dans le salon.
- C'est la radio, dis-je
- Hein ? C'est pas possible! dit Frank.
Ils s'approchèrent et Tori montra encore une fois ça découverte.
- Wooooh mais c'est malade ça ! S'émerveilla mon frère
- Ouvre ! Rajoutais-je.
Je lui tendit la clé et elle l'inséra dans la radio. Un déclic se fit entendre, Tori ouvrit la petite porte et une lettre tomba sur le sol. Molière qui n'était pas très loin saisi la lettre entre ses crocs de gros chat. Les imbéciles que nous sommes essayèrent de reprendre la lettre mais on se rentra tous dedans.
- Molière! Lâche cette lettre tout de suite ! S'écria le demoiselle voyant son chat se diriger vers sa chambre.
Je l'a suivie.
Dans sa chambre, Molière, cacher sous un meuble, miaula. Il est coincer! Tori pris doucement la lettre pendant que je tenais le museau de Molière.
- La lettre a l'air vielle non? Constatais-je
- On s'en fou ptit frère, ouvre la Victoria!
Ce qu'elle fit. Elle sorti un vieux bout de papier de l'enveloppe, le déplia.
- C'est une carte au trésor ? Demanda Franck.
- Ça en a tout l'air, déclara Tori, mais qu'est-ce que c'est que ce cirque! Une carte au trésor et puis quoi encore!
Elle me tendit le vieux papier tout froisser et donna un coup de pied à la radio.
- J'en ai plus qu'assez!
Je déposa délicatement la carte sur la table base et la pris dans mes bras.
- Tori... Ne te met pas en colère ça ne changera rien du tout tu sais...
je la serrai super fort, je sentais qu'elle en avait besoin. Je caressais doucement ses cheveux, il me sembla l'entendre pleurer.
- Je suis plus capable Sam...
Je la serrai plus fort.
- Tu en as assez des secret n'est ce pas...?
Elle hocha doucement la tête. Au fond je la comprend, tous ces secret la rend dingue. Je lui dit tout simplement;
- Alors laissons la carte la pour le moment, d'accord? Elle sera toujours là demain, viens on va se coucher...
- Tu peux dormir avec moi..? Me demanda la demoiselle les larmes au yeux.
-Bien sûr Tori. Je lui souri et la pris dans mes bras comme une princesse.
À se moment précis, lorsque je vois la jolie demoiselle rougir d'embarras je sais que la carte est loin maintenant dans sa tête qu'il n'y a plus qu'elle et moi, ses yeux rencontre les miens et je me perd dans son si beau regard, elle me sourie tristement, mais je sais qu'elle se sens déjà mieux. Je la serre contre moi très fort et elle me rend mon étreinte, ses yeux brille et je me plonge dans son regard envoûtant. Je la dépose doucement par terre, oui parce qu'on a pas bouger hein, et je la prend par la taille en glissant une main dans son cou, je la sens doucement frissonner au contacte de ma main surement un peu froide dans sa nuque. Elle sourie doucement et franchi l'espace qui nous sépare pour déposer un doux baiser sur mes lèvres. J'ai les joue en feu et le coeur qui bat tellement vite que j'ai peur qu'il sorte de mon torse mais je suis le plus heureux des hommes et je ferme doucement mes yeux en serrant Tori contre moi et en lui rendant son tendre baiser. Il n'y a plus d'appartement ni Molière qui nous regarde de sur le divan ni même Franck et mon frère qui sont parti en douce par la porte, il n'y a plus que moi et ma Tori. C'est fou comme je me sens bien avec elle, je caresse tendrement ses doux cheveux en me disant que je suis à ma place, que je n'es aucune envie d'être à une autre place que ici et maintenant. Je me dis qu'elle est la personne qui me rend le plus heureux, je suis jamais plus moi que quand je l'embrasse, que quand on est tous les deux. C'est devenu ma raison d'être, je suis follement amoureux de cette magnifique demoiselle. Je remonte ma main contre sa joue et la lui caresse avec douceur, je me détache un peu de son étreinte, de ses douce lèvres.
-Je t'aime Tori!
Elle me regarde souriante, les yeux remplie d'étoiles, et je sais même si elle ne l'a pas formuler à haute voix,que elle aussi, mais elle me dit tout de même un sourire en coin;
- Je t'aime plus encore Torchon!
Je la regarde en rougissant, elle est tellement mignonne. Je la serre un peu plus fort.
- Et moi je t'aime encore plus que ça!
Ses joue rosisse et mon coeur accélère encore.
- Alors si c'est comme ça je t'aime plus gros que tout l'univers! Me dit elle en collant nos front l'un contre l'autre.
Yeux dans les yeux, mon nez appuyer contre le sien, je me fou bien de mon haleine, je sens mon coeur devenir fou. Je pose doucement un baiser sur son nez avant de lui dire que je l'aime plus gros que l'infini. Ses yeux s'illuminent et je peux sentir son coeur battre aussi vite que le miens, elle ne sais plus quoi dire, mais encore la elle arrive à me surprendre en disant qu'elle m'aime tout simplement et que ça vaut plus que tout.
Je suis sur un nuage, coller contre celle que j'aime dans un lit beaucoup trop petit pour moi, mais je m'en fiche. Je m'endors paisiblement avec ma Tori contre moi et même si ses cheveux me picote la face, je n'est jamais été aussi bien de toute ma vie...
VOUS LISEZ
Au grès du vent de ma vie
General FictionJe m'appelle Victoria, j'ai 17 ans , j'ai un enormisimement gros chat gris avec des mottes de blanc, d'ont je ne préfère pas vous parlez, à l'école je suis ce qu'on peut décrire comme une ombre, en fais je suis plutôt solitaire. Mais ça va un peu ch...