~ Pdv Samuel alias Torchon ~
Je recueilli dans mes bras une Tori tremblante juste avant qu'elle ne tombe en lui demandant qu'est-ce qui allais pas. Elle avait rageusement raccrocher aux téléphone elle l'avais encore dans sa mains fermement et ses jointures devenais beaucoup trop blanche. Je n'es jamais encore vu Tori fâchée et en même temps abattu.
- Je... j'ai... une petite sœur... dit-elle en me regardant sans savoir trop comment réagir.
Je vit un regard triste suivie d'une tonne de questionnement filer dans ses yeux. Je la colla contre moi et la soulevai dans les air, au lieu de son " pose moi Torchon !" elle me fixa et se laissa porter jusqu'à mon appartement. Thomas arriva tout sourire.
- Alors qui a décroché en premier? S'exclama mon grand frère. Puis il croisa mes yeux et vit Tori dans mes bras et son visage tout décomposer. Elle va bien ?
- Oh oui je vais très bien je viens juste d'apprendre que mes parents m'ont cacher l'existence de leur deuxième fille ! hurla presque Tori d'un ton que je ne lui connaît pas, les yeux pleins d'eau.
Thomas me regarda sans trop quoi dire. Je lui fit un regard pour lui demander de l'aider, en grand frère, il sait si prendre. Il déposa donc sa main sur celle de Tori en essayant de capter son regard pour la rassurer.
- Peut-être as tu mal entendu..?
Alors là bravo champion! Je le regarda férocement en sentant Tori céder encore plus dans mes bras. Je la déposa donc par terre et glissa mes mains contre sa taille pour la coller à moi. Je sais pas ce qui me prend de toujours la prendre comme ça ces temps si mais je peux pas m'en empêcher. Elle se blotti à moi cachant sa tête dans mon cou et je posais machinalement mon menton sur le dessus de sa tête en lui caressant les cheveux. Je senti Tori se détendre et Thomas leva un pouce en l'air, je le mitrailla des yeux.
- Peut-être que t'as pas tort Tom... dis doucement la jeune demoiselle aux cheveux noir dans mon cou, geste qui me fit frissonner légèrement. Tori se dégagea de moi doucement pour pouvoir expliquer mieux ce qu'elle voulais dire.
- Je leur ai raccroché au nez sans leur demander de détails.. Oui j'ai bien entendu mais, il doit y avoir une raison du pourquoi et du comment ... non?
- Veux tu les appelés? demanda mon frangin.
- Non non, demain, la je suis fru! et elle reprit sa place dans mes bras cette fois en entourant ses bras autour de mes côtes juste en haut de ma taille et son visage dans mon cou.
Surpris je n'ai pas bouger. Je l'ai finalement, après une courte hésitation, serrer contre moi en posant un bisou sur ses cheveux. Thomas souri à se doux geste de ma part et je le regarda en grimaçant.
Tori avait fini par s'endormir comme ça contre moi, des larmes de colère et un peu de tristesse sécher aux coin des yeux. Je l'avais doucement transporter dans son petit lit, mais elle ne m'avait pas lâcher et je m'étais coucher à ses coter épuisé. Plus tard Thomas était venu déposer les couvertures sur nous et j'avais ouverts les yeux doucement. Il m'avait chuchoté quand je commençais à me lever du lit qui n'était pas le miens.
- Tu devrais rester avec pour cette nuit... elle aura besoin de toi.
J'avais regarder avec de gros yeux mon frère en étant sûr qu'il plaisantait, disons qu'il aime bien niaiser sur le fait que je ne suis plus aussi stupide qu'avant ma rencontre avec notre voisine.. Mais son regard était franc et un peu triste. J'avais lu dans ses yeux qu'il aurait besoin de Frank en se moment. J'avais hocher la tête et m'étais recoucher près de Tori et Thomas était parti. J'aurais dû la mettre dans mon lit, songeais-je, c'est beaucoup plus spacieux. Je pris le temps de la regarder j'étais complètement réveiller maintenant. Je pris les couvertures et les remonta contre nous en essayant de la toucher le moins possible pour pas la réveiller. Ce qui m'a fois est difficile dans un aussi petit lit. Mes pieds dépassent le lit d'un bon pouce. Je soupirais en retournant ma tête contre l'oreiller. Le visage de Tori se dessinais dans le noir de la pièce devant moi. Ses cheveux en bataille coller sur son front, que j'enlevai doucement, ses yeux clos et sa douce respiration me fit l'effet d'un vent de fraîcheur et me fit tressaillir, comme c'est moments trop chaud de l'été mais rafraîchissant par une boisons remplis de glaçons. J'avais pas remarqué à quel point je la trouvais belle, Thomas avait peut-être raison... Je m'endormi quelques minutes après avoir glisser une main contre sa taille.
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Au grès du vent de ma vie
General FictionJe m'appelle Victoria, j'ai 17 ans , j'ai un enormisimement gros chat gris avec des mottes de blanc, d'ont je ne préfère pas vous parlez, à l'école je suis ce qu'on peut décrire comme une ombre, en fais je suis plutôt solitaire. Mais ça va un peu ch...