Rappel: Souvenez-vous, dans le dernier chapitre, Evan est venue récupérer Liv'. Ils ont passé la soirée ensemble à se faire des ... bisous-bisous XD, lol, et pour la première fois, Evan s'est confié sur son passé.
La suite de la soirée continue mes amours O_O <3 <3PS: Comme je l'ai dit, et je le répète, mon histoire comporte des scènes de sexes explicites. Vous êtes donc responsable de ce que vous lisez :) <3 Bonne lecture.
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Je marche à reculons jusqu'à atteindre la porte du côté passager. Evan se mord la lèvre inférieure. Ses yeux me dévisagent de la tête aux pieds et je lui lâche la main pour lui agripper le col du t-shirt. Sans hésitation,je tire dessus et lui vole un baiser impatient.
Ma main gauche vient trouver la poignée de la porte et je l'ouvre, puis tire sur le levier du siège afin de nous laisser un accès à l'arrière. Ça tombe bien.Je ne suis jamais montée derrière.
Il avance d'un pas, ses mains menaçant de me toucher les hanches. Mais je l'en empêche, et secoue la tête.
- Non, fais-je. Pas encore...
Evan fronce les sourcils.
Sans plus attendre, mes doigts agrippent le bas de mon débardeur, et d'un geste fluide et précis, je retire mon haut et le laisse tomber à l'intérieur de la voiture. Les yeux d'Evan s'écarquillent. Il se lèche les lèvres,en me contemplant puis, s'arrête longuement sur ma poitrine couverte d'une simple couche de dentelle. Je décide de jouer un peu. Je détache le bouton de mon short et le laisse tomber au sol.
A présent, je n'ai plus que mes sous-vêtements pour me cacher.
J'avance d'un pas assuré,puis me plante face à lui. Il paraît surpris, mais il n'est pas du genre à se laisser intimider trop longtemps.
Délicatement, je commence à relever son t-shirt à lui aussi. Il se laisse faire, l'air enjoué.Evan relève les bras afin de me faciliter la tâche.
Quand son vêtement tombe à son tour, c'est comme si la température augmentée d'un cran. Même dans le noir, les pectoraux ainsi que les abdominaux d'Evan sont visibles. Je me demande combien de fois par semaine fait-il du sport.
Mes doigts ne peuvent s'empêcher de trouver sa peau douce, juste à côté de son nombril.Je le frôle. Puis sans vraiment savoir pourquoi, j'empoigne la ceinture de son pantalon et l'attire un peu plus près vers moi. Mon cœur bat à la chamade, et mes idées se brouillent.
Je me hisse sur la pointe des pieds et embrasse tendrement son cou. Juste en dessous de son oreille. Il frissonne, ce qui me fait rire. Je commence à lécher sa peau avant de redresser la tête pour le contempler. Les lèvres pincées, le regard que nous échangeons est intense. Je sais qu'il a envie de me toucher, mais il se retient et je trouve ça adorable qu'il obéisse à mes ordres.
Je décide de ne plus le faire attendre et l'entraîne à l'intérieur du véhicule. L'espace semble se confiner face à son gabarit. Il est tellement grand que quand il prend place sur le siège, il se cogne la tête deux fois.Comme d'habitude.
Nous restons assis quelques secondes à nous observer. Lui, calé au fond de son siège, et moi,les jambes repliées sur le côté. La vue de son torse nu me donne envie de le toucher. De le sentir contre moi.
Sans plus attendre, je passe une jambe au-dessus de lui et m'assoie en califourchon sur lui. Ses mains me saisissent les fesses et m'aident à mieux me positionner.Je n'attends pas qu'il finisse de faire son geste que ma bouche vient chercher la sienne. Ma langue passe à travers ses lèvres et tourne autour de la sienne. Il me serre contre lui en me redonnant mon baiser. Sa respiration lourde s'abat sur moi. Instinctivement, je passe mes doigts derrière moi et dégrafe mon minutieusement mon soutien-gorge avant de le balancer en l'air. Evan lâche mes lèvres et commence à déposer de petits baisers sur mon cou, mon épaule,ma clavicule, jusqu'à ce que sa langue trouve mon sein. Il aspire d'un coup et un petit cri m'échappe. Ma poitrine se gonfle.
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Kiss me Slowly
Romance"Et si votre ami d'enfance n'était plus le même ? ... " " - Je... Je ne te reconnais pas Evan... J'observe avec insistance cette homme qui se tient face à moi tandis que l'angoisse me gagne et mes doigts chiffonnent le bas de mon débardeur trop...