Chapitre 21

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Je m'étouffe en toussant et me met à cracher du sang. Ingald leve soudainement la tête.
- Qu'es ce qu'il se passe ???
- Rien t'inquiète.

Nouvelle quinte de toux.

- C'est pas rien ! Regarde le sang dans ta main !
- Laisse moi tranquille Ingald.

Je le lève le laissant la; sans me retourner. J'entends derrière moi Ingald se lever, puis retomber impuissant sur le canapé. Je rejoins la sorcière qui m'attendait.
- Tu le blesse pour pas qu'il ne soit trop triste ? Ta façon de penser est bizarre.
- Pas vraiment, dit je simplement

Bell ouvre les yeux peut de temps après. Il s'étire, comme si tout allais bien. Puis tourne la tête vers nous.
- Oh. Mamono.
- Ouais Bell j'ai compris je te ramène chez toi.
- vous vous connaissez ?, demandais je surprise.
- Oui parceque ce crétin finis à tendance à se faire capturer trop facilement, au point que maintenant même les gens de son village ont arrêté de s'inquiéter pour lui.
- C'est méchant Mamono !
- J'ai tord ?
- .... Non.
- Merci de me donner raison. Pourquoi t'y retourne seulement ?
- Parceque c'est ma maison ?
- Tu sais même pas pourquoi t'y retourne ?
- C'est pas ça mais ça me semble logique.
- T'as pas l'impression que tes camarades de voyages, qui t'ont sauver en plus, semble plus inquiet pour ce qu'il t'arrive que ton peuple ?
- C'est pas la même chose..
- En quoi !!?

Je regardais la scène sans y prendre réellement part. D'après les propos de la dénommé Mamono, le peuple de Bell s'en moquait totalement de lui. je regarda Bell.
- T'inquiète pas. Si tu changes d'avis, tu pourras toujours resté avec Ingald.

Mamono me regarde étrangement. Bell lui se jete sur moi.
- Je t'adore Mizumi !
- Moi aussi je m'adore de temps en temps, dit je en rigolant
- Bon allez vous couchez je vous emmène demain.
- Ouah merci Mamono !, dit Bell en se jetant sur elle, l'ours derrière
- Me fait pas changer d'avis Bell.

Je rigole. Mamono se dirige vers la salle où tout le monde dormais et les font s'élever dans les airs. Nous la suivons. Ingald ne dit pas un mot, Bell est devant en train de complimenté Mamono et de rigoler avec elle. Le sort fait que je me retrouve dans la même chambre qu'Ingald. Autant dire que Mamono l'as fait exprès. Je me jette sur le lit moelleux qui ondule son mon corps. Ingald s'approche et viens s'allonger à côté de moi. Le silence s'installe. Soudain il met la main dans sa poche, prend la mienne et y dépose quelque chose.
- C'est quoi ?, demandais je.
- Regarde.

Je me redresse et dans le creux de ma main se trouve désormais un collier. Il es composé d'un pendentif en argent en forme de tube ouvragé, monté sur un cordon multibrins en organza et en coton ciré noir.
- Ouah il est magnifique ! Mais pourquoi ?
- Pour que tu penses à moi. J'espère qu'en étant près de toi tu ne te fera pas tuer.

Je rigola d'un rire nerveux.
- Merci c'est gentil.
- Je te l'attache ?
- Je veux bien.

Ingald attacha le collier ras de cou avant d'embrasser mon cou. Il se lève et se dirige vers la bougie avant de la souffler. Elle vacille et s'éteint.
- Bonne nuit.
- Bonne nuit Ingald.

Il remonte sur le lit et s'endort presque instantanément. Je fais de même. Le lendemain matin, j'entends un rire étouffé et après quelque minutes un "click" peut sonore et un cris. Je me lève tant bien que mal capturer par Ingald. La je découvre mon téléphone sur le sol, allumé et Nyalen dans le coins. Je m'abaisse pour le prendre et découvre une photo de moi et Ingald endormis paisiblement dans les bras de l'autre. Je rougis. Lorsque je me retourne pour parler à Nyalen; elle avais disparu. Elle avait pas attendu que je reprenne mes esprit et c'etait juste enfouis. Je regarde à nouveau la photo. Je rigole. Machinalement je la met en fond d'écran et range mon téléphone dans ma poche. Je jette un regard vers Ingald. Il n'avais qu'à peine bouger, ses cheveux bruns en bataille et ses mains dans le vide, la où je me trouvais initialement. Lorsque je redescend de la tour, Mamono est en train de faire des sandwichs.
- Je vais réveiller Ingald !, dis Bell avant de monter les escaliers 4 à 4.

Je m'assois à la table ou le petit déjeuner était en train d'être servis par l'ours brun, qui avais revêtu un tablier. Je mange en silence. Ingald vient nous rejoindre et ne parrait pas choqué lorsque l'ours lui dépose une tasse de thé à la menthe. Lorsque le petit déjeuner est finis; nous sortons tous avec nos sac et nous enfonçons dans la forêt. Les teintes de vertes des feuilles, du marron des bois, les biches, les écureuils, les gazouillis des oiseaux. Tout semble fait pour ressemblé à quelque chose de paradisiaque. La porte se profile à l'horizon. C'est une grande porte ouverte en bois. Elle doit faire 14 mètres à vu d'oeil et semble imposante lorsque nous finissons par passez en dessous. Si ça m'avais semblé bizarre que cette porte sois au milieu de nulle part, lorsque nous l'avions passé, ça donnait l'impression d'être dans un autre univers. En effet de l'autre côté se trouvais des petites maisons vertes composé de plantes et construite dans les arbres. Il n'y avais pas de sol à part à l'endroit où nous nous trouvions. Le reste était de l'eau et seule les pont en plantes tressé permettait de rejoindre une maison à une autre. Au centre, une torsade cristalline avec a son sommet une boule blanche ou tournais des lucioles.
- C'est magnifique.

Ces mots étaient juste sortis de ma bouche sans que je puisse les contrôlés. Cependant un contraste apparu presque directement devant nous.

Le Monde Magique De MestréaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant