Chapitre 18

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Samantha

J'essaye de rappeler Sibylle en voyant qu'elle m'a appelé en pleine nuit, mais elle ne me répond pas et je m'occupe de Gabriel. Je passe ma journée à m'occuper de lui et à m'inquiéter pour elle, j'arrive à l'avoir au téléphone le soir lorsque je suis couché.

Sam : Qu'est-ce que tu fais ? Tu vas me dire que tu n'as pas eu le temps de me rappeler ?

Sibylle : Je suis occupé Samantha.

Sam : Occupé à faire quoi ?.. Sibylle ?

Sibylle : J'ai été regardé.. Je suis rentré tôt ce matin et.. J'ai dormi toute la journée.

Sam : Qu'est-ce que tu as été regardé ?.. Je vois.. Regarder seulement ?

Sibylle : Une vilaine à voulue me fouetter.. Je l'ai fouetter pour la peine.

Je ne sais plus quoi dire, mais elle continue de parler.

Sibylle : Elle n'a pas supporter plus de quatre coups de fouet.. Je l'ai fait hurlé du coup.

Sam : Je ne veux pas savoir.

Sibylle : Je me suis.. Amusé.

Sam : Sans moi.

Sibylle : Tu m'avais dit que tu étais d'accord.

Sam : Je ne pensais pas que.. Tu oserais.

Sibylle : Je.. Je serais plus gentille avec toi.. C'est mieux non ?... Samantha ?.. Tu m'avais autorisé.. Samantha ?

Je raccroche puis je descends avec Gabriel, je passe une semaine entière chez mes parents avant de rentrer en voiture. L'appartement est vide et je fais plusieurs voyages pour remonter les affaires, je vais faire des courses avec Gabriel avant de rentrer pour la retrouver sur le canapé à boire un verre de vin. Elle se lève pour me regarder, je range les courses avant de m'asseoir à côté d'elle avec Gabriel.

Sibylle : Je n'y suis pas retourné.

Sam : Je ne veux pas savoir.

Sibylle :.. Comment était le restant de tes vacances ?

Sam : Rempli de réflexion.

Sibylle : Tu veux divorcé ?

Sam : N'importe quoi.

Sibylle : Je pense que ça serait propice à ton bonheur.

Je me lève pour la regardé.

Sam : Tu plaisante ?.. Sibylle ?

Sibylle : Tu n'as pas répondu à mes messages.. Ni mes appels depuis six jours.

Sam : Parce-que tu as été fouetter une putain.

Sibylle : Ne parle pas comme ça Samantha.

Sam : Finalement tu as peut-être raison.. Je n'aurais jamais du revenir dans cette ville de merde.

Je mets peu de temps à récupérer mes affaires puis je me remets en route pour la Normandie, j'opte pour la maison de ma grande mère qui n'a pas encore été vendue. Je m'occupe en faisant le tri de ses affaires avec ma mère, j'ouvre la porte un mois plus tard à une visite inattendue.

Esclave Où les histoires vivent. Découvrez maintenant