J'ouvre les yeux pour voir un fouet avec un manche métallique, je retourne me mettre à genoux pour lui déposer sur ses cuisses ce que j'ai pris. Elle se lève pour pousser le fauteuil et elle m'attache ensuite au plafond, elle passe dans mon dos et je ferme les yeux.
Sibylle : Il y a tellement de choses dans cette armoire.. Et toi tu choisis celle que j'aime le plus.
Sam : Oui maîtresse.
Elle me fouette mon dos et je hurle avant de serrer mes dents.
Sibylle : Je déteste qu'on me coupe la parole.
Je l'écoute un moment avant de me faire fouetter puisque je ne réponds pas, j'arrive à supporter six coups de fouet avant que je ne dise le mot de passe. Elle m'embrasse mon dos, elle me le lèche et elle me détache enfin. Je m'écroule sur le sol, elle vient se mettre à genoux devant moi puis elle m'embrasse. Je me relève mais elle me force à me remettre à genoux, elle approche ma tête de son entre jambes alors je commence à lui lécher son intimité.
Elle m'a désiré, je le sens sur ma langue et elle me tire régulièrement mes cheveux pour cracher dans ma bouche. Je l'entends gémir très fort lorsqu'elle prend du plaisir, je la regarde reculer puis se rhabiller dans le silence. Elle m'aide à m'habiller, elle me tient la main jusqu'à l'appartement puis la chambre. Je m'isole dans la salle de bain pour regarder l'état de mon dos, je lui ouvre la porte lorsqu'elle me le demande.
Sibylle : Je vais désinfecter.
Elle ouvre les placards avant de préparer de quoi nettoyer mes plaies.
Sam : Est-ce que quelqu'un nettoie au moins ?
Sibylle : Après chaque utilisation oui.. Tout est nettoyer.
Sam : Tu en es sûre ?
Sibylle : Je peux commencer ?
Je sers mes dents lorsqu'elle désinfecte mon dos puis je vais rapidement m'allonger sous la couette, je la sens s'allonger contre moi puis m'embrasser mes épaules.
Sibylle : Tu veux regarder un film ?
Sam : Non.
Sibylle : Il est tôt encore.
Sam : Je suis fatigué.
Sibylle : Non tu me déteste.
Sam : Non.
Elle se décolle de mon dos et je me tourne vers elle en serrant mes dents, car mon dos me fait souffrir.
Sam : Je vais rentrer chez moi le week-end prochain.. C'est l'anniversaire de mon père.
Sibylle : Tu veux que je t'achètes un billet ?
Sam : Non.. Qu'est-ce qu'ils font tes parents ? On va tous les jours au restaurant quasiment.. Ça m'intrigue.
Sibylle : Mon père dirige une entreprise.. Et.. Et ma mère était sa secrétaire.. Enfin avant.. Maintenant elle gère une œuvre de charité.
Sam : Tu as des frères ou des sœurs ?
Sibylle : J'ai une sœur.. Je crois qu'elle est à Moscou.. Pour le travail.. Elle travaille avec mon père.
Sam : Tu vas faire ça aussi ?
Sibylle : Oui.. À la fin de l'année.
Sam : Tu parles japonais ? Pourquoi tu ne prend pas la commande au japonais ?
Sibylle : Ce sont des chinois.
Elle me caresse enfin mon avant bras car je lui caresse son ventre depuis un moment, elle regarde mon dos avant de se lever. Elle me met des compresses puisque je dois saigner, je m'endors lorsqu'elle revient à côté de moi et je me lève doucement le dimanche matin. Je prends mon petit déjeuner dans l'appartement calme mais sérieusement en désordre, je commence donc à ranger la cuisine mais mon dos me fait mal.
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Esclave
General FictionPrivé de logement à son arrivée dans Paris pour ses études, Samantha doit se soumettre à toutes les demandes de Sibylle.