Chapitre 12

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Je la regarde donc aller ouvrir la porte de loin, puis je vois sa sœur qui lui ressemble beaucoup. Seulement elle est beaucoup plus souriante, elle me fait un petit câlin et je regarde Sibylle qui sert ses dents dans son dos. Elle lui montre ensuite une des chambres à l'étage avant de revenir, elle s'installe sur son ordinateur et sa sœur vient à côté de moi.

Émilie : Alors ?.. Tu es de Normandie ? Raconte moi tout.. Comment tu l'as connue l'autre affreuse ?

Sibylle : Je travaille merci.

Émilie en chuchotant : Rabat-joie.. C'est la première fois qu'elle présente quelqu'un a la famille.

Sam en chuchotant : On s'est mariés.. À Noël.

Émilie en chuchotant : Félicitations.. Elle ne me l'a même pas dit.

Sam en chuchotant : Je ne sais pas.

Émilie en chuchotant : Elle t'a parlé de moi.

Sibylle : A ton avis ?

Je tourne ma tête pour la voir debout à côté de moi.

Émilie : Elle détruisait mes poupées petite.

Sibylle : Nos poupées.

Émilie : On a un an d'écart.

Sibylle : Elle s'en moque.

Émilie : L'ange et le démon.

Je regarde Sibylle qui pousse sa sœur sur le canapé.

Sibylle : Tu es chez moi ici.

Elle la lâche avant d'aller dans la cuisine et je la suis doucement, je pose ma main sur sa tasse lorsqu'elle allait se servir.

Sam en chuchotant : Pourquoi tu lui as fait ça ? Il faut se retenir des fois.

Sibylle : Retire ta main.

Sam en chuchotant : Bébé ?.. Tu peux me regarder ?

Elle tourne lentement sa tête.

Sibylle : C'était aussi mes poupées.

Sam : Ce n'est pas une raison.

Je retire ma main puis je vois que sa sœur n'est plus là.

Sam : Ne recommence pas.

Sibylle : J'ai du travail.

Elle retourne rapidement devant son ordinateur puis je monte à l'étage avec un café, je discute avec sa sœur avant de rejoindre Sibylle pour aller manger. Nous allons dans un restaurant de la ville où il n'y a que sa sœur et moi qui parlons, elle m'a l'air hors de son corps lorsque je la regarde. Elle part à l'étage avec son ordinateur en rentrant, je discute avec sa sœur qui finit elle aussi par monter se reposer. Je me lève ensuite pour regarder Pékin près de la fenêtre, je sens ensuite qu'on me plaque contre la vitre.

Sam : Tu m'en veux parce que je lui parle ?

Sibylle : Tu parles trop aussi Samantha.

Sam : Et toi pas assez.

Elle tire mes cheveux et je vois un peu son visage, je la sens glisser sa main sous ma robe puis me plaquer encore plus contre la vitre. Elle me caresse un peu mon intimité avant de me retourner face à elle, elle recommence et je pose ma bouche dans son cou pour éviter de crier. Elle me fait jouir peu de temps après avant de m'embrasser toujours contre la vitre, elle me porte ensuite pour m'allonger sur le canapé.

Sam : On devrait attendre ce soir.

Elle se redresse pour me regarder.

Sibylle : J'ai envie maintenant.. Là.

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