Esclave

Chapitre 43

Samantha

Je pleure après avoir fermé la porte puisque je l'entends hurlé mon prénom, je vais voir les enfants qui dorment, je retourne dans ma chambre où je l'entends encore. Je vais la fouetter pour qu'elle se calme, je cache ses yeux et sa bouche avant de retourner dans la chambre, je m'occupe de Émilie, je la garde près de moi pour la nuit. Je m'occupe des enfants puisqu'ils sont en vacances et qu'ils réclament Sibylle, je vais ensuite ouvrir la porte d'entrée après le repas du midi.

Atsuko : Je veux voir Sibylle immédiatement.. Sibylle !?

Sam : Je vais appeler la police.

Elle s'approche avant de me gifler.

Atsuko : Les putains n'ont pas le droit à la parole.

Je la pousse avant de la traîner jusqu'au portail, je lui jette des cailloux avant de fermer la grille, je respire en regardant les enfants qui ont un peu regarder.

Sam : Ce n'est rien.... Rentrons au chaud.

Je les pousse un peu avant de fermer la porte, je passe ma journée avec eux avant d'aller voir Sibylle qui dort debout. Je l'embrasse en retirant le masque en cuir qu'elle avait acheté pour moi.

Sam : Qu'est-ce que tu veux Sibylle ?

Sibylle :.. Une maîtresse.

Sam : Qui ?

Sibylle : Toi.

Je la détache avant de partir en laissant la porte ouverte, elle arrive dans la chambre en rampant, je l'aide à se rendre dans la salle de bain puis je retourne m'allonger. Je me lève quand j'entends du bruit, je la tire par ses cheveux puisqu'elle avait la tête sous l'eau.

Sam : Tu fais quoi ?

Sibylle :... C'est calme.

Sam : Tu te dépêches.

Je la lâche et je l'attends derrière la porte, j'écoute ce qu'elle fait avant de l'emmener voir nos enfants, ils se réveillent pour lui faire un câlin. Je la force à descendre puis je vais m'allonger dans la chambre, elle s'allonge par terre, je me relève pour l'allonger sur le lit.

Sam : J'ai lancé des cailloux sur ta maîtresse japonaise.. Qui te fessait dormir par terre sans doute.

Je m'allonge à côté d'elle.

Sam : Je veux un massage.

Elle grimpe sur moi rapidement pour commencer à me masser, je m'endors sous ses caresses et je me réveille en la sentant dormir sur mon dos.

Sam : Bébé ?.. Émilie pleure.. Et je.. Je crois que mon sein est.. J'ai inondé le matelas de lait.. Sibylle ?

Sibylle : Hum.

Sam : Il faut que tu bouges.. Tu entends Émilie ?

Elle se lève puis je me redresse pour la regardé sortir de la chambre, je regarde le draps avant de la voir revenir avec Émilie. Elle me la donne avant d'attendre à genoux près de moi, je l'envie, je n'aime pas se rôle.