Chapitre 18 : Matin Mouvementé

1.4K 86 29
                                    

PDV LUCY

Sans réfléchir, je lui saute dans les bras et colle mes lèvres sur les siennes. Ce sentiment m'avait tant manqué. Ses lèvres, son visage, sa présence.

Je sais que l'on doit parler du baiser avec Natsu, mais je ne peux m'empêcher de l'embrasser et de vivre le moment présent.

Il répond à mon baiser timidement, mais me repousse doucement.

Je le regarde, puis je sens des larmes couler de nouveau sur mes joues.

Lucy : Sting, je-

Il me coupe en plaçant son doigt sur mes lèvres.

Sting : On doit en parler.

Je prends sa main qui est vers mon visage et enlace mes doigts aux siens.
La chaleur de sa peau contre la mienne, je croyais ne plus jamais la sentir. Il n'en fait rien, mais ne me repousse pas.

Lucy : Oui, je sais il faut en parler, mais je suis terriblement désolée. Ce baiser ne voulait rien dire je t'assures. C'est impossible, je ne peux pas vivre sans toi! Je t'aime tellement!

Sting : Tu m'as manqué aussi.

Lucy : T'es pas fâché?

Sting : Je l'étais, mais après un mois, ça m'est passé. J'ai réfléchis et je me suis dit que même si tu avais fais ça, ça n'arrangerait rien si je m'en allait. Au début, je suis partit pour me calmer et pour te torturer.

Je baisse la tête.

Lucy : Ouais, bah ça a marché.

Il relève mon menton avec sa main.

Sting : Mais je t'aime toujours.

Je ne peux cacher mon sourire.

Lucy : Moi aussi je t'aime.

Il pose ses mains sur mes hanches et c'est lui qui dépose ses lèvres sur les miennes. Je pose mes mains autour de son cou et l'arrête doucement après quelques secondes.

Sting : T'as quoi?

Lucy : T'étais passé où tout ce temps?

Sting : Je passais mon temps en boîte à me taper des meufs.

J'écarquille les yeux.

Il est sérieux??

Il part un mois après m'avoir vu embrasser un mec et il se permet de baiser avec des putains de filles??

Je lui lance un regard dégoûté et me détache de son étreinte.

Lucy : Vas te faire foutre.

Il rigole et me rapproche de lui en posant ses mains sur mes hanches.

Je tape ses mains sèchement en détournant le regard.

Sting : Je déconne, Bébé. Je suis resté à un hôtel. Je tournais la scène en boucle dans ma tête, une vraie torture.

SabertoothOù les histoires vivent. Découvrez maintenant