Quand je me réveillai, Oscar arriva dans la chambre essoufflé, il me dit de ne pas descendre car il y avait le maire en bas, je fis les gros yeux et m'habiller pour enfin rejoindre le palier et écouter. Ça parlait d'enfant.. Encore.. Monsieur Stettner coupait sa viande tant dis que l'autre était assis et écoutait en buvant une bière.
Roger: Les enfants ne vous ennuient pas ces temps ci ?
M.stettner: bien sur que non, si ils m'emmerdent ils savent ce qu'il leur attend, la dernière fois j'en ai choppé un et l'obliger de laver mes carreaux de l'abattoir.
Roger: William je présume.
M.stettner: *il pose sa hache et se retourne* qu'avez vous avec cet enfant !?
Roger: mais rien voyons *rit*
M.stettner: Ne mentez pas monsieur le maire, quand je le vois sortir de chez Madeline ou de la mairie, il se frotte le bras et à l'air comme vidé.
Roger: je l'aime comme un fils Paul, un fils que ne n'aurait jamais. On est complice tu sais ! *il se tourne en entendant tousser*
Oscar: *qui aide son père fait semblant de tousser* pardon je suis enrhubé
Monsieur Stettner: bref, si j'apprends que vous le séquestrer ça ira mal.
Roger: pourquoi le protéger vous ?
Monsieur Stettner: ce gamin est courageux car il a perdu son exemple, Jefferson, devant lui. Sa mère n'est presque jamais là et il vit ici alors que le français n'est pas sa langue natale. Enfin il excelle tant mieux mais malgré son jeune âge je lui dois mon respect.
Roger: si tu le dis..
Monsieur Stettner: donc je répète ! Si j'apprends que...
Roger: *lui coupe la parole et fais un geste vague* oui oui je sais occupe toi de ma viande.
Monsieur Stettner grogna légèrement et recommença son boulot, je dis signe à Oscar de sortir après moi et je descendis doucement avant de disparaitre.
Oscar : bon j'y vais moi ciao
Monsieur Stettner: rentre pas trop tard !