Un policier: madame svp levez-vous on doit emmener le corps.
Je ne réagissais pas, j'étais toujours sous le choc, j'arrivais pas à croire que mon mari est mort. Je regardais dans le vide, les larmes dévalant mon visage.
Le policier: Madame svp.
Après, je me suis sentie soulever. J'ai commencer à hurler on dirait j'étais devenue hystérique.
Milian: LAISSEZ LA AVEC LUI juste un petit moment.
Puis ils m'ont remis comme j'étais, j'ai directement arrêté de pleurer.
Environ 15 minutes après je me redresse. Je lui fait un dernier bisou sur le front.
Moi: j'aurai tant souhaiter sue ce soit celui de l'hôpital. Mais non, c'est celui de la morgue. Decker, mon amour je t'aime *au policier* c'est bon vous pouvez l'emmener.
Ils l'ont pris avec eux et sont partis. J'étais comme détruite, je me suis effondrée et j'ai commencé à pleurer. Ensuite, ils sont passés devant moi avec le corps de Waro.
Moi: que les flammes les plus intenses de l'enfer le brûle.
Le policier: madame il ne faut jamais souhaiter le malheur des autres aller venez m'expliquer ce qui s'est passé.Il m'aide à avancer, on s'assoit.
Moi: Waro était dans le public mais je ne savais pas*ensuite je lui explique tout de a-z*.
Lui: dans votre cas, c'est de la légitime défense vu qu'il à tenter de tuer sa propre fille.Dès qu'il a dit ça je me suis énervée.
Moi*en hurlant*: C'EST MA FILLE, PAS LA SIENNE. LE PÈRE DE DIANA C'EST DECKER ET IL LE SERA POUR TOUJOURS!!!
Lui: madame calmez-vous je vous en prie, j'ai bien compris ce que vous venez de me dire.
Milian: c'est mieux qu'on en reste là, sinon vous allez encore plus aggraver la situation.Le policier part et Milian me raccompagne à la maison avec les enfants. Je n'avais aucune envie de laisser mes enfants.
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Chronique de Malia: j'ai peur de l'abondant
Ficción GeneralMalia 23 ans, j'ai toujours été une dur à cuir et je le resterai éternellement à cause d'un homme qui m'a détruit la vie.