Love me [Antoine Griezmann]

Chapitre 36 : Night in Paris

Bon là j'avoue ca fait vraiment beaucoup beaucoup de temps que je n'ai pas écris et je vous présente mille excuses mais j'ai l'impression que cette fiction ne va nulle part je pense écrire vite une fin même si je l'adore vraiment. Je vous invite à la relire ou à relire le chapitre précédent pour vous rappelez de ce qui s'est passé. J'ai passé tout mon été à l'écrire et je compte peut être en faire une autre je sais pas trop. Mais j'essaye en tous cas de finir ma fiction je vous le dois ! gros gros bisous ❤️❤️❤️
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Vous voyez la scène dans les films où la tension est palpable dans l'ascenseur et qu'il faut se retenir de se sauter dessus parce qu'il y a du monde : c'était notre situation à ce moment même.
Je n'arrêtais pas de me mordre la lèvre pour penser à autre chose.
Le ding qui indiquait que nous étions arrivés à notre étage me sortit de mes pensées pas très catholiques.

Antoine se dépêcha d'ouvrir la putain de chambre de luxe. Mon dieu, c'était magnifique. C'était plutôt une suite vu la taille du truc mais je n'eus même pas le temps de l'admirer que je sentis Antoine me prendre par la taille pour m'attirer à lui. Je fus si surprise que j'en lâcha mon sac de voyage.

Je recula en même temps en me dirigeant vers le lit en collant mes lèvres aux siennes, c'était si agréable de le ressentir contre moi.
En deux trois mouvements on se retrouva l'un sur l'autre sur ce gigantesque king size.

- On va pouvoir reprendre là on en était restés, murmura d'une voix sensuelle Antoine en enlevant mon haut.

Lui était déjà torse nu, je déposa des baisers le long de son ventre et arriva à sa braguette.

Je le regarda d'un air malicieux et déboutonna son pantalon pour lui enlever. Il enleva à son tour mon soutien gorge libérant mes petits seins. Il était si sexy, je le désirais vraiment à ce moment là.

Il déposait sa bouche là où il voulait, partout dans mon cou, sur mon oreille, sur ma joue sur la bouche sur mon sein. Je le sentais partout et j'en redemandais toujours plus. Mon corps ne vivait que pour lui, c'était lui et rien d'autre. En y réfléchissant personne ne m'avait autant toucher, explorer que lui.

- Je t'aime, glissa Antoine en me mordillant le lobe d'oreille auquel je répondis par un gémissement.

- Moi je t'aime encore plus, mmhh, répondais-je en l'embrassant langoureusement.

Je retira un préservatif de poche arrière de mon jean.

- C'est ça que tu cherches ? chuchotais-je en le mettant juste devant son nez.

- Tu as ça dans ta poche maintenant ? Tu prévoyais notre partie de jambes en l'air depuis longtemps ?

- Je suis prête à chaque minute tu devrais le savoir, murmurais-je en lui mettant le préservatif dans la main tout en le parsemant de baiser dans le cou.

Mais il s'arrêta net et posa le préservatif sur le lit.

- Tu me fais confiance ? me demanda Antoine.

Là j'avoue que je ne comprenais pas pourquoi il interrompait ce moment mais j'acquiesça. Il fila dans la salle de bain et revenit avec ce qui semblait de l'huile.

- J'ai envie de te masser tu me permets ?

- Tu me le demande pas deux fois.

Je suis désolé mais lui en caleçon sur moi c'était juste wahou. Je décala mes cheveux sur le côté et il étala l'huile de massage. Ses mains toutes chaudes me provoquèrent de frissons dans tout le dos, il faisait des aller venues de haut en bas, malaxant ma peau si bien que ça en était bandant. Ok j'exagère.
Mais il massait bien, surtout au niveau des épaules qui étaient si tendues ça me faisait un bien fou.