Love me [Antoine Griezmann]

chapitre 38 : La nouvelle

Coucou tout le monde !! Je me suis aperçu que j'avais perdu beaucoup beaucoup de lecteurs et je parle pas du niveau de votes parce que ce qui importe c'est le nombre de personnes qui suivent ma fiction et je crois que je peux m'en prendre qu'à moi même de vous avoir fait attendre trop longtemps. Je le fais avant tout pour moi mais ca me fait mal au coeur de voir que moins de gens partagent l'histoire de Laura et Antoine avec moi. Je pense finir bientôt cette fiction et peut être en commencer une autre sur lui 😏 Et surtout n'hésitez pas à commenter à fond, ça me fait plaisir et ça m'aide vraiment. Merci et bonne lecture ❤️❤️
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"Messieurs, Mesdames, l'avion en direction de Madrid est sur le point d'atterrir merci d'attacher vos ceintures de sécurité"
"Señor, señ...

Le doute planait toujours dans ma tête étais-je en train de prendre la bonne décision en y allant ou allais-je encore me faire plus mal ? Mais mon coeur me disait "fonce". La solution à notre problème était ce qu'il m'avait toujours proposé : habiter avec lui. Mais mon cerveau et mon coeur se contredisait et me laisser sans réelle réponse : est-ce que j'en avais envie ? Bien sûr que oui, mais pouvais je tout laisser en plan pour quelqu'un que je connaissais que depuis quelques mois ? Bien sûr que non. C'est pour cela que le voir m'aiderait à réfléchir, ou peut être mettre un peu plus de confusion dans ma tête.

Je n'eus même pas le temps de me perdre dans mes pensées vu que l'avion venait d'atterrir. Je pris mon sac et sortit de l'avion pour rejoindre un aéroport que je commençais à connaître. Je récupéra ma valise et continua ma route : je ne sais pas si il était là ou si je devais me débrouiller pour aller chez lui mais la réponse me fut vite apportée. Il était là, assis sur un siège l'air pensif sur son téléphone essayant d'appeler. Oops mon téléphone sonna mais je m'en fichais : je l'admirais, ses cheveux avaient poussés depuis la dernière fois, ses yeux bleus avaient un peu perdu de leur étincelle mais étaient toujours aussi beaux. Je remarqua qu'il portait un sweat de la marque de son frère et cela me fit sourire. Je souffla un bon coup et me dirigea en sa direction.

Dès qu'il posa son regard sur moi, un courant électrique me parcourut. C'était comme la première fois, notre premier contact. J'avais envie de pleurer tellement il m'avait manqué. J'étais vraiment amoureuse et je me sentais coupable de ressentir cette émotion.
Il ne se fit pas prier pour venir à moi et me prendre dans ses bras, me faisant des bisous dans le cou. Je le serrai fort comme ci je voulais ne plus jamais le laisser filer parce qu'en fait des que j'étais avec lui je ne voulais plus jamais le quitter: il m'était nécessaire. Mais étais-ce la même chose de son côté ?

- Te extrañé tanto, murmura Antoine au creux de mon oreille.

Ses paroles étaient douces et son espagnol était toujours aussi sexy. Je comprenais que je lui avais vraiment manqué.

On s'observa quelques millièmes de secondes, nos yeux plongés l'un dans l'autre et il m'embrassa passionnément. Cela faisait si longtemps, j'avais l'impression de redécouvrir ce que ça faisait d'embrasser Antoine Griezmann.

Je lui lança un grand sourire auquel il répondu avec son charme habituel. Il me proposa de prendre ma valise et je lui pris la main.

- Il vaut mieux que je mette ma capuche sinon on va me reconnaître, ajouta t-il.

Je leva les yeux au ciel.

- Arrête de faire le mec trop famous, rigolais-je.

- C'est ce que je suis non ?

On arriva à la voiture et il faisait déjà nuit. J'avais du changer mon billet à la dernière minute car l'horaire ne convenait pas donc au lieu de partir à 8h du matin, j'étais à 21h. Il faisait vraiment très froid, même à Madrid, j'entrais direct dans la voiture direction la maison de rêve puisque c'est que comme ça qu'Antoine appelait sa maison.