The Laugh It's the Life.

chapitre 1

J en avais asser d être harcelée par ma propre famille.  Toute ma vie il m avait violenter priant sans le cacher qu ils désirait me voir partir ou mourir et maintenant que c etait fait ils ne me laissaient toujours pas tranquil.

La rage l avait emporter et tendis que je tentait de rester calme en mangeant une sucette dans le bus me conduisant jusqu a la demeure parental je jubilait interrieurement aillant prevu de leur faire vivre tout ce qu il m avait infliger au centuple.  Aucun d entre eux ne resterais en vie.  Il en etait hors de question!  J allais me les faire a la Laughing Jack!

Oui je suis fan de creepypasta et plus particulièrement de mon clown monochromes adorée.  Depuis que j avais lu son histoire j etait tomber folle de ce clown. D ailleur c est a partir de là, a mes 12 ans environs, que j ais commencer a manger non stop des bonbons profitant de ne pas prendre un gramme pour m empiffrer.

J arrivais enfin devant la maison de mes parents après 1 heure de trajet et entra sans meme frapper a la porte marchant a pas de loups.

Ils ne m avaient pas remarquer et j en profitait donc pour les assommée tout les 4 avents de les ligoter a des chaises.

Une Foix fait j etala le contenu de mon sac sur la table de la cuisine en attendant qu ils se reveillent.

Je fredonnais pop goes the Wiesel tout bas tout en passant en revue mes différents couteau les triant pas taille ainsi que ma tenaille, mon marteau, mes clous, mes ciseaux et ma pince coupante.

L attente avent que tout ce beau monde se réveil ne fut pas longue et lorsqu ils me firent la panique les aillant gagner en se voyant ligoter se changea bien vite en haine et dégoût.

Maman: Kylie?!  Qu est ce que ca signifie?!  Détache nous sur le champs sale ingrate!

Moi: pfff...  Maman maman maman...  Je ne suis pas une ingrate voyons...  Je m apprette au contraire a vous rendre tout l amour que vous m avez portez tout au long de ma vie...  Je vais vous faire souffrir comme vous m avez fait souffrir...  Je vais vous humiliée...  N est ce pas hironique?  L enfant que tu n as jamais voulu va t offrir la mort que tu n aurais jamais pu vouloir.  Comme quoi dans la vie on a jamais ce qu on veux...

En disant celà j émis un rire sinistre tout en me saisissant de mes scisseaux aillant jetter mon dévolu sur ma mère pour commencer mon jeux.

Moi: une petite coupe madame?

Maman: espèce de folle!  Ne t avise pas de m approcher!

Moi: folle?  Moi?  Oh mais voyons!  Je suis tel que vous m avez élevé!

Je m approcha d elle et lui coupa les cheveux n importe comment e' rigolant.

Moi: j ais jamais pu blerer tes cheveux!  Pourquoi faut que j aille les même?!  Ils seraient tellement mieu noir!

Papa: Kylie!  Arrete ca tout de suite ou tu vas m entendre jeune fille!

Moi: oh toi tu la ferme!  Si tu veux parler tu leves la mains!

Tout en disant celà je lui assena un violent cou de poings dans la mâchoire et me mis a rire en réalisant que je lui avait déboiter lui arrachant un horrible hurlement de douleur tout bonnement jouissif.

Apres avoir instaurer suffisement de crainte chez les membres de ma bientot défunte famille pour les faire taire j alla chercher une tenaille et revint pres de ma mère lisant dans ses yeux plus de crainte que le monde ne puisse en porter.

Moi: allons allons...  Il ne faut pas avoir peur...  Je vais juste te faire une petite manucures! 

Je lui saisi une main et entrepris de lui arracher les ongle un a un sous ses hurlement de douleur provoquant chez moi un état d euphorie tel que je tirait mal sur le 8 eme ongles qui ne s arracha qu as moitier me forçant a réitéré mon acte.

Je la laissait un peu soufflé ne voulant pas qu elle perde connaissance pour pouvoir jouer plus longtemps et entrepris de faire la meme chose au autre membre de la famille aillant dessider de leur faire subir la meme chose.

Après avoir fini avec leur ongle je changea d instrument et pris mes sciseau pour découper leur vêtements les denudants entièrement puis je pris mon plus petit couteau et commença a dessiner sur leur corps. 

Leur sang coulait en fillait de chacune de leur plaie tendis que je gravais leur corps changeant régulièrement de lame pour varier les plaisirs leur faisant des entailles tentot superficielle tentot très profonde.

Je me delectait de leur cris ne pouvant retenir mes rire euphorique me sentant de plus en plus libéré de mon passé.

Après m etre lancer des les entaillée je pris ma pince coupante en souriant largement. Je me tournais ver eux et rigola les pointant du doigt chacun leur tour.

Moi: ham...  Stram...  Gram!  Et bien félicitations Rémy!  Tu es l heureux (ou pas)  gagnant!  Ta recompense est d etre le premier a te faire emputer des doigts!

Je m approchais de lui tendis qu il hurlait me suppliant d arrêter ça,  que la blague avait asser duré.  En y repensant c est vrai que Rémy etait le seul a me défendre quand la situation devenait bien trop violente. Il s etait déjà pris des coups a ma place quand nous etions plus jeune.

Moi: hum...  Je vais être sympa!  Je ne te ferais plus rien vu que tu etais le seul plus ou moin gentil avec moi!

Rémy: v... Vraiment?

Moi: oui...  Par contre...  Si tu veux vivre...  Tu vas devoir faire ce que je vais te dire de faire...

Rémy: quoi donc?

Moi: tue le...

Je pointa Cédric, mon autre frère du doigt.

Rémy: que...  Quoi?!  Non!

Moi: tu ne veux donc pas vivre?  Je te propose simplement un jeux dont la règle est simple...  Tue ton frère ou meurt pour lui...  Ah toi de voir...

Tout en parlant je le détachait lui laicant sur les genoux l un de mes couteaux avent de m appuyer sur le plan de travail jouant avec une autre lame.

Je savais bien qu il aurait tres bien pu se retourner sur moi et m attaquer mais vu l état dans lequel il etait je n aurais aucun mal a le mettre hors d état de nuire.

Moi: tic...  Tac... Le temps passe...  Tic tac...  Le sablier coule...  Tic tac...  Ma patience s efface...

Il pris le couteaux les mains tremblante en regardant Cédric.

Cédric: tu vas quand meme pas...

Papa: Rémy arrete tes conneries!  Pose se couteau!

Rémy: désoler frérot...  Au moin...  Elle ne te fera plus souffrir...

Dans un geste vif mais hésitant remy trancha la gorge de Cédric qui mourru quelque instant plus tard. De mon côté j etait tordue de rire.

Moi: oh j y crois pas!  Tu l as fait!  Et en plus tu ose dire que c etait pour son bien! 

Rémy: la ferme!

Moi: tsss... Laisse moi me marrer...  T as gagner alors tu peu partir... Dégage...

Rémy: avent ça...

Il egorgea nos parents avent de se trancher la gorge a son tour.

Moi: oh le connard!  Il m as piquer mes jouets!

...: tien tien tien... Slenderman vas etre content...

Moi: hein? Slenderman?

Je me retournais et vit devant moi, masky,  hoddie et ticci toby me fixant tout trois les bras croisé.

Moi: j y crois pas...  Vous etes réels?!

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