The Laugh It's the Life.

chapitre 15

Mon retour au creepyworld fit vite le tour de tout les creepypasta confirmé et suppléant.

Je retournais a l université et étrangement tout le monde me respectait désormais. 

Parfois j entendais des bruits de couloir racontant que j etait la première a échapper au griffe de zalgo.

William ne me parlais toujours pas et jack etait de plus en plus stricte avec moi me faisant faire exercices tout bonnement atroce.  Il lui arrivait aussi de me frapper quand je ratais ce qu il voulais que je face.

Nous n avons jamais reparler de ce que je lui avais dit en le ramenant. Et de toute façon je ne pense pas que ça lui face quoi que ce sois.

J etait sous la douche quand il entra sans aucun respect du peu d intimité que j avais.

Il m ignora royalement et se déshabilla avent d entrer dans la douche a côté de la mienne.  D ou j etait je pouvais absolument tout voir. Ce qui voulais dire que lui aussi.

Cette idée et la vue me firent avoir les joues en feu et je le dépêcha de finir de me lavée avent de me séchée et m habillée au plus vite que je le pouvais et je sorti du chapiteaux le froid mordant de l hiver s attaquant a mon corps encore humide sous ma tenue de bouffon.

Je parti ver le chapiteau centrale et commença a m exercer a l equilibre en attendant qu il arrive.

J etait en equilibre sur une main sur une grosse balle quand il entra manquant de le déstabiliser et de me faire chuté.

Moi: ca a été la douche?

Jack: ouais...

Je sauta du ballon me réceptionant dans un joli culbute arrière.

Moi: dit?

Jack: quoi?

Moi: tu me déteste n est ce pas?

Jack: que...  Pourquoi tu dit ça?

Moi: parce que ton comportement a changé depuis l histoire avec zalgo.  Et puis...  Tout aurais toute les raisons du monde de me haïr...

Jack: je ne te déteste pas mais je ne t aime pas non plus...  Disons que je te supporte.

Moi: au moin c est direct...

Jack: tu m as posée une question et j y ai repondu.  Maintenant au boulot!

Je passa tout mon week-end a exécuté les ordres de jack sans bronché.

Entre les cours et ses exercices je n avais plus jamais un moment de repis.
Je profitait de mes nuits au maximum pour pouvoir tenir le ritme. Les seul moments ou j etait tranquil c etait quand splendy m envoyait tuer quelqu'un.

Cela faisait 6 mois que j était là et ma situation avec Jack n avais pas changé.  En même temps j avoue ne jamais tenté de rapprochement préférant garder mes sentiments enfuis plutot que me faire rejeté.

Jack: debout feignasse!

Avent meme que je ne réalise quoi que ce sois ,n étant même pas encore réveillé, je me fit éjecté de mon hamac m écrasant a terre comme une crêpe.

Moi: aïe...

Jack: t avais qu as te réveillé avent!

Le clown sorti du chapiteaux me laissant a terre dans un état vaseux. Je me leva mollement et fut prise de vertige un moment avent d etre en état de m habillée.

Tout mes gestes était lent et douloureux.  J avais la sensation que me tete allait explosé d une seconde a l autre et que mon corps pesait une tonne.

Il me fallu un quart d heure pour mettre ma tenue de cirque et encore dix minutes supplémentaires pour arrivé au chapiteau central mes pieds trainant dans la neige blanche.

Jack m acceuilli avec une enorme claque qui me fit tombée a la renverse.

Jack: ca t apprendra a te dépêcher!

Moi: oui...  Désolé...

Je me remis sur pied non sans mal et me força a ne pad tanguer.

Jack: pour commencé tu vas me faire 15 tours de piste sur les mains!

Moi: très bien...

Je me renversa sur les mains me sentant de plus en plus mal et me força a avancer.  Malheureusement pour moi je ne fut pas capable de faire plus de 4 tours et un tier avent que mes bras ne me lâche et je m écrasa par terre la respiration courte et la vue brouillée.  Mon corps me brûlait entièrement comme si on m avais jetter dans des flammes.

J entendis la voix de jack mais ne fut pas capable de déterminé ce qu il disait.  Je su juste au timbre de sa voix que son emotion etait passé de fureur a interrogations puis a inquiétude.

Je perdis connaissance peu après m etre sentie seccouer par les épaules.

"...: un jour prochain, tu sera enfin a moi! "

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