CHAPITRE 12

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"- Comment ça vous n'en savez rien ?!
- Alaska c'est la première fois que ça arrive.
- Tu te rend compte de ce que tu me dis ? Désolé Charles mais c'est un peu la goutte d'eau ! Cette histoire de machine photo prototype future expérience de je sais pas quoi ? J'y ai cru c'est drôle, mais j'y ai cru mais visiblement je n'aurais pas dû elle a l'air en panne votre imprimante 2.0 ! De quoi ai-je l'air ? je vous distribue tout mes espoir et chacun leur tour ils se dissipent dans cette hôpital, tous. Je n'ai plus rien.
- Alaska, je pense que c'est un signe. Si Arthemis n'a pas sa photo il s'est passé quelque chose ou plutôt il se passera quelque chose dans 30 ans et tu doit éviter ça.
- Non je vais rien éviter et vous allez me rendre ma fille et on en parles plus, j'en peut plus putain! J'en peux plus... "
Toutes les larmes eu j'avais retenues jusqu'à présent dévalèrent mes joues, celles ci étaient rouge. Je pris mon sac et me dirigea en vitesse vers la porte. La pluie déferlait le long des façades assombri par la nuit. Je m'assit sur le rebord du trottoir trampé. Le vague bruit des ambulances au loin se mêlait au son effrayant produit par le tonner. J'étais tellement en colère non-seulement contre Charles mais surtout envers mois d'avoir accepté n'importe quoi sans y avoir réfléchi au préalable. Si j'étais resté la même qu'avant j'aurais fait une liste pour relativiser le pour et le contre mais je n'ai plus la force de me confronter au contre qui très certainement vas gagner la bataille.
Des pas se rapprochaient de plus en plus de mon corps tremblant de froid.
Une partie de moi espérer qu'Isabelle soit venu me chercher mais l'autre partie, à l'évidence majoritaire pencherais pour un côté plus romantique, Charles Hamilton. Mais paumes demain se retirèrent délicatement de mes paupières et d'un geste bref, retira les dernières larmes mêlées aux gouttes de pluie pour éclaircir ma vision.

Suis moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant