Ballade pour Adeline. // Bts // Kim Taehyung // En Réécriture

Chapitre 9:

Le jour du concert

PDV Taehyung (V): 

-C'est bon, je suis bien habillé... Dis je. 

-Mais on ne va pas faire un défiler de mode, puis tache bien de mettre ton cache, sinon ça ne va plus rester un concours de piano mais une séance d'autographe... Me dit le leader. 

Nous étions en route pour le lieu du concert comme promis, je me sens pas vraiment très bien, mais comme je devais y aller... Après avoir acheter nos places nous nous installâmes. Jin avait dans ses bras une feuille où il y'a le classement des participants. Ils devaient joué un morceau de leur choix. Il est écrit qu'Adeline est la huitième. Faut donc encore attendre. C'est chiant d'attendre ! Suga s'était même endormis sur son siège, pourtant c'est lui l'expert en matière de musique, il devait peut être un peu plus intéresser par son passe-temps plus ou moins favoris, mais le publiques disaient que tous les participants étaient pathétiques et qu'ils répétaient la même partition avec des fautes de temps différents...  Moi et Jimin, disiont pourtant qu'ils étaient tous pareilles. J-Hope disait que s'était mou, et il avait raison ! Ce concert était tout sauf divertissant. Soudain, on appela le prénom Adeline. C'était elle ! D'un coup, des chuchotements commencèrent à s'élever. Nous avons essayer de comprendre ce que les gens disaient. 

-C'est elle ? 

-Oui. Cette machine vivante... 

-C'est sûrement elle qui gagnera. 

-T'as entendu on dit que c'était la championne de France... 

-Ah enfin, que va nous jouer l'esclave de la partition cette fois ? 

-Moi je ne l'aime pas, on dit qu'elle est égoïste. 

Je pris par le col le mec qui a dit la dernière phrase. Jungkook réussit à me calmer. Je restai silencieux, est ce vrai tous ça ? Faut que je lui demande... 
Une jeune fille arriva, doucement mais sûrement. Elle avait un regard plein de détermination, elle avait porter une robe rouge et noir. Elle s'inclina et s'assit sur la chaise. Elle ne semblait pas du tout nerveuse ni stresser, se qui me laissa dans l'étonnement. Une fois qu'elle toucha d'une main les clés, la salle plongea dans un grand silence, tous le monde semblaient être attiré par une force invisible, nous restions figer, craignant que si on bougeait, nous nous réveilleront de ce beau rêve de printemps. Les sons provenants du piano semblaient irréel, je n'osais lever le petit doigt, j'en ai même oublié de respirer. La jeune fille était confiante et regardait fixement les clés, noirs et blanches. Ses mains dansaient entre celle ci, faisant de belles piroullettes pour cette petite valse qu'on espérait sans fin. C'était inimaginable. On aurait dit qu'elle nous transmettait des tas d'émotion, l'amour, la joie , le bonheur. Je la voyais sous un cerisier Japonais, entrain de fleurir. Je clignait mainte fois mes yeux pour me rassurer si c'était vrai, mais au fond de moi, je me disait que si c'était qu' un rêve dont je ne voudrais pas me réveiller...

Quand elle eut fini, tout le monde restait dans un silence total. Mais soudain, les gens dans la salle commençaient à crier et à applaudirent comme si c'était un match de foot, et que quelqu'un avait marqué un but. D'autre personnes ne semblaient pas du tous surpris. Elle releva la tête pour saluer le publique et je remarquai qu'elle pleurait... Serait ce la joie d'avoir toucher tant de coeur ? Et pourquoi au fond de moi, je crois plutôt que c'est de la pure tristesse ?

Je sortis avec les autres de la salle, vu qu'il n'y avait plus trop de candidat. Nous demandâmes à Suga le spécialiste en question de nous expliquer un peu... 

-Ben, elle n'a strictement fait aucune faute, de touche, ni de temps, elle obéit à la partition, telle un robot... 

Il fut interrompu par les chuchotements qui s'élevaient entre les gens. On remarqua qu'Adeline arrivait en courant, elle s'était changée. Elle fut arrêter par deux jeunes filles qui lui donnèrent un grand bouquet mauve et rouge. Celle ci l'accepta gentiment, puis se dirigea vers nous. Les autres membres se précipitèrent vers elle en la félicitant. Je n'ai pas pu dire quelque chose, car les autres volaient tous mes mots... Après que les autres soient calmés elle leur adressa un sourire puis me regarda bizarrement.