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Il y avait tout le monde, cette chaleur de juin. Les filles, les nouvelles rencontres, et ... Toi. Que veux-tu ? Avec moi, tout se ramène à toi. Ne me fait pas croire que tu te moques complètement de mes faits et gestes. Pourquoi la questionner à propos de moi sur ce qu'il s'est passé avec un autre ? Pourquoi savais-tu qu'ils étaient à la maison, dès le lendemain ? Si tu t'en moques réellement, explique-moi pourquoi tu le sais ?
Dans ces soirées, il arrive qu'on se retrouve. Mais après ce que tu m'as fait, ce que tu sais, qu'y avait-il a espérer ? Je peux dire que je n'étais pas la seule à me demander si tu t'étais joué de moi ou pas, d'autres plus proches de toi que de moi se le demandaient aussi. L'un d'eux m'a proposé de te tester...
Ce soir-là, chacun de notre côté, nous profitions de la fête. Tu buvais, je dansais. Lorsqu'il est arrivé, le test a commencé. Pour que ça fonctionne comme prévu, c'est-à-dire que je profite de ta réaction, il a fallu que tu nous vois. On est venus vers toi avec une amie et lui, comme pour partager un moment, vous avez parlé tous les trois puis, il s'est retourné vers moi pour m'embrasser. Tu as continuer à parler avec elle mais c'était plus tendu. On est retourné voir tout le monde, il m'a de nouveau embrassée. Près de là où la fête battait son plein, il y avait une sorte de cabane où tu es allé. Quelque temps après, je suis venue avec une amie. On a parlé, tu étais sur ta chaise, j'étais appuyée à un autre tas de chaises non loin de toi. Je ne sais pourquoi tu m'a demandé de me rapprocher et je l'ai fait. Tu as aussi cherché à m'embrasser mais, cher ami... "Tu as voulu jouer, tu as perdu." Après cette remarque sarcastique de ma part, tu avais bien du mal à comprendre ce qui venait de t'arriver. Moi qui avais été toute à toi, jusque récemment. Ton égo en pris un coup.
Plus tard dans la soirée, un des gars de la soirée s'est blessé. Je l'ai donc aidé à soigné sa plaie. Tu étais là toi aussi, mais au lieu de nous aider, les filles et moi, tu sourirais. Voyant ton expression, je me pus m'empêcher de te réprimander. Comme je le fais avec mon frère, je t'ai saisis le poignet et parlé calmement en te regardant dans les yeux. Peut-être n'aurais-je pas du ? Peut-être aurais-je du t'ignorer ? Mais je ne le pouvais pas. Une fois les pansements terminés, je me suis posée dehors pour pouvoir respirer. C'était sans compter que tu viendrais t'assoir avec moi. Je ne sais plus comment nous en sommes arrivés à parler de notre séparation. Je sais juste que tu étais proche de moi, trop proche de moi. Lorsque d'autres sont arrivés, je me souviens m'être éloignée de toi. Nous avons un peu parlés puis tu as, pour je ne sais quelle raison, décidé d'aller vers le ruisseau. De nature protectrice par rapport aux autres, refusant de te laisser y aller seul, je t'ai accompagné. Quelle idée stupide ! Nous avions pas fait la moitié du chemin, que mes chaussures étaient trempées. Aussi t'ai-je dis que je préfèrerais que nous retournions vers la fête.
Plutôt que de s'y arrêter, nous sommes rentrés dans la cabane, elle était vide. Je me suis assise sur la chaise la plus stable. Après notre récente discussion, quand tu t'approcha de moi, je le laissais faire. Je te laissais m'embrasser. Je laissais ce sentiment longtemps refoulé, me brûler toute entière. Mes mains retrouvèrent ton cou, les tiennes mes hanches. Je pourrais dire que ce moment était parfait. Parfait jusqu'a ce tu me demandes si je t'aimais toujours puis que l'un des garçon vienne te demander des cigarettes. Je me suis de nouveau écartée de toi mais cette fois-ci, nos positions ne laissaient pas place au doute ; enfin le garçon partit sans avoir ce qu'il désirait. Tout reprit comme s'il n'était pas venu mais tu me sentais gênée. Ainsi nous nous sommes encore éloignée de cette fête à laquelle nous ne participions plus.
Notre nouveau coin était plus calme et personne de vint. Il y avait juste une table, et nous. C'est lorsque tu eus un appel, puis deux (que tu ne pris pas) que je me souvins que mes amies ne savaient pas où j'étais. Tu pris tout de même le troisième mais sans leur donner la réponse qu'elles attendaient. Selon tes dires, tu étais seul en train de fumer. "Fumer" fut la preuve irréfutable, ne fumant pas, je ne pouvais donc pas être avec toi. Après ça, tu décidas d'éteindre ton téléphone... peut-être t'avais-je enfin pour moi. J'avais l'impression d'avoir tant attendu. Que je n'aurais jamais la change de te retrouver près de moi. Peut-être que ça aurait été le cas sans notre test. Peut-être que je t'aurais plus approché après cette soirée. J'avais tellement d'attentes et tu n'en savais rien. Tu n'en sauras jamais rien. A ce moment-là, ce fut comme si rien n'avait changé, comme si notre rupture n'avais jamais eu lieu. Je me demandais combien de temps la magie durerait, ce que tu pensais de ce nous maintenant. Ressentais-tu la même chose que moi ? Je ne le saurais sans doute jamais.
A notre retour, je me rendis compte que cela faisait deux heures que mes amies me cherchaient. Déjà énervée d'avoir dû te quitter pour enfin me reposer, je les envoyais paître. Je récupérais mon couchage et à ma surprise, tu me rejoins pour la nuit. Survivrons nous pour la nuit ?
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Textes et Imagines
Kısa HikayeDans ce "livre" je regrouperais mes Textes et mes Imagines. Les textes auront davantage un lien personnel. Vous pourrez le voir à la différence de titre. Les imagines font intervenir des célébrités. Les titres vous annonceront s'ils sont de type tri...