Chapitre 18

21 4 5
                                    

Lå taxi Que j'avais appelé en sortant de l'hôpital ne se fit Pas attendre, par contre le stress Lui se dit ressentir. Ce stress de devoir partir. Où? Pourquoi? Pour qui? Et maintenant? Qu'est ce que je dois faire? J'entre dans le taxi. Bizarrement je n'avais pas les larmes au yeux ou les mains qui transpiraient, je crois qu'en fait je ne savais même pas ce que je faisais. Mon coeur bat à Deux cent à l'heure. Je dis au taxi man De me déposer à "lå rue des oiseaux", c'est lå ou se trouvait la maison de mes grands parents. Il me déposa et je Lui tendus un grand billet sans constater Ma dépense je sortis en courant.
Mamie m'attendait devant le portail gros, ce vieux portail qui nous avait, à moi Et à mon frère, servi de jouet pendant nos plus belles années. Nos plus belles années sont celles de notre enfance, pour moi en tout cas. Nous ne regardions pas notre poids ni notre taille, il n'y avait pas de "noirs", de "Musulmans", de "Juifs" ou d'autre catégorie de personnes, nous étions tous amis Et Lå seule chose pour laquelle nous nous inquiétions vraiment était De pouvoir retrouver nos poupées ou nos petit vélos à trois roues en rentrant de l'école enfantine...

- Mamie, laissons nos histoires de côté pour aujourd'hui je t'en prie.

- Oui, je crois savoir où il est parti, je ne sais pas si tu te souviens cette grande geule au bout de la rue?

- Oui je m'en rappelle tres bien...

- Je t'emmène en voiture pose tes affaires nous partons.

The EndOù les histoires vivent. Découvrez maintenant