Apres m'être à nouveau douchée et rhabillée je pris une grande décision, il le fallait c'était la seule solution; je décidai donc d'être heureuse. Oui ça pouvait paraître absurde parce que quelques heures auparavant j'étais au bord d'une fenêtre prête à sauter, grâce à mon poids d'oiseau mon héros qui était à la fois mon petit frère m'avait retenue. Il le fallait j'allais être heureuse, Alors je vais aller leur expliquer.
Maman était assise à la table lå tête entre les mains:
- Maman... je voudrais te parler, commençai-je.
D'un coup elle se releva comme si je l'avais réveillée. Elle me regarda, longtemps, Ca devait faire trente secondes qu'elle me dévisageait, j'eus l'impression qu'elle n'avait pas compris ce que je lui avais dit, Alors une nouvelle fois je répétai :
- Maman? Tu as entendu? Je dois te parler maman c'est important.
- Je t'écoute, dans sa voix j'entendais l'espérance Et je souhaitais ne pas la décevoir, encore.
- Maman, j'ai décidé de m'en sortir, d'être heureuse et de Vous rendre heureux, De manger Et De redevenir lå jolie fille Que j'étais Avant.
Elle regarda la photo de moi sur le frigo, cette photo qui datait de quelques jours avant sa mort. Elle me regarda comme pour comparer, ses yeux avaient pris, en quelques secondes, un éclat que je n'avais plus revu depuis longtemps, Bien trop longtemps.
- Maeva, ma filles tu es magnifique tu es une battante et je te promets de t'aider et tous les trois on va réussir je te le promets, me dit-elle enfin.
Elle me sourit Et je fis De même, c'était ma maman et si je devais rester je le ferais au moins pour elle, elle m'a mis au monde il y a maintenant dix-huit ans, ma vie ne pouvait pas s'arrêter maintenant. Certes mon coeur était détruit, mon corps avait absorbé trop de médicaments, mes poumons étaient en mauvais état et lå lame que rasoir que je venais de jeter m'avait trop servi pour de mauvaises choses.Au Pas De lå porte j'entendis une respiration joyeuse, je me retournai Et je vis mon frere me sourire, il avait entendu. Il me dit:
- Je t'aime. Tu es ma soeur je ne te laisserai pas partir.
VOUS LISEZ
The End
Teen Fiction"Cela faisait longtemps que je n'avais pas gouté au médicaments, je me lance, poignées par poignées, si je me réveille je serai à l'hôpital." J'ai écrit Ca il y a cinq ans, malheureusement je me suis réveillée. À l'hôpital comme je l'avais prédit. M...