Pourquoi tu me suis ? [got7.Jaebum] ||TOME 2|| TERMINER ||

17

Je me réveille, de bonne humeur car j'ai passée une formidable soirée.
Je donne un léger coup de brosse, puis je descend dans le salon. Jae Bum n'est pas la bizarrement, je me demande pourquoi. Vu qu'il n'est pas la je décide d'aller me préparer et faire un tour dans le quartier.

La toilette faite, je sors. Je réfléchissais à ce que j'allais lui dire et quand. J'ai peur qu'il réagisse tellement mal, ou qu'il soit énervé, ou même me rejeter..
Je comprendrais ça réaction mais je voudrais m'expliquer avec lui afin qu'il ressent ma peine de devoir jouer avec lui. Mais je sais ce qu'il subit n'est pas non plus une partie de folie, il souffre et me le fait remarquer.

Je m'installe sur un coin d'herbe, je repense à tout. Quand je l'ai rencontrer, la misère que je lui ai fais, les moments "adorables" et mes coup de gueule aussi.. Jusqu'au dernier, l'accident. Il devait, fin je sais même pas car je n'étais pas la, mais j'aurais aimée qu'il sache des le premier jours, que c'était moi, je n'étais pas morte, j'ai été manipulée, que je voudrais tout recommencer. Même si à l'heure d'aujourd'hui il est peut être trop tard, je le ferais. S'il me déteste, je ferai tout pour qu'il ne le cesse. S'il m'en veut, je ferai tout pour me faire pardonner. S'il me rejette, je ferai tout pour lui faire comprendre que je l'aime et que je ne supporte pas d'être loin de lui. Je ferais tout, tout jusqu'à réussir à le retrouver.

Je me relève déterminée, puis pars en direction de chez lui. Je me dis qu'il vaut mieux que je me dépêche avant d'avoir peur et de faire demi-tour comme à chaque fois. J'ai limite envie de courir. En faite, je vais courir, je cours même si je suis épuisée, je me fiche d'elles, je ne peux plus le voir comme ça, je ne peux plus jouer un rôle.

J'ouvre la poignée.

Hae : Jae Bum !

Je le regarde, il fait de même je ne comprend pas son regard. Puis je fais attention à chaque détail.

Hae : Non..

Je ferme la porte délicatement, je ne savais pas comment réagir. Son regard, plutôt ce regard, je ne pourrais jamais l'oublier.