Un Enfant Ça Fait Tout 🚷

retour au pensionnat​

                          Gwénolé

Gwénolé n'avait rien demandé mais pourtant il devait suivre le régime​ strict du Ramadan . Le soleil étant à son apogé Gwénolé ne puis résister à la chaleur torride qui conséquent le fit tomber dans les vapes . Un des hommes dont le visage était camoufler par un turban saisit l'inconscient par le bras et de sa main libre lui renverse de l'eau sur le visage . Quand celui-ci​ réouvre les yeux l'homme conclue la situation d'une seule phrase " faut le temps de s'habituer , il fait 20° de plus qu'à Paris " .
Gwénolé pris d'étonnement regarde son secouriste d'un oeil inquiet : je vais pas survivre longtemps, putain.
Sur ce un convoi arrive , la proie est proche . Gwénolé n'a pas encore d'arme , il est spectateur . C'est un début pour lui , il ignore même les couleurs du pays pour lequel il va combattre , Et encore heureux car il ne défend pas une humble cause.
Le convoi n'est composé que de 4 jeeps dont l'une avec une tourelle . Un de ces compagnons s'empare d'une arme dont le canon est particulièrement long . L'homme s'allonge sur le sable l'arme à son côté . Il l'a place devant lui le canon tout en essayant de garder l'équilibre parfait sur la dune. Sa paupière gauche se replie , pendant une seconde on a l'impression qu'il ne bouge plus , que le temps s'est arrêté mais juste après ce moment d'évasion le cliquetis de détente puis de la balle qui s'échappe du canon nous rappelle l'instant présent.
Les moteurs s'arrêtent et les soldats qui les occupes se replie derrière le véhicule . Dès lors une pluie de balles frappent les dunes et provoquent à chaque contact une petite erruption de sable .

________________________________________

                           Siméon

Avouez le pensionnat ça vous manque ?

Le rideau est tiré et le soleil ébloui de ses premiers rayons les enfants encore endormi . Siméon ouvre les yeux pour les refermer . Mais cela est vu comme une désobéissance par le surveillant qui vient juste de lui demander de se lever .

Le surveillant : vous irez une fois habillé passer 2 heures au cachot vous pourrez dormir en paix .

Siméon traine les pieds , en sortant du dortoir il jette un coup d'oeil évasif pour voir ses amis . Ils ont l'air si triste . La mort dans l'âme Siméon rejoint le cachot , à l'entrée le surveillant gardien le regarde d'un oeil mauvais .

Le surveillant : nom et mon motif de votre présence .

Siméon : insolence , je m'appelle Siméon .

La grande porte s'ouvrit sur une salle sombre qui dégageait une telle fraîcheur qu'elle en fit frissonner Siméon . Siméon s'engouffre dans la pièce  noir dont la faible luminosité qui l'éclair s'estompe plus la porte se referme . Un bruit vient cependant titiller Siméon qui n'ose pas bouger eyant la peur du noir . Mais les pleurs d'une voix féminine ainsi que des lamentations viennent de sa gauche . Il longe le mur quand il se sent près de la jeune fille .

Siméon : qu'est ce qui ne va pas ?

La jeune fille : rien

Cette voix lui était familliaire il reconnu soudain la personne .

Siméon : Alice ?

Alice : c'est toi Siméon ?

Siméon : oui

Siméon passe ses bras autour du cou de la pauvre fille . Même si l'écart d'âge était important Adèle était plutôt petite , a peine plus grande que Siméon . Elle se remets à pleurer la tête dans l'épaule de Siméon . À la grande​ stupéfaction de celui ci elle se met à crier . Dans ses phrases rapides et brèves elle dénonçait l'injustice et le désarroi qu'elle éprouvait en ce moment.

Les deux heures finis la jeune fille consolée ,Siméon reprend les cours normalement . Pendant cette heure de physique il est perturbé , il ne suis pas le cours . Dans 10 minutes​ c'est la récréation , mais il n'y a pas de sonnerie qui l'annonce seul le professeur est maître du temps . Il faut juste qu'il n'empiète pas sur le cours d'un autre mais s'il s'agit de la récréation alors rien ne presse. Lorsque un quart d'heure vous est supprimé sur une pause de vingt minutes cela créer un tension parlais les élèves . Siméon arrive à peine dans la cours que le siffler annonce la fin . En rang , en ligne et les mains dans le dos , à cela s'ajoute un silence olympien . Les élèves sont orientés vers la façade d'où une porte vitrée s'ouvre lâchant un mystérieux personnage. Siméon sent une certaine tension parmis ses camarades . Il se penche en avant pour chuchoter dans l'oreille de son voisin . " C'est qui ?" .
Le surveillant aux mauvaises nouvelles . Lui réponds celui ci .
Siméon ne comprends pas mais acquiesce avec spontanéité . Petit mais robuste , chauve mais barbu , voilà le physique de cet homme qui se fait craindre jusqu'au fin fond de la cours .

Le surveillant : j'ai appris ainsi que constater un grave délit . Des petits mariolles ont aspergé le lit d'un de vos camarades de dentifrice .

Ce genre de fait était rare car les dortoirs étaient comme toutes les autres pièces fermées la plus part du temps . Mais cette fois si un élève c'est vengé mais en attendant le surveillant va se venger sur nous .

Le surveillant : si je n'ai pas le coupable dans 30 secondes je vais vous faire attendre 20 minutes comme ça .

30 secondes et rien ne se passe . Le surveillant repart et faire comprendre que les élèves vont devoir attendre, longtemps. Les vingts minutes écoulé il narre le même discours tout en mettant la même sanction . Un élève qui , lâche je vous l'accorde, se trouvait en fort mauvaise posture car l'envie d'aller au toilette le arassait , il dénonça tout haut . Je l'ai vu c'est lui pointant du doigt un élève au hasard . Il n'y avait pas de plus audieux mensonge que celui-ci​ . Mais la stupidité des surveillants dit que même quand le faux coupable nia les faits il fut automatique puni et reconnu coupable devant tout le monde . Une séjour au cachot lui est offert sous les acclamations du cadre supérieur ici.  présent .

Trop d'injustice me direz vous . Mais arrêtez de réfléchir car vous commencez à désobéir .

  Fin du chapitre .😶🔫