Découverte de sa nouvelle famille

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Huit jours d'interrogatoire , des questions , de gens qui le fassent chier pour avoir enfin la paix . Cela dit Leheren apprend qu'on va le placer dans un foyer . Demain il va rencontrer sa nouvelle famille . Le soir dans sa chambre d'hôtel il reste songeur . Allonger sur le rebord de la fenêtre il regarde les voitures , les gens , les cafés , les restaurants .... Tous sembles si particulier . Chaque personne à sa vie , son propre monde ses propres amis , ses merdes et ses joies et pourtant chaque jours tous ces gens se bouscule sans même savoir qui ils ont face à eux , et quelle monde entoure cette personne . Leheren à envie de s'arrêter , de parler à chaque passant , lui demander son nom, sa vie , ses exploits , découvrir touts les hommes . Au pensionnat personne n'avait de vie , on partageait les mêmes choses , les mêmes souvenirs, la même vie . Leheren s'endort sur le balcon . La fraîcheur du vent est une sensation si particulière . Il ne l'avait senti .

Le lendemain deux policiers le sortent de son sommeil .

Après un bref petit déjeuner ils montent dans la voiture , ça nouvelle famille habite en banlieue parisienne à Neuilly sur Seine . Une famille aisé , deux enfants dans une maison privé . La voiture se gare devant une grande grille noire sur laquelle un panneau démontrait que la maison était sous la surveillance des caméras . Je vais être encore surveiller.
La mère le père et leurs enfants se tenaient sur les marches de la porte d'entrée . Tous blonds et d'une pâleur effrayante . Leheren se dit qu'il ferait tâche avec ses cheveux bruns dans compter que des le départ il n'a pas envie de s'intègrer.

Les Présentations finissent par une accolade chaleureuse . La maison est vraiment grande et très joliment décorée . La chambre de Leheren est spacieuse elle lui convient bien car il échappe son premier sourire .
Le soir il fait connaissance avec Ben , son grand frère . Leheren est assis sur son lit en tailleur habillé de son jeans trop large que la police lui avait donné .Ben entre dans la chambre et s'installe sur une chaise qu'il place devant son nouveau frère .

Ben : je peux venir .

Leheren : oui oui . Un peu embarrassé

Ben : je m'appelle Ben .

Leheren : ouais je sais .

Ben : tant mieux alors . (Dit-il en se basculant en arrière tout en passant sa main dans ses longs cheveux blonds . ) Tu connais Paris ?

Leheren : de nom seulement .

Ben : ça dis demain on va y faire un tour après un petit MacDo .

Leheren : MacDo ?

Ben : ah oui maman m'avait bien dis que tu connaissais pas grand chose de notre époque . MacDo c'est une sorte de restaurant .

Leheren : bon ok avec plaisir .

ben se lève et Leheren lui pose une dernière question .

Leheren : tu as quelle âge ?

Ben : dix-sept et toi.

Leheren : je sais pas .

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                            Nelo

Sur le coups Nelo ne sait pas qui a tiré mais il devine où se trouve le tireur . Dans le couloir qui coupe perpendiculairement celui où il se trouve dont le tournant est à environ un mètre . Ce qui veut dire que ni lui ni le tireur ne peuvent encore se toucher . Nelo pense : se cacher , s accroupir et l'attendre où tout bonnement fuite comme il était prévu des le départ . Fuir.
Nelo remonte le couloir passe la porte descend les escaliers , réemprunte un couloir, se trouve face à un autre escaliers , monte les marches . Tombe nez à nez avec une bonne femme qu'il écarte de son passage . Traverse une bibliothèque , puis un corridor . Pour enfin se rendre compte qu'il est perdu . Les fenêtres sont toutes munis d'un verrou et d'un double vitrage . Les cris et les bruits de pas de ses assaillants qui déferlent dans les escaliers lui indique leur proximité.

Nelo : et merde ses couillons vont me rattraper il existe bien un moyen de s'échapper ? Après une seconde d'hésitation ? Euh bien non enfaite .

Nelo crie une voix . Je la connais .

Nelo : oui c'est moi . Répondit il a son interlocuteur qui descendait l'escalier et dont seul la main sur la rampe n'était Visible . Il doit être un étage au dessus . De toute façon je suis fait comme un rats .

Un costume blanc immaculé un visage carré qui ressemble parfaitement au directeur du penssionat se trouve face à lui . Il n'y a pas de doute c'est bien lui , malheureusement ......

Nelo : je suis vieux pour ses bêtises . Tu le sais bien . Ne me fait pas courir .

L'envie démange Nelo de lui collé une balle entre les deux yeux mais il n'a plus de cartouche .

Nelo : bon tu m'as vendu à qui enflure .

Son directeur s'approche de lui puis met sa main sur son épaule comme un geste de réconciliation . Soudain Nelo se tord en deux . Il lui a attrapé les nerfs et celui ci crie de douleur .

Le directeur : je t'aime bien Nelo mais n'oublie pas que j'ai tout pouvoirs sur toi alors un peu de respect à mon égard .

Nelo :( les larmes aux yeux ) oui....... ça fait mal ............ pardon.......

Le directeur : le deep weeb à besoin de toi .

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                           Siméon

J'ai faim Bordel . Siméon à sauté deux repas de suite . La qualité de ses TIG ne valait pas un repas . Le soir venant les enfants descendent au réfectoire . Mais un Surveillant à pris en grippe le petit Siméon .

Surveillant : tes lacets , pour la peine tu passeras le balais après le repas .

Siméon murmures : connard....

Une claque magistral le renverse sur le sol .

Surveillant : je suis un connard ?! Tu vas peser tes mots sale gosse .

Il le frappe du pied dans la tête puis dans les côtes . Plus l'enfant supplie plus il persévère . Siméon à la lèvre pulpeuses imbibé de sang . Une marque sous l'oeil se dessine. Il le traine par le col devant tout le monde et le fais asseoir sur la chaise surélevé du surveillant . Joli spectacle ? Hein ! Le repas est en silence .
Le soir au dortoir trois quatre gamins trouvent le temps de plaisanter dans les sanitaires . Mais leur éclats de rire attire l'oreille d'un surveillant qui leur a fait vite comprendre se que c'était le silence . Les 4 Gus se retrouvent de corvée . Nettoyer le carrelage du couloir est . Produits balais et serpilleres sont indispensables . Lorsque les balais est passé l'un des élèves glisse sur le produit sol qui le traine sur un bon mètre .

Le garçon : renversé le produit sur le sol on va se faire une patinoire .

Ils s'exécutent . Un instant après le sol était glissant et les enfants s'amusait dans différentes positions a déraper sur le sol avec le plus de style possible.

Merci 👋

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Un Enfant Ça Fait Tout 🚷Où les histoires vivent. Découvrez maintenant