Tout est de sa faute :
Notes de l'auteure : Bon, je sais, je vous avais promis un truc glauque si je me souviens bien pour le prochain drabble. Mais bon, vu que j'avais écrit celui-là lors d'un cours comme je m'ennuyait (oui, je m'ennuie en cours, c'est pas bien ^^), je me suis dis que je ferais le glauque pour plus tard. Voilà, voilà, bisous, bisous, je vous laisse lire mon drabble, en espérant qu'il va vous plaire. On se retrouve en bas.
Il serra tout d'abord sa tête, les yeux clos et crispés, il s'était recroquevillé sur lui même, retenant larmes et cris, tentant sans y parvenir de faire taire les moqueries latentes et acides de son frère tout comme ses remarques sèches et meurtrières. Il avait peur. De quoi ? Il ne savait pas vraiment. Peur d'un nouvel abandon, peur des décisions de son ainé, peur de la solitude, peur du vide, peur de la mort. Il ne voulait perdre personne d'autre, il ne voulait plus pleurer des nuits durant en revoyant les sourires et les gestes doux de ses proches partis trop tôt.
Il serra d'un coup sa couette en observant à titre posthume sa femme lui sourire et lui parler gentiment. A cette vision, il eut envie de la serrer, de lui dire que même s'il ne l'avait pas aimé comme un mari aurait dû le faire, qu'elle lui manquait et bien-sûr, combien il regrettait de l'avoir laissée partir en Angleterre, de l'avoir abandonnée à son sort.
Mais il se retint, il ne pouvait pas, la limite de son cerveau, de son esprit l'empêchait de serrer ce corps, de l'embrasser.
Elle était morte, à cause de « Lui », tout était de « SA » faute ! Elle n'était plus qu'un songe, un simple rêve, un esprit. Qui pouvait serrer un esprit ? Pas lui en tout cas. Les larmes s'échappèrent enfin sans qu'il ne puisse les arrêter. Le voilà maintenant, pleurant sans retenue dans ce lit devenu d'un coup bien trop grand pour lui tant il était recroquevillé sur lui-même.
Soudain, il sentit une pression sur son épaule. Cette main douce et pourtant bien masculine, le serrait, mais pour lui, c'était comme une caresse, une douce consolation. Il se raidit d'un coup, appréciant le contact auquel il ne s'attendit pas. Alors que la douce caresse prenait fin, une nouvelle crise de larmes le submergea.
Il se retourna et éleva des yeux rougis vers son conjoint blond, visiblement réveillé par ses pleurs. Philippe finit par enfouir sa tête contre le torse du blond, séchant ses larmes tout en répétant sans interruption et avec la même rage, tout en étouffant ses gémissements et cris plaintifs :
« C'est de sa faute ! »
Notes de l'auteure : Voilà ! Comment ça, encore un texte triste ? Je ne vois pas du tout ce que vous voulez dire ! Vraiment pas ^^Bon, ça fait depuis une éternité que je n'ai pas postée et oui, ça m'avait manqué. Mais bon, vous savez ce que c'est, les cours, tout ça, tout ça et je me rends compte que je dis n'importe quoi vu qu'il y a eu les vacances. ^^'' Shame on me, ne me jetez pas de bananes ni de tomates pourries stp.... Bon, les formules habituelles, en espérant que ça vous à plus et à la prochaine !
Big bisous à tous et à toutes mes petits lapins de garenne sauvages.
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Versailles a big story
FanfictionQue diriez-vous de petits textes qui n'ont pas toujours de liens entre eux sur l'une de mes séries préférées, j'ai nommé: Versailles! Un roi plutôt capricieux ou bien un frère qui ne demande qu'à prouver qu'il existe, je vous montrerai les dessous d...