Orage
Note de l'auteure : Bien le bonjour ou bien le bonsoir jeunes gens ! Me voici de retour parmi-vous avec l'espoir que vous avez lu ma note qui se trouve être le chapitre précédent. 14 chapitre ont déjà été écrits et celui-là est le 15ème. Croyez- le ou non, c'est bien la seule fiction qui en contient autant, en même temps, ce ne sont que de petites histoires. Bon, bien sûr, pour que les comptes soient bons, il faut enlever les chapitres 1 et 14, ce qui fait que j'écris actuellement la 13ème histoire. Ouah ! Vous avez supporté mes bêtises jusqu'ici, et pour tout ça, je ne peux que vous dire merci ! Dites-moi, l'orage, vous le craignez ? Un noble en tout cas, lui, oui. Découvrez les déboires d'un pauvre homme qui a peur des éclairs. Bonne lecture !
La première fois, Philippe avait rit, ne prenant sérieusement le corps tremblant à ses côtés, se disant que, comme à son habitude, l'homme se trouvant sous les couettes devait chercher à se faire remarquer, à faire un autre de ses tours pour amuser le brun. Puis, voyant qu'il était sérieux, Philippe se montre compatissant, caressant le dos courbé qui montrait la position craintive de l'autre qui s'était recroquevillé sous l'épaisse couverture, sursautant à chaque fois qu'un éclair déchirait le ciel. Et, le temps passa sans pour autant emporter la peur. À chaque fois qu'un orage se faisait sentir et ravageait le ciel, un être d'habitude si fier se retrouvait dans une chambre qui n'était pas la sienne, et se cachait sous les draps ou bien dans les bras de son prince protecteur, s'accrochant à lui de toutes ses forces.
Maintenant, là, tout de suite, Philippe voulait juste que cette phobie ridicule cesse, il n'en pouvait plus. À ses côtés, Liselotte le fixait, les bras croisés contre sa poitrine, assise sur le matelas, elle regardait avec de petits yeux ensommeillés et un sourcil relevé ce corps secoué de sursauts qui serrait celui de son mari. Elle souffla, lacée, mais sourit tout de même, retenant un petit rire moqueur devant le visage encore endormit de Philippe qui lui lança un regard désespéré avant de sourire à son tour, il avait l'impression de s'occuper d'un enfant. Un bruit éclata, amenant avec lui une zébrure bleutée qui traversa le ciel.
À ce son, le couple marié regarda par la fenêtre avant de reposer de nouveau leurs yeux bleus sur l'homme blond qui laissa échapper un gémissement qui ressemblait, aux oreilles de Liselotte, au cris d'un chiot perdu. Elle agrandit son sourire, moqueuse, augmentant aussi celui du brun, et posa une main sur l'épaule de l'apeuré qui se tendit au contact avant de détendre ses épaules à nouveau. Liselotte ne put retenir son rire cette fois-ci devant le visage de Philippe qui relevait les yeux au ciel.
Le brun s'exprima, chuchotant à l'oreille de l'homme qui frémit au contact du souffle chaud qui le chatouillait délicieusement.
« Franchement Chevalier, tu ne crois pas que tu es un peu trop grand pour être aussi effrayé par un simple petit orage ? »
Note de l'auteure : Voilà, voilà ! Ça fait depuis un petit moment que je n'avais pas poster un texte qui ressemblait vraiment à un drabble. Donc, je pense qu'il est un peu trop long pour un drabble mais trop court pour être un mini one-shot. Quoi qu'il en soit, donnez-moi votre avis. Qu'avez-vous pensé de la petite phobie de notre blond favoris ? Si vous voulez tout savoir, ce drabble est né avec un gros délire que l'on a eu mon amie et moi. Bon, je vous laisse et part avec la promesse d'un nouveau drabble qui arrivera très prochainement. J'ai une idée qu'il faut que je recopie et une idée à écrire.
Big Bisous à tous et à toutes mes gastéropodes avec un bonnet préviens des montagnes de l'Himalaya !
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Versailles a big story
FanfictionQue diriez-vous de petits textes qui n'ont pas toujours de liens entre eux sur l'une de mes séries préférées, j'ai nommé: Versailles! Un roi plutôt capricieux ou bien un frère qui ne demande qu'à prouver qu'il existe, je vous montrerai les dessous d...