Jamais je ne vous tuerai [Undertale Fanfiction] Tome 2

Chapitre 19 : Un moment avec Gaster.

[PDV Mylène]

Je marchais à travers Waterfall, j'étais en service. Je veillais à la sécurité des habitants de l'Underground.

Je décidais de m'accorder une petite pause sur un banc. Plus particulièrement, celui où se trouvait une quiche abandonnée.

Enfin assise sur le banc, je soupirais et repensais à la scène qui s'était jouée dans le magasin lorsque mon frère avait poussé Gaster dans la cabine. Seulement en y pensant, je me mis à rougir fortement. Bien que cela ne m'avait pas déplus, j'étais morte de honte. Même lui avait rougi. Cela veut que cela ne l'a pas laissé indifférent ! Il y a donc des chances pour... Je sortis de mes pensées lorsque mon téléphone se mit à sonner. C'était Gaster. Je décrocha.

-B-bonjour ! essayai-je de prononcer, j'était toujours aussi rouge et honteuse.

Un silence était présent mais je pouvais attendre les bruits qui venaient de Gaster et... Django ? On pouvait difficilement comprendre "allez dit lui" mais dire quoi ? Gaster prit la parole avec une grande inspiration.

-Peux-tu venir au laboratoire, s'il te plaît.

Je répondis par un ok avec un ton qui représentait le fait que je sois déçue. Même au téléphone, nous pouvons entendre Django dire "pas aussi froidement !".

Je lui dis à tout de suite et je cliquai sur le petit bouton rouge qui mit fin à l'appel. Je me levai donc et partis en direction du laboratoire.

Une fois arrivée, Alphys vint m'ouvrir la porte et m'indiqua où se trouvaient les garçons. Je rentrai dans la pièce. Django se leva et vint vers moi. Il me fit une petite tape dans le dos et me souhaita bonne chance et quitta la pièce.

J'allai m'asseoir à côté de Gaster. Je n'osais pas prononcer un mot, devrais-je reparler de ce qui s'était passé au magasin. D'un seul coup, mon amour pour lui prit le contrôle. Ma raison était réduite à néant. Je m'approcha de lui, nos visages étaient à quelques centimètres, l'un de l'autre. Mes joues étaient devenues rouges, je ne savais pas ce que je faisais. Gaster ne bougea pas mais rougit fortement à son tour. J'ai décidé de lui parler de ce qui s'était passé plutôt en faisant comme si je ne savais pas que c'était par l'aide de mon frère.

-Alors, dis-moi pourquoi ne l'as-tu pas dit avant ? Lui dis-je en posant ma main sur sa joue.

-Euh..., bégaya-t-il, c-ce n'est pas pas... que...

-Il fallait me le dire plutôt, insistai-je en faisait glisser mes doigts sur sa joue.

Je rapprochai un peu plus mon visage de sien. Il ne bougea pas d'un poil. Il était devenu tout rouge.

-Tu sais, tu es vraiment trop mignon quand tu rougis, je devrais faire ça plus souvent.

Il rougit encore plus. Je déposais avec délicatesse mon autre main sur son autre joue et le regarda dans les yeux. Je continuai d'avancer mon visage et ferma lentement mes yeux, il fit de même. Nous voilà à quelques millimètres. Nos lèvres allaient se toucher mais Django rentra avec précipitation dans la pièce. Gaster prit de honte recula et mis sa tête dans ses bras.

"Je suis désolé de vous déranger mais nous avons un autre problème, autre que Dylan. Un géno-Frisk vient d'arriver."