CHAP5/ Prières aux Rêves

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NICO

Malgré mes réticences, je ne fu pas long à m'endormir.

Il faut dire que mon corp le réclamais. Je n'ai dormi que quelques heures ces deux derniers jours. Depuis la bataille de la Coline, je dois dire que la perspective du sommeil me terrifiait. En fin, encor plus que d'habitude.

Le Sommeil et la Mort son de vieux amis . J'ai appris à navigué dans mes rêves, surement mieux que la plus par des demis dieux. Mais j'étais tellement épuisé que je me fis prendre de cour .

Ça m'arrive encor parfois, quand je m'endors sans prendre le temps de me concentrer, ou que j'ai trop puisé dans mes pouvoirs et suis trop faible .

Idéalement, ce soir, je cochais toute les mauvaises cases .

Incontrôlé, les rêves des demi-dieux des Enfers sont particulièrement virulents. Moi, je faisais avec , comme tout le reste . Mais je mentirais si je disais que leur faisais face avec courage .

Enfaite, je rêve le jour que la nuit m'épargne de cauchemars.

Je fermais les yeux sans vraiment l'avoir décidé, l'esprit nébuleux à cause du médicament que Will m'a donné .

Le temps perd son sens dans le royaume des rêves. Les dieux peuvent nous accordez d'entrevoir le passé, le présent et même l'avenir pour les plus chanceux .

La chance, on la surestime je crois. Je me suis trouvé souvent dans cet entre-deux entre notre monde et son devenir. Ce que j'y ai vue m'a rarement aidé.

Je suis au bord du Styx, sur la berge opposé, le palais de mon père n'est qu'une ombre que je devine pour la connaitre par cœur . Je m'avance dans le fleuve, mais je ne peux pas avancer. Charon qui nous les cordages de sa barque me regarde avec compassion : « ce n'est pas ton heure, mon prince ».

Puis l'eau m'avale.

Venise dans mes yeux d'enfant qui se disloque et sombre. Ma mère qui sourit, mon père qui, caressant sa joue, la réduit en cendre. Je hurle. Bianca et moi dans la neige, Percy . Les chasseresses, Artémis. Cette quête, la promesse, l'attente, l'espoir qui fond en même temps que mon cœur d'enfant.

La fuite, mon errance, le Labyrinthe, ma rancune, ma solitude, les spectres en quête de reconnaissance qui s'amoncellent sur les rives du Styx. Ma peur, les hurlement des condamnés au Champ des Châtiments.

L'odeur du Tartare. Le gouts des grains de grenade.

Puis j'effleure de ma main la joue de Will, et il part en fumé.

Ça c'est nouveau.

Puis le rêve change, un garçon au cheveux châtain enfile une armure qui n'est ni celle de la colonie , ni celle du camps Jupiter . Son regard est dur et froid. Une lueur déterminée brille dans ces yeux lorsqu'il serre les lanières de son plastron fin est sombre.

Je ne saurais dire pourquoi le garçon me disais quelque chose .je savais également avec certitude que cette scène se déroulait dans le passé .

Le garçon fini de s'équipé , et choisi une arme parmi la bonne centaine entreposé dans la pièce . Il tira un long sabre de son fourreau, en bronze céleste, a n'en pas douté .Je n'en vie pas grand-chose . Il faisait sombre et le jeune demis dieux partais déjà d'un pas pressé.

Je vis néanmoins très distinctement brillé l'emblème marqué d'argent sur le pommeau lorsque il quittas la pièce .

La faux de Cronos ornait l'arme de l'inconnu.

Mais je n'ai pas eu le temps de pensé quoi que ce soit que le rêve se modifia de nouveaux.

Thalia Grace courait dans les bois avec ses chasseresses montés sur leurs grands loups blancs. Je serais les dents. Malgré tous mes effort, je gardais une rancune tenace conte les servantes d'Artémis .

Le froid mors chacune des filles et le souffle du vent gelé brule leur yeux inquiet et alarmé . La course est rude et la traque difficile dans le blizzard. Une chasseresse pousse sa monture jusqu'au niveaux de sa lieutenante, et cris pour couvrir le hurlement du vent : « On n'y arriveras pas dans cette tempête ! Thalia, on a plus le choix ! »

Mais le regard de la fille de Zeus est plein de rage et de détermination.

« On n'abandonne pas ! Moi vivante, ce monstre ne fera rien à un demi-dieu de plus ! »

Un cri d'enfant retentit alors dans la forêt, bestiale, primordiale, plein de douleur et de tristesse a l'êtas brute.

Les chasseresses disparurent.

Le cri de l'enfant raisonna longtemps dans mon esprit embrumé.

Je rêve chaque jour que la nuit m'épargne mes cauchemars, mais es enfants des Enfers vois rarement leur rêves s'accomplir.

Pour nous, ils tombes en cendre dès qu'on ose les effleuré de nos mains maudites par la Mort .

Ca m'apprendras a rêvez d'accalmie .

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