CHAP11/ Brookline baby

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Les vitres de la camionnette filtraient les lumières de la ville, dessinant des ombres dansantes sur Will . Ses boucles blondes couvraient la moitié de son visage endormis. Une heure de trajet à peine ont suffi à le faire s'assoupir. Le pauvre ne se doute pas du danger qui nous menace.

J'aurais vraiment aimé que tout ça se passe autrement. J'aurais aimé rester à la colonie un peu plus longtemps, profité du soleil au bord du lac, du vent marin et du parfum des fraises. J'avais commencé à me faire à l'idée. Qui sais ? Peut-être que la colonie ce révèleras êtres, tout de même pas un genre de foyer ...mais disons, un port d'attache sur . Au moins cela. Quitter ce refuge si tôt me contrarias.

Au moins en arrachant le pansement le plus tout possible, je m'évitais de me bercer de trop d'illusion .

Après tout, j'avais l'habitude que rien ne se passe comme prévu.

Mais si nous n'étions pas parti , les dieux savent à quel point la colonie aurais été en danger .

J'avais fini par conclure, grâce au parole d'Alice (flou mais instructive ), que l'armé des âmes abandonnées la recherchais , elle et son frère . Je n'arrive toujours pas à savoir si le nous de : « notre sang » m'incluais dans l'équation , ou qui étais le père qu'elle a mentionné .

Toujours est-il que si nous restions a la colonie , ils attaquent la colonie . En éloignant la cible des attaques on met à l'abris tous les pensionnaires. C'était le plans . Comprendre ce qui se passe tout en trainant cette bande de fantômes énervés derrière nous.

En cela, Boston étais la solution. Il y a la bas un nécromancien à qui je dot posé des question.

La dernière fois que je me suis rendu à Boston , j'ai découvert une nouvel facette de l'univers au plans cosmique . D'autre dieux, d'autre demi-dieux ...ma tête a failli explosé. Mon père m'a dit de gardé ça pour moi. Will devra être au courant ... J'avoue avoir peur de ca réaction .

De plus, mon indic la bas ne me répondais plu depuis quelques semaines , aussi avais je peur qu'il lui soit arrivé quelque chose . Je ne sentais pas sa mort , mais les demis dieux Viking ne sont pas sous la juridiction de mon père , l'administration post mortem est un gros , très gros bordel .

Je redoutais de devoir le dire a Will , mais j'allais devoir invoqué l'esprits d'Alice.

Ça ne va pas lui plaire .

Pourtant, malgré l'atmosphère de panique du départ , Will m'avais suivi sans posé de question . Il est trais courageux, a ca façon .

On est arrivé à New York

Je cherchais un endroit ou garder la camionnette. Je commençais a fatigué. J'aurais pu invoqué Jule Alber dès le début mais je ne voulais pas effrayé Oli quand il se réveilleras . Ce gamins n'avais vraiment pas besoin de ça .

J'ai roulé jusqu'à atteindre Brookline. On voyais au loin la pointe du mont Olympe , l'empire state building éclairé son toit de bleu cette nuit-là.

J'ai trouvé un genre de parking a côté d'un terrain vague . Une simple table de pique nique et un vieux lampadaire étais la seule population du square abandonné . Un panneaux publicitaire de trois mètres étais planté au mieux des mauvaise herbe .

Je me suis garé. J'ai observé Will . Il dormais, de toute façon . Je me suis demandé si je devais le réveillé pour qu'il aye se couché dans la tente avec les autres. Mais il avait l'aire si paisible ... il portais son t-shirt de la colonie avec un jean délavé tout abimé et un sweat rouge . Il avait ce bracelet en plastique qui disais « personnel médicale » au poignet .Sa poitrine se soulevais et s'abaissais au rythme dou de sa respiration .Son visage , son cou et même ses bras étaient parcouru de tache de rousseurs a peine visible .

SunlightOù les histoires vivent. Découvrez maintenant