Chap 15 /Le Ciel de New York

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WILL

J'ai rejoint Nico sur le balcon .

Il m'a entendu arriver tout de suite, évidement. Le vent caressais ses cheveux bruns lorsqu'il s'est retourné, masquant la moitié de son visage triste .

Je me suis approché de la rambarde. La vue qui s'offrais a nous étais sublime. New York dans la nuit. Sublime, et terrifiant de souvenir.

- J'ai vécu ici , un temps . Me confia Nico.

Je ne dis rein. Cet instant étais calme, et les confidence ne le rendais que plus beau. Je n'aurais pas pris le risque de les faire fuir .

- Quand j'étais gamin, après que ma sœur ...Quand elle est morte. J'ai été dans la rue , un temps .

Ses yeux noir fixais l'horizon pavé , les rue et le béton . Tout cela avait donc été sa vie ? Une parmi les autres, je suppose . Comment pouvais ton avoir tant vécu en si peu de temps ?

-Enfin , entre la rue et les Enfers , je suppose .

Il a toisé l'Empire State building avec mépris .

- Et tous les jours, je voyais l'Olympe au-dessus de ma tête . J'avais l'impression de pouvoir les entendre rire. Continua-t-il , sans une once de colère dans la voie . Juste de la mélancolie . Juste de la tristesse .

-Nico ...

- Je suis pas en train de me plaindre. Me coupât-il. Ce que j'essaie de te dire . C'est qu'il me faudra du temps pour ne plus considéré tous ceux que je croise comme mes ennemies . Tu vois ?

Il a déglutie avec difficulté. Ça lui coutait de me dire ça. Son regard allais de ses basquettes a ses mains, avec les quel il triturais sa bague d'argent .

J'ai posé une main affectueuse sur son avant-bras .

- J'espère que tu sais que je ne suis pas ton ennemi, Di Angelo ?

Il a fixé ma main, puis ses yeux se plongèrent dans les miens.

- Je commence à l'intégré, Solace .

Il a posé sa main froide sur la mienne, et je pris ce geste avec toute la valeur qu'il avait .

C'était tendre. Et ce que ça annonçais le serais aussi. Car il le méritais amplement .

Le ciel de Manhattan, le son de la circulation, son demis sourire serein et sa main sur la mienne .

Caprendras du temps . Mais on y arriverais. On serais heureux

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