Chap13/ Etat de choc

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Bon.

Par où commencer ?

Je me suis réveiller dans une chambre luxueuse, y a pas à dire , ces mecs avais du gouts .

Mais quelque chose clochait.

La décoration ultra moderne tranchait avec les bibelots et statues disperser absolument partout. Ainsi, sur les tables de nuit qui encadrais le lit, des bustes imposants d'un chacal à droite et d'un lion à gauche me fixais de leurs yeux noirs comme la pierre dans laquelle ils étaient sculpter. En face de moi, la télé écran plat étais surplomber par une grande pièce de parchemin ocre encadré. Sur le mur à ma gauche, c'est carrément tout un pan de fresque de pierre qui étais accrocher. Il était lui aussi barioler de hiéroglyphe qui ne voulais rien dire pour moi . Partout où je regardais, des vielles reliques de l'ancien temps égyptien .

Tout cela étais trop ...bah égyptien , justement

Et pourtant ...

Je me suis lever, a la droite de mon lit une grand bai vitré ouvrais sur un balcon . J'ai attrapé mon sweat et y suis sorti .

C'était pire que ce que je croyais .

Je savais qu'on était New York , donc pas loin de Manhattan . Mais à ce point-là ?

La fraicheur du crépuscule me fit frissonner ; et pourtant, je restais dehors pour admirer quelque seconde de plus le spectacle. Le soleil qui se couchais sur l'horizon de la ville, ses reflet chaleureux et majestueux à la fois qui s'embrase sur le fleuve , ricochant sur les grandes tours du centre-ville.

Pourtant, quand ce paysage familier m'apaise d'habitude , je n'ai ressenti alors qu'une colère sourde .

Le spectacle de l'empire state building reflétant le couchant ...

Nos hôte avais élu domicile presque au pied de l'Olympe .

J'ai attrapé mes affaire qui trainai sur une étagère : mon épée , ma veste et mes gant de cuir d'épéiste , et je suis descendu en trombe .

Je n'arrivais pas à y croire. Déjà Boston, maintenant ...quoi ?

J'en avais officiellement mare que l'on me cache des choses .

Donc je vais récupérer Will , ma camionnette , et on vas fiche le camp d'ici .

J'ai parcouru quelques couloir, claquer deux trois portes, descendu des escalier , et je suis arrivé plus agacé et déterminé encore dans la cuisine .

C'est alors que j'y vis Will, buvant du jus de fruit avec nos « hôte », l'aire complétement émerveiller .

- Nico ! (Il a presque bondi de son siège) tu ne devineras jamais ce que Carter viens de me dire !

J'ai toiser froidement le garçon habiller en ninja de tout à l'heure, et j'ai compris qu'il n'avait pas l'aire enchanter de voir non plus .

J'ai reporté mon attention sur Will, qui s'était rassis et me remplissais un ver de jus de fruit .

-Ils peuvent la guérir ! Me dit il les yeux plein d'espoirs ! La chasseresse ! Ils peuvent la soigner !

Bon. Voilà qui retrace les priorité .

Le garçon-ninja ( Carter , j'imagine ) m'a fait signe de m'assoir . Ce que j'ai fait, non sans grogner et le gratifier d'un long regard méfient.

-Bon. A-t-il commencé. Je m'appelle Carter, Nico. Et voici Sadie, ma sœur.

La fille a la veste rose étais assise à la table avec nous . Elle m'a fait un signe de tête .

- 'lut

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