CHAP24/Idiots To Lovers

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NICO

Parler avec Will , c'est comme se livré à une part de moi-même que j'aurais oublié .

Je sais qu'il ne me jugera jamais. Et il donne l'impression de déjà tout savoir de moi. On dirait un vieux sage dans le corp d'un ado de 16 ans ...

Son rire a éclaté. J'ai souri.

- Vous vous êtes fait attraper, j'ai demandé ?

Il me racontais la fois où ils avais, lui et d'autre sangs-mêlés de la Colonie , fugué pour se rendre au une fête sur une plage de Long Island .

- Ha ça, on s'est carrément fait attrapé, répondit-il malicieux . Mais ça valait le coup ! C'est ce jour-là que Sherman Yang et Miranda ont commencé à ... Enfin qu'il ce sont intéressé l'un a l'autre .

J'ai éjecté de mon inconsistant cette vision d'horreur .

- Tu vas te moquer de moi , mais je n'ai jamais fait de fête de ma vie .

J'ai imaginé une soirée sur les berge du Styx , avec des zombies, Hadès et Perséphone en costume a paillette, et j'ai eu un frisson de terreur .Mon imagination est un fléau.

Will a pris un aire conspirateur.

- On vas changer ca . J'en fait une affaire personnel .

- Si tue le dit, ai-je plaisanté. Sarcastique.

Et on a ris. Dieux que c'était bon . Juste deux ados sur le toit d'une camionnette dans un parc .

Bon , la camionnette en question abritais aussi une chasseresse de 200 ans et une flopé d'arme mortelles, mais à part ça , on se sentirais presque comme des ado normaux .

- T'a jamais envie d'être normal, Solace ?

Il m'a regardé, intrigué .

- Si c'est une genre d'insulte, je dois t'avouer que ...

J'ai grogné.

- Non, je veux dire , comme un ado normal . Tu sais. Le genre qui va au lycée ...

- Ho .

Une étincelle d'amusement c'est allumé dans ces yeux .

- Tu veux dire qu'on ne risquerait pas nos vies tous les trois jours, continuât il ?

Je lui ai lancé un regard malicieux, content de ce jeu .

- Le destin du monde ne reposerais pas sur nos épaule , j'ai poursuivi .

- Je ne risquerais de me faire transformer en cochon en me disputant avec ma meilleure amie ?

J'ai rie, imaginant Lou Ellen pourchassant Will avec ses redoutable boule -cochon .

- Tu penses que les ados normaux doivent apprendre à se battre à l'épée pour réussir leurs études ? M'a t-il demandé, hilare .

J'ai fait mine de réfléchir à la question .

- Rarement, j'ai supposé .

- Je serais en étude de médecine, a ajouté Will . Le weekend , je bosserais dans un café, ou dans un magasin de surf !

Ces yeux brillaient d'imagination.

- Moi j'aurais un chien de moins d'une tonne, ai-je affirmé .

Will, c'est retourné ver moi , interloqué .

- Tu as un chien d'une tonne ?

J'ai sursauté . J'évite de parler de ça en général . Kitty est dans le fichier « ça fait peur aux gens » de mon cerveau, avec Jules Albert , mon père , et toute mon adolescence .

- Tu n'as jamais vue Kitty O'leary ? J'ai demandé .

- Tu as un chien d'une tonne , a digéré Will . Et Il s'appelle Kitty .

J'ai soupiré.

- C'est une chienne des Enfers. En fait, techniquement c'est la chienne de Percy . Mais on est très amis elle est moi. Quand je vais au Enfers, je joue avec elle , ou je la brosse ...

Il se retenais visiblement de rire .

- Quoi ? J'ai demandé, gêné .

Will a eu un petit rire qu'il ne put dissimuler .

- Rien, désolé, a-t-il pouffé. C'est juste que je t'imagine en train de brossé un chien d'une tonne ...

Je me suis renfrogné.

- Ça a l'aire amusant de vivre dans ta tête , idiot .

Il n'eut pas l'aire vexé une seconde .

- Allez, je m'excuse . At il dit dans son fou rire...

Il m'a tiré le bras. Je l'ai regardé.

Il a murmuré :

- J'aurais pu m'épargné cette vision , si on avait été des ados normaux .

J'ai souri.

- Pas faut.

Puis on s'est regardé. Des regard plein de « et si ... ? » , plein de promesse .Ce serais facile . Et j'en ai envie . Alors pourquoi cette boule de peur se forme dans mon ventre ?

- Nico ? A t il soufflé , radilleu

- Will ? J'ai répondu sans m'en rendre copte .

Nos prénoms étais comme un secret entre nous .On les prononce si rarement .Et le mien sonne si bien dans sa bouche .

- Ça te vas bien, de sourire . M'a-t-il dit .

J'étais tétanisé.

- Je ...j'ai tenté de balbutié .

A quelque centimètres de moi, Will Solace ce tenais, son aire calme et pensif sur son beau visage .

Il ne disait rien. Je pouvais voir qu'il réfléchissait. J'aurais tout donner pour savoir ce qu'il pensais, la tout de suite .

Mais rein n'y faisais. Je ne parvint pas a prononcé le moindre mot . J'étais terrifié et méfiant .

Je ne sais pas quel tête j'ai fait, mais ça la fait rire . De son grand sourire franc et amusé , d'une simplicité presque insultante pour tous mes doutes .

C'est ça. C'est tellement simple ! Tellement facile, que je me retrouve vexé de toute mes angoisses et mes peurs .

Cette pensé absurde m'arracha un léger sourire .

Il a arrêté de me fixer et a reporté son attention sur le ciel au-dessus de nous. Et je me suis remis a respiré .

- Je ... j'ai retenté pour la deuxième fois. Sans plus de résultat.

- ...Tu devrais dormir , at il finit . La nuit tombera dans quelque heures. Tu dois te reposer .

- Mais ... J'ai balbutié , surpris .

Il s'est allongé sur la couverture duveteuse. Un sourire narquois au lèvres .

- Tu pourras protesté quand tu sauras construire des phrase de plus d'un mot, Di Angelo . Au lit , ordre du docteur !

Alors , je me suis étendu auprès de Will. Allongé , tout près l'un de l'autre . Je me sentais étrangement bien . Je ne saurais dire si c'est sa présence rassurante, la brise du début du soir , ou sa main dans mes cheveux , mais je me suis endormis en quelques minutes .

Et qu'importe le rêve dans lequel je sombrais . Je savais qu'il serais la, quand je me réveillerais .

Et je sombrais avec confiance dans le sommeille.

SunlightOù les histoires vivent. Découvrez maintenant