CHAP27/ L'Hadès tour, Prière De Garder Les Bras A l'Intérieur Du Véhicule

833 56 49
                                    


WILL

Après qu'Hadès soit parti nous avons eu une effrayante conversation avec Perséphone, a la quelle je préférais ne pas penser. Puis, la reine des Enfers nous a congédié, et c'est envolé dans un tourbillon de pétale.

Nous laissant Nico, Oli, Viollette, notre camionnette et moi-même, seul dans la salle du trône de la mort.

Chacun de nous accusais le coup. L'entrevu avais été compliqué.

Violette semblait mal à l'aise, surement par ce que tout le monde était conscient qu'elle avait envisagé de nous trahir pour aller se battre sous les ordres d'Hadès il y a environ deux minutes.

Personnellement, je ne lui en voulais pas, je ne suis pas rancunier. Tout le monde doit gérer c'est propre problèmes, et je ne suis personne pour juger Violette et ses choix... après tout, je ne connaissais casi rien de la longue, très longue vie de notre amie chasseresse.

Bref.

Nous avons ensuite affronté un problème logistique . Nous étions dans le palais d'Hadès . Palais immense aux miler de dédales et escalier vertigineux , a commencé par celui que nous devions prendre pour sortir de la salle du trône .

On s'est donc tourné vers la camionnette, en se demandant quoi en faire . Mais Nico nous a assuré que les harpies allaient surement la mettre au garage. J'ai décidé de ne pas posé de question, et on a laissé un mot entre l'essuie-glace et le part brise pour les voituriers des Enfers .

Quand à Nico, on aurais dit qu'il venais de descendre d'une montagne russe super rapide. Il m'a assuré que ça allait, mais je n'étais pas dupe. La rencontre l'avait chamboulé.

- Bon. At il déclaré. Direction l'Elysée, les gars.



Le palais d'Hadès était en ébullition a cause du siège . Les longs couloirs de pierres sombres étais envahi de zombis, de gardes, de furies, et de dieux mineurs en panique . Je n'aurais pas voulu mourir aujourd'hui, vue le chao qui régnais .

J'ai failli me faire renversé par une goule qui sprintais ver la salle du trône , ses bras squelettique chargé d'une pille de papier plus grande qu'elle .

Nous avons ignoré la panique et avons suivi Nico dans l'immense palais. Il semblait savoir où il allait. Plusieurs fois, il fu salué respectueusement par des types à la dégaine bizarre, des dieux mineurs des Enfers sans doute. Et quelque fantôme.

On a pris un escalier en colimaçon, un autre couloir, et enfin on a déboulé en haut d'un immense escalier qui desservais une salle énorme.

Le plafond était si haut que je n'en distinguais pas la fin. Le sol était dallé de pierre argenté.

On a descendu l'escalier qui s'enroulais comme un serpent lové autour d'une immense statue d'obsidienne d'Hadès et Perséphone, trois fois plus grande que l'Athéna Parthénos, fixent durement un point derrière nous.

Une immense porte ouvragé représentant des morts glorieuse, des démons , des morts bienheureux et des condamnés du tartare .

Je me suis alors rendu compte qu'on était dans l'entrée du palais du père de Nico. Une très grande entré, pas du tout démesuré, et probablement exempte de paillasson fantastique .

Devant la porte effroyable étais assis un petit bonhomme en tenu de groom sur un tabouret. Il avait l'air de s'ennuyer.

Il a bondi en nous voyant arrivé.

SunlightOù les histoires vivent. Découvrez maintenant