goyangi | jikook

⭐ 19 - Unbelievable ⭐

Annyeong~! :)

Faut que je prenne plus d'avance pour arrêter de poster en retard, c'est la deuxième fois que je vous fais le coup... Mian' >< Mais bon c'est les vacances, alors vous me pardonnez ? :') Si vous n'êtes pas en vacances, alors courage dans ce que vous faîtes, vous avez tout mon soutien ! Pour les autres chanceux comme moi, profitez-en bien !

Beaucoup de blabla et pas beaucoup d'action dans ce chapitre, mais j'espère qu'il vous plaira quand même. J'aime beaucoup la relation sur lequel il est basé au début.

Comme d'hab', je vous souhaite une bonne lecture !

o(＾.> ▽ <.＾)oﾉ

๑

~ Pdv Jungkook ~

Hoseok et moi sommes désormais dans un fast-food. Je viens de déballer dans les grandes lignes toute l'histoire à mon meilleur ami, depuis mon accident avec un petit chaton roux au réveil en compagnie d'un garçon-chat, puis à la visite de son domicile et à la rencontre de sa famille pour le moins... Spéciale. J'ai omis certains détails, jugeant que mon meilleur ami n'avait pas non plus besoin de tout savoir, et aussi pour raccourcir l'histoire, car je me suis vite rendu compte qu'il s'en était passé des choses, en une demi-journée, même si ce n'était parfois que de petites choses qui pouvaient paraître insignifiantes.

Cela m'a procuré une étrange sensation de raconter tout ce qui s'était passé. J'ai eu l'impression de revivre chaque moment, de ressentir à nouveau toutes ces émotions qui m'ont envahies depuis mon réveil ce matin. Je me suis rendu compte que j'avais eu le sentiment d'être entré dans un nouveau monde, quand je me suis réveillé. Comme si le fait d'apprendre et d'expérimenter l'existence d'êtres hybrides comme Jimin avait complètement bouleversé ma vision du monde, et que la Terre s'était mise à tourner à l'envers, voire à ne plus tourner du tout.

Mais tout à l'heure, en apercevant mon meilleur ami sortir de la bouche du métro, c'est comme si le rêve avait brusquement cessé, et que tout était revenu dans l'ordre. Que finalement, rien n'avait changé, et que tout ce que je venais de vivre s'envolait en fumée.

Depuis le début de mon histoire, Hoseok est resté imperturbable. Ou presque. Quand j'ai fait une brève description de Jimin (parlant plus de ses attributs félins que de son corps dénudé), ses épaules ont commencé à être secouées de spasmes. J'ai tout de suite su que je l'avais perdu. Il a fini par ne plus pouvoir se retenir de rire et a explosé. Mais je ne me suis pas arrêté de parler pour autant, et en voyant que je ne perdais pas mon sérieux, mon meilleur ami a fini par se calmer et à me laisser continuer tranquillement sans avoir à me couper toutes les cinq secondes parce qu'il ne pouvait s'empêcher de rigoler.

Depuis, il est resté silencieux et n'a plus affiché la moindre once d'expression sur son visage ovale. J'ai trouvé cela étrange, Hoseok n'étant pas quelqu'un qui a pour habitude de cacher ce qu'il ressent. Mais j'ai pensé qu'il pouvait s'agir d'une sorte de bouclier de défense afin de ne pas se remettre à rire et d'écouter ce que j'avais à dire sans m'interrompre, jusqu'à ce que j'aie entièrement terminé. Il s'est également concentré sur la nourriture, mangeant de grandes bouchées de son double cheeseburger rapidement, fourrant des frites dans sa bouche par paquets de trois ou plus... Bref, un vrai goinfre. Et par moment, il me jetait des coups d'œil, m'assurant que même s'il était occupé à manger, il m'écoutait toujours et suivait attentivement mon histoire malgré tout.

Désormais, il n'y a plus rien de son côté de la table à part des emballages vides. Il n'a rien laissé de tout ce qu'il a commandé, et après avoir englouti la totalité, il s'est mis à se servir gratuitement dans mon plateau, voyant que je ne mangeais presque rien. J'étais trop occupé à déblatérer mes aventures et n'avais de toute manière pas beaucoup d'appétit, malgré le maigre menu que j'avais commandé pour moi. Hoseok était donc en train de grignoter les frites certainement tièdes que je n'ai pas touché une seule fois, préférant manger mon hamburger que je n'ai pourtant même pas fini, quand j'ai conclu mon récit.