Les rêves sont le lieu de rencontre entre réalité et imaginaire. Certains peuvent les contrôler d'autres ne font que les subir.
Cependant avez vous déjà rencontré quelqu'un en rêve que vous n'avez jamais connu dans la réalité?
Après cet incident la nuit m'effrayais. Je ne dormais plus ou très peu et dès que je me mettais a rêver je faisais le plus vite possible pour me réveiller. Ma mère tenta en vint de me tirer les vers du nez mais je n'osais pas lui avouer ni lui raconter que j'entretenais une relation aux une âme et que cette âme se trouve être mon pire cauchemar. Elle allait me prendre pour une folle. Dès que le crépuscule apparaissait, d'horribles crampes d'estomac me prenais. C'est ainsi que se manifestait mes crises d'angoisse. Je passa plusieurs examens médicaux, alla voir plusieurs psy mais tout allait bien. Ma mère tenta de me faire parler au Père Pierre Marie mais rien ne sortie de ma bouche. Tout le monde avait au moins conclu la même chose: j'avais besoin de repos. Je ne suis donc pas allé à l'école pendant une semaine. Je n'en avais même pas parlé à Mei. D'ailleurs cette imbécile m'harcelait en me demandant si j'avais des nouvelles de Tabi. J'avais fini par jeter mon portable par la fenêtre. Personne ne pouvais comprendre mon désarroi. Je restait assise à ma fenêtre contemplant la lune le regard vide. Et si André n'était pas arrivé à temps et que je n'avais pas pu me réveiller ? Serais je morte que pendant ce rêve ou mon esprit ce serai t'il effacé pour toujours? Cette pensée me terrifiait. Je pris les cachets que m'avait prescrit le docteur et continuait ma contemplation. Quelqu'un frappa a ma porte qui depuis restait ouverte au cas où je refaisais une crise. C'était André. Il s'approcha de moi tout en essayant de masquer son inquiétude. Il esquisa un sourire. Je voulu lui rendre mais le mien n'était qu'un étirement de visage, un sourire raté et triste:
"-Ambre tu vas bien? -Oui, je ne fais que regarder le vent jouer dans les feuilles. Ça me détend. Voir l'insouciance de la nature, j'aimerai être comme elles... -Une feuille? Dit il en souriant de plus belle -Mais non! Il avait réussi à me faire rire. Insouciante - Je comprends mieux! Je sais que tu ne veux pas parler de ton cauchemar mais sache une chose: quand je suis dans un rêve et que cela tourne mal je me dit cette pensée "Ce n'est pas réel ce n'est qu'un rêve !" et là je prends les commandes . Essaye ce soir il faut que tu te reposes vraiment ! "
Je le remercia de son attention. Et il quitta ma chambre. Quand j'étais petite et que la chambre de mes parents était trop loin, il est vrai que j'allais dormir avec lui afin de retrouver mon calme . Il est vrai que ça n'étais as autant efficace que d'aller avec mes parents mais je me sentais sous une certaine protection.
Je me suis donc allongée sur mon lit lisant le truc le plus gnangnan possible afin d'éviter tout type de cauchemar. J'étais sur ma tablette lisant jusqu'à être épuisée par la lumière bleu que dégageait cet appareil.
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J'ouvris les yeux dans un lieu blanc immaculé. Pas de ciel pas de sol juste de l'eau a des kilomètre à la ronde parsemé de nénuphar et lotus. Une forte lumière eclairait l'endroit. Je portais une robe fluide courte à bretelle. J'étais debout au beau milieu de nulle part, seule et marchait sur l'eau sans m'en faire plus que ça. C'était apaisant. Je suivais l'onde que mes pas formaient au fur et a mesure de ma progression. Dans l'air flottait un son de carillon léger rendant l'atmosphère encore plus apaisante. Je n'avais pas rêvé sereinement depuis longtemps et cet endroit m'enchantais. Je marchais donc sans but réel au son du carillon qui résonnait de manière harmonieuse et désordonnée.