Toxique (GXG)

Chapitre 19

HEY tout le monde ! Tout d'abord, je suis désolée pour ce retard et j'espère que cette suite vous plaira. N'hésitez pas a donner vos avis, cela est toujours autant agréable. Je vous fait de gros bisous à tous ❤️

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Il était 18 heure. J'étais rentrée a la maison, j'avais cette geule de bois horrible. Mal au crâne, envie de dormir. Mais, j'attendais mes parents à ma plus grande tristesse. Quand ils ont appris la nouvelle de mon petit passage au commissariat, ils n'ont pas hésité une seule seconde à quitter le pays où ils se trouvaient.

J'étais dans le canapé à attendre ma dernière heure. J'étais moi même déçu de cette situation, mais malgré tout je pensais à Jessica. J'avais envie de courir chez elle et de restée près de son corps et ne jamais la quitter.
Cette idée me paraissait plutôt bonne, alors je regardais l'heure et je me disais que j'avais encore 2 heure avant que mes parents arrivent.

Je décidais de l'appeler au téléphone . Mon cœur battait la chamade.

-"Allo?" Sa voix était douce.

-"Coucou...." J'avais répondu le sourire aux lèvres .

-"Alors comment tes parents on t'il réagit ?"
Elle m'avait demandée avec une voix inquiète. J'aimais se coter chez elle.

-"Ils arrivent que dans deux heures. Je les attends et je suis assez stressée sans te mentir."
J'étais debout en faisant les cent pas. Je n'avais jamais redoutée un tel moment. J'allais sûrement être privée de portable, privée de sortie, ou même pire je ne sais pas.

J'entendais la respiration de Jessica. Je pouvais ressentir de l'apprécions de sa part. À mon plus grand bonheur elle me dit alors :

-"J'arrive je vais passée un peu de temps avec toi avant qu'ils arrivent. Je serai la dans 20 minutes. "

Je sautais sur le canapé de joie. J'étais comme une petite fille devant un nouveau jouet, cette fille me rendait dingue. Vraiment dingue.

***
J'entendais la sonnerie, je courais ouvrir. J'arrangeais vite fait mes mèches rebelle, et ouvrit la porte.
Elle était avec une veste en cuire et un jean sombre. Ses cheveux tombant sur ses épaules lui donnait un coter sexy.
Je me mordais la lèvre et la laissais rentrer.

-"Je peux te débarrassée de ton manteau ?" 
J'avais demandée poliment. Elle me fit un sourire et une fois mon action faite, je restais devant elle croisant les mains maladroitement.

-"Que veux tu faire ?" Je demandais gêner.

Elle regarda autour de moi, et me dit d'une voix joueuse.

-"On pourrais.... profiter de se temps libre toute les deux..."
Elle se rapprochait de moi, et je frôlais l'évanouissement... J'étais de plus en plus attirée par elle , j'avais envie d'être proche d'elle chaque seconde.

Arrivée à quelque centimètre de mon visage, elle me dit en chuchotant :

-"Qu'en dit tu...?"

La température avait augmentée. J'avais chaud, tout mon corps était devenu incontrôlable.  Son souffle brûlant s'écrasait sur mon visage, ses lèvres était rouge pulpeuse.

Je me contentais en guise de réponse d'écraser mes lèvres sur les siennes d'une douceur sensuelle. Ses mains venaient attraper ma taille et y laisser une légère pression. J'avais enroulée mes bras autour de son cou. Je la désirais tellement. Notre baiser s'approfondit et sa langue demandait accès à la mienne. Impatiente, elle mordit légèrement ma lèvre inférieur.
Je gémit.

J'avais des milliers de papillons dans le ventre. Son parfum envoûtant me noyais dans un bonheur sans fin.
L'attraction de nos deux corps nous avait reculés contre le mur derrière moi. La maison avait disparut....il y avait juste elle et moi. J'avais l'impression d'être dans ces films romantique.

Le désir montant, je sentis son genou se positionné dans mon entre jambe. Je frémis a se contact. Ma main passait dans ses cheveux long.

Mais contre toute attente mon portable interrompit se doux moment. Je reculais délicatement et m'emparais de mon téléphone. C'était ma mère. Je répondais la voix tremblante, encore sous l'effet du baiser qui m'avait pris toute mon énergie.

-"Ou..Oui?"

-"On arrive dans 30 minutes. "
Je me retenais de criée de déception. Pourquoi faut il qu'ils viennent plutôt que prévue. Je répondais que je les attendais et raccrochais.

Je me tournais vers Jessica, adossée au mur le visage toute rouge et fier. Elle ne décrochait pas son regard du miens. Il y avait un désir brûlant dans ses yeux.
Je sentais mes lèvres encore gonflées, mon corps tremblant légèrement du à l'envie.

-"Ils ne vont pas tarder..." 
j'avais dit d'une mine déçu en me laissant tomber sur le canapé.

Je l'entendais se rapprocher.

-"Tu veux que je reste pour leur expliqué pour hier ?"

Je levais la tête dans sa direction et répondais :

-"Non t'inquiète pas. On se voit demain a l'internat et je t'expliquerai"

Elle se leva, et je la suivait vers la porte. J'aurai voulu rester plus longtemps avec elle, j'avais déjà hâte d'être demain.

Elle me pris la main avant de me dire :
-"Tout vas bien se passé ne stress pas d'accord ? Si tu a un souci appelle moi. "

Je lui dit au revoir et retournais attendre dans le salon l'arrivée de mes parents.

***

J'entendais la porte d'entrée s'ouvrir, et je descendit les escaliers pour leur dire bonjour. Je m'attendais a cet accueil froid même glacial.

Une fois débarrassés de leur affaires, je m'asseyais dans le canapé à coter d'eux pour la fameuse discussion.

Mon père commença :

-"Qu'est-ce qui t'a pris ?"

Sa commence bien. Je regardais le sol. Je ne savais pas quoi répondre, et je refusais de nier ce qu'il c'est passer. J'ai merdé et j'assume.
Ma mère respirait fort avant de dire :

-"Tu a des mauvaise fréquentation la bas... Ton père et moi avons pensés qu'il serai envisageable de te changée d'établissement."

Je me levais en colère :

-"Quoi?! D'accord je ne recommencerai pas.... mais ne me faite pas sa! Vous m'avez déjà retirée de mon lycée si c'est pour recommencer encore sa serait injuste ! " je mettais ma main a ma bouche. Je m'étais jamais énervée comme sa, je le regrettais.

-"Écoute Emma, on te laisse la maison et tu te retrouve à faire une fête, à boire de l'alcool jusqu'à balancer des œufs au voisin et même te retrouver au commissariat ! Tu nous fait honte !!"

J'étais en colère. Mais je respectais mes parents et refusais de leur répondre d'avantage.

-"On doit repartir demain de bonne heure. On te laisse une dernière chance, tu a compris ? Plus de chose comme sa Emma. "

-"Très bien."