Teacher /L.P/

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Toute la matinée se déroula super vite. Je me dirigeai vers la cafeteria, quand Mr Payne me bouscula assez fortement l'épaule, mais ne se retourna pas, ni pour me regarder, ni même pour s'excuser de m'avoir foncé dedans. Décidément, ce prof est plein de surprises... Je rentre dans le réfectoire et vais m'asseoir à ma place habituelle, qui est celle située au niveau de l'entrée de la bibliothèque scolaire.Parfois, je prends mon sachet contenant mon déjeuner, et je vais m'installer à la bibliothèque, me plongeant dans des ouvrages que j'abandonne à contre cœur lors de l'entente de la sonnerie annonçant la reprise des cours. Ouvrage qui, à l'aide de ma carte étudiante, finit la plus part de son temps, ranger dans mon sac au beau milieu des manuels scolaires et des cahiers de prise de note – ainsi que deux ou trois stylos qui traînent dans le fond de mon sac. En fin de journée, j'ai une deuxième heure de classe de mathématiques, avant de rentrer chez moi. C'est aussi l'heure qui se passe le plus vite, car elle ne dure que quarante-cinq minutes. Pendant notre heure de sport, un des surveillants des heures de permanences vient nous informer que notre heure avec Mr Payne était annulée. Ce qui signifiait qu'après ces deux heures de sport, nous étions libérés pour le reste de la journée.

Les deux heures de classe terminées, les filles de ma classe et moi retournèrent dans les vestiaires pour remettre nos vêtements pour certaines, et rester en tenu de sport pour d'autre, puis quitter le lycée. Je faisais parties de ces filles qui avaient gardé leurs tenus par flemme de tout retirer pour remettre autre chose après mais aussi pour vite retourner chez moi afin de continuer ma série préférée ! Prenant mes clés de voiture afin de la démarrée le plus vite possible, en prenant un stop au bout de la rue, je perçois encore mon professeur de mathématiques marchant rapidement en direction de la rue résidentielle dans laquelle moi et sa tante habitons. Passant devant lui, je ralentis et lui propose de le ramener. Je n'ai pour seule réponse, qu'un râteau phénoménal. Pas un regard, pas un grognement... Je me demande vraiment ce qui ne va pas si subitement. J'espère avoir des réponses le plus tôt possible, je ne voudrai pas qu'il arrête son job seulement car un ennuis vient le contrarié... Je n'insiste pas d'avantage, ça pourrait l'énerver encore plus qu'il ne l'est déjà. J'appuie alors sur l'accélérateur de ma voiture et arrive chez moi quelques minutes après. Cependant, ma porte d'entrée tait grande ouverte, une vitre du salon brisée, l'alarme activée, et la police rassemblée... Je laisse ma voiture en plan, et me précipite vers l'agent le plus proche pour lui demandé ce qu'il s'est passé. 

- Vous êtes un des résidents de cette maison ? Me demande-t-il.

- Oui je suis la filles des propriétaires, que s'est-il passé chez moi ?

- Un cambriolage a eu lieu il y a quelques heures dans votre maison, vos ordinateurs portables ont été volé ainsi que l'argent dans la chambre de vos parents. Savez-vous qui aurait pu être à l'origine de ceci ?

- Un cambriolage en plein milieu de l'après-midi ? Mais il faut être suicidaire pour faire ça dans une rue passante, en plein jour ! M'exclamai-je.

Soudain, une vois masculine que je ne connais que trop bien s'élève de derrière moi et dit : 

- Moi je sais qui c'est, et qui est potentiellement capable de faire ça en plein jour. Si nous pouvions nous entretenir à l'écart de mademoiselle, se serai l'idéal, monsieur l'inspecteur, dit-il.