Chapitre 18

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Veto: tu m'as bien dit que tu n'étais qu'une simple pute...."

Et c'est que les ennuies commencent.

"Moi: ben oui pourquoi?"

Il me met une baffe.

"Connard: NE ME MENT PAS!

Moi: *voix sèche* je ment si je veux tu n'es personne pour me dicter ma vie.

Connard: que tu peux être bonne mais tellement conne à la fois.

Moi: que tu peux être bon mais tellement con à la fois."

Il me remet une baffe.

"Connard: tu me réponds pas!

Moi: tu vas me faire quoi me frapper. Encore et encore? Vas y t'as le chant libre de toute manière tu peux me faire autant de mal que tu veux, même me tuer si celà te chante. Si sa venait à arriver c'est que c'est ma destinée. Alors vas y frappe moi, t'arrêtes pas frappe, frappe, vas y continue fais moi mal, fais moi pleurer, vas y frappe moi!"

Il me répond pas mais me fixe.

"Connard: JE T'AI DIT DE PAS ME REPONDRE!

Moi: alors frappe moi! Je n'ai pas peurs."

Il me frappe, je sent un liquide chaud et visqueux me coulais le long du front, il m'a ouvert l'arcade sourcilière. Il continue de frapper jusqu'à se que je m'évanouisse.

PDV .....OU CONNARD:

Je l'ai frappé sans m'arrêter, je...je n'arrivais plus à me calmer. Elle...elle....la pauvre je suis désolé...je...je ne voulais pas la frapper comme sa... je...elle me répondait et...et je...je..je voulais pas la taper.
La on est dans ma voiture je la ramène chez moi. Je sais pas se qu'il m'a prit mais bon. Je vais la soigner et on verra par la suite se que je ferai d'elle.

PDV Nako:

Je me réveille dans une chambre qui m'est inconnu. Le lit et blanc, un mur est gris, un autre blanc et les deux dernier noirs. Je porte toujours ma robe mais sans mes talons. Je me lève et un mal de tête me fait tomber à genoux. Sa me lance. Aie. Bon je me relève et me dirige vers une des trois portes. Je l'ouvre et tombe sur un grand dressing. Je me déshabille et me change.

Je sors et me dirige vers la deuxième porte, je l'ouvre et vois une magnifique salle de bain avec une douche à l'italienne

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Je sors et me dirige vers la deuxième porte, je l'ouvre et vois une magnifique salle de bain avec une douche à l'italienne. Je me dirige vers un miroir et quand je vois mon reflet je suis choquée et dégoûtée. J'ai le visage recouvert de sang, l'arcade sourcilière ouverte juste au niveau de mon piercing. La lèvre fendu et j'ai un œil au beurre noir. Je suis carrément défigurée. Peu à peu une colère noire monte en moi. Je jette toutes les affaires qui se trouver à coter du miroir. Je sors et me dirige vers mon lit en hurlant. Je défais le lit et déchire les couvertures les jettent aux quatre coins de là pièces. Retourne une commode, pousse une armoire. J'arrache un tableau et lui met un coup de poings se qui le trou. Je le jette à travers de la pièce. Je me tape un sprint vers le dressing et jette tout les vêtements et fait tomber une étagère, après avoir fait sa je retourne sur "mon" lit. C'est uroshima, comme si une bombe était tombée. Les coussins éventrés, les vêtements déchirés, les meubles retournés et part dessus moi....moi Nako Saïto une jeune japonaise complément défigurée et traumatisée assise au milieu de cette panique et qui ne ressent que de la haine et du dégoût envers tout.
Je suis en tailleur au centre de ce désordre. J'ai à peine le temps de pensée qu'un mec ouvre la porte. Ce mec et plus précisément le veto. Je leve la tete et mes yeux s'assombrissent. Je me jette sur lui mais il ferme la porte en me hurlant de ne pas lui sauter dessus. J'esquive la porte mais je fonce sur elle et hurle à pleins poumons en tapant dessus. D'un coup je m'arrête et retourne sur le lit. Il rentre et je le fixe mes yeux toujours aussi noir.

"Lui: c'est toi qui as fait sa honey?"

Ben nan nan, y'a quelqu'un qui est venu qui a mit le bordel et qui est reparti inconnito.

"Lui: je prend sa pour un oui. Tu m'en veux?"

Quoi? Tu me demandes si je t'en veux? Mais nan dit donc j'adore me faire défigurer par quelqu'un c'est mon plus grand rêve. Tu savais pas? Connard!

"Lui: je vois que tu ne veux pas me parler.😔 *regarde le sol* je...je voulais pas."

Pourtant tu l'as fait sale chien. Et tu y as pris du plaisir.

"Lui: Putin mais dis quelques choses. Hauche la tête ou je sais pas."

Je lui jette un regard tellement haineux. Que même moi j'en ai des frissons. Il me regardait et moi je le dévisage. Je ne sais pas quelle heure il est mais il doit être dans les environs de midi car mon ventre gargouille. Il me jette un regard et un éclair de "génie" «je met entre guillemet car génie sa lui va pas. Vous comprenez?😋» passe dans ses yeux.

"Connard: Tu as faim?"

Je crève la dalle connard.

"Connard: t'en que tu ne parleras pas. Tu n'auras pas à manger."

Tu veux jouer à sa pas de soucis. Je préfère crever de faim plutôt que de te parler.

"Connard:tu ne veux pas me répondre honey?"

Connard.

"Connard: honey, honey, honey...*il souffle* pourquoi tu parles plus? Hier pourtant tu avait la langue bien pendu. ALORS POURQUOI TU PARLES PLUS?!"

Parce que tout simplement j'en ai rien à foutre de ta vie et je me fou de ta vie sale connard prétentieux de mes deux.

Sa l'énerve que je ne réponde pas. Donc il sort en claquant la porte. 2 minutes plus tard une autre porte claque. J'enlève ma veste qui est pleine de tâches de sang, me lève et me dirige vers la porte. Sous la colère il a oublié de fermer la porte. Vraiment con. Alors je sort. J'arrive sur un couloir. Il y a une porte, je l'ouvre et tombe sur une chambre toute blanche. Une autre toute rose. Une autre grise et crème. Et pleins d'autres chambre il y doit bien en avoir une vingtaine. Bref j'arrive au bout du couloir et débouche sur un escalier.

OkokkyōranOù les histoires vivent. Découvrez maintenant