Engrenage (Papyrus X Frisk) {Finit}

🔅Projet XCOREX⏳

Gaster: -Sans, je te présente le Core. L'un de nos futures projets!

Le Core? Tandis qu'il dit ces mots le visage de Papyrus s'assombrit.

Frisk: -Pap's tout va bien?

Mon ami hoche la tête et ne dit rien.

Sans enfant: -Le Core?

Gaster: -Oui. Le Core, une machine magique capable grâce à "la détermination" de produire de la magie et de la chaleur.

Sans enfant: -Qu'est-ce que "la détermination"?

Gaster: -La détermination est un pouvoir utilisé par les humains, il est extrêment complexe et je n'ai pas finis d'analyser toutes ces utilitées, dans les grandes lignes je sais qu'il permet de ne pas abandonner la mission qu'un humain c'est confié.

Sans enfant: -Mais où trouver cette détermination? Les humains sont tous à la surface et comment la multiplier pour qu'elle produise de la chaleur et de l'électricité?

Gaster: -J'allais y venir. La détermination se multiplie d'elle même. En faite une seule le fait, les autres types sont plus lente dans cette multiplication. Je parle de la couleur rouge.

À ces mots il apporte un pot de verre bien conservé contenant un liquide rouge éclatant.

Gaster: -Je te présente la détermination pure. La seule qui reste, le dernier cadeau de mon père.

Sans semblait émerveillé par le contenu du liquide. Gaster lui montre les plans dans une drôle de langue.

Gaster: -Il suffira juste de faire l'architecture, de construire la machine et le processeur, je compte sur toi Sans.

Sans enfant: -Tu peux compter sur moi!

Gaster: -Bien nous pouvons commencer!

Ils se mirent à sortir un tableau blanc et des compas pour travailler. Papyrus recule lentement.

Frisk: -Pap's? O-où vas-tu?

Papyrus: -NYEH, JE REVIENS FRISK.

Il partit avant que je lui attrape le bras pour le retenir. Je vais pour le rejoindre, il n'était pas dans son état normal, quelque chose le dérange. Soudain le temps s'arrête, plus rien ne bouge à pars moi et la porte noir me fixant comme pour m'attirer.

Frisk: -Ne pas la toucher... Ne pas la toucher...

Je continus de parler à voix haute.

Sans: -Et bien, et bien, on devient bipolaire?

Il me prend par la taille en me serrant les bras, je voulais lui asséner un coup de genoux mais son contact à l'air d'aspirer mes forces.

Sans: -Frisk, Frisk, Frisk qu'est-ce qu'on va faire de toi? Tu ne vois pas que Papyrus s'en fiche de toi?

Frisk: -Lâche-moi!

Il me caresse lentement les cheveux ce qui me fit frémir de dégoût.

Sans: -Rouge... Ça va bien avec ton caractère non? Comme le sang qui coule sur tes doigts...

Frisk: -Quel sang?

Je regarde mes mains, elles étaient tachées soudainement d'un liquide rougeâtre et collant, un goût métallique parcourut ma bouche. Il chuchote à mon oreille.

Sans: -Tu pourrais finir tout ça mais en auras-tu le courage? Je ne sais pas si statistiquement tu le feras ou tu voudras tout découvrir avant... C'est tellement excitant et recherché!

Mes yeux n'arrivent pas à se détourner du sang sur mes mains. Sans disparaît dans un nuage de fumé.

Le temps reprit lentement son court et avant qu'il soit totallement rétablit je me jette dehors. Tant de choses tournaient dans ma tête à ce moment, mais la première était Papyrus. Je mets de côté les paroles du sociopathe et cours déterminée pour le retrouver. Il était assis près d'une statue sous la pluie, pensif. Je prends un parapluie et le couvre avec.

Frisk: -Te voilà! Tu vas attraper froid!

Il sursaute et me regarde tendrement.

Papyrus: -D-DÉSOLÉ FRISK! JE N'AURAI PAS DU TE LAISSER COMME ÇA...

Frisk: -Ce n'est rien, tu vas bien!

Papyrus: -WOWIE ET MERCI POUR LE PARAPLUIE!

Frisk: -Derien!

Je pose le parapluie sur la statue, la boîte à musique se lance sous les orbites pétillantes de Papyrus et je lui prends les mains.

Frisk: -Allez! Viens danser!

Je le lève et me mets à danser au rythme de la musique. Il sourit et ses doigts s'entremêlent aux miennes. Nous dansons à petits pas et mon cœur cogne en même temps que les douces notes. Je deviens rouge lorsqu'il posa ces mains sur ma taille et qu'il m'approche de lui.

Frisk: -P-Papyrus?

Il mota les mots de la bouche en posant ses dents sur mes lèvres. Ce n'était pas désagréable, cette sensation à la fois tendre et folle. J'entoure mes mains sur ses épaules scellant les sentiments que j'avais sur le coeur.