✨Chapitre 7: My brother ? ✨

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« In your eyes, there's a heavy blue, one to love, and one to lose »

Il est impossible que quelqu'un soit entré par effraction à la villa, vu toute la technologie de pointe qu'on a devant et à l'intérieur du bâtiment personne sans invitation ne peut y mettre un pied. Mais malgré tout je n'avais pas confiance en la technologie qui m'a fait faux bond à plusieurs reprises durant des missions et qui avait failli couter la vie de mes clients.

Je brandis alors, toujours dans la cuisine avec Abigail une arme qui était cachée dans le tiroir en dessous de levier. Abigail voyait le métal s'illuminer dans ma main me regarda d'un air peu rassuré.

-« Aux grands maux les grands remèdes » Lui dis-je

-« Tu ne vas quand même pas t'en servir hein ? » Dit-elle faisant référence au revolver

-« Ça ne me dérangerait pas, en plus ça me manque de ne pas tirer. T'as entendu ou vu quelque chose ? »

-« Dans ta chambre, la porte était fermé mais on entendait un bruit bizarre comme quelqu'un qui fouillait. Sauf que j'ai entendu du bruit dans la cuisine j'ai conclus que c'était toi qui cusinait et donc qu'il y avait quelqu'un d'autre ici »

J'avançais en direction des escaliers, Abigail était derrière moi, je lui avais fait signe en montant de ne pas faire de bruit et de rester bien derrière moi. Plus je m'approchais de ma chambre plus le bruit qui y venait se faisait plus fort, il y avait bien quelqu'un dans ma chambre. A partir du moment où j'ouvrirais la porte deux solutions s'offriront à moi, sois je tuerais la personne, soit je la maîtriserais le temps que le FBI arrive et s'en charge. Ça dépendra du déroulement de la situation.

J'ai, malheureusement déjà tué, à trois reprises, c'était une fois pour me protéger et les deux autres fois pour protéger mon client, une riche femme d'affaire russe. Alors tuer une quatrième fois ne me posera pas de problème.

Nous étions devant la porte, je collais mon oreille à celle-ci et entendais toujours le vacarme. J'essayais de regarder par la serrure mais je n'arrivais pas à voir grand-chose. Doucement je tournais la serrure, j'ouvris à grand coup la porte et pointa mon arme sur la cause du raffut, c'est une blague ...

J'entendis Abigail soupirer de soulagement et même temps que mes muscles se décontractaient.

Il ne s'agissait que d'un simple corbeau qui était coincé dans ma chambre et qui essayait de s'échapper en vain, ma fenêtre étant fermée. En rentrant j'étais monté pour déposer mes affaires sur mon lit, j'avais ouvert la fenêtre car il faisait chaud le temps que j'aille prendre une rapide douche après le sport, j'ai ensuite fermé celle-ci sans m'être aperçut qu'il y avait un oiseau qui s'y était introduit. Situation ridicule Isaac

-« Heureusement que t'as pas tiré sur ce pauvre oiseau » Me dit Abigail

-« T'es encore là toi ?! Retourne dans ta chambre sombre idiote ! » Lui dis-je en ouvrant la fenêtre pour que l'animal s'en aille

***

Nous étions dans le salon, j'étais sur mon téléphone, l'autre faisait ses devoirs, elle avait même insisté pour que je fasse les miens aussi, mais à quoi bon, moi j'ai déjà un métier.

Tous les soirs je devais faire un rapport complet de la journée déroulée à mon patron, spécifier avec qui Abigail avait parlé dans la journée et surtout dire si ces personnes avaient un comportement suspect. Je devais même parler du moment gênant avec le corbeau, ce qui mettait une énorme claque à ma fierté et à mon professionnalisme.

J'observais Abigail qui réfléchissait à ses exercices pendant que je rédigeais

-« T'as des armes cachées dans la maison ? » Me demande-t-elle d'un coup

My BodyguardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant