Mafia Love

confessions

Olivier à Erika :

Toi tu vas gentillement tous m'expliquer, sinon ont feras très mal à ta copine.

Erika : touche là et je te tue salopard.

"Gifle de Olivier à Erika"

Olivier : toujours des menaces, mais toujours rien vu.
Ose encore me parler de la sorte et je te tue de mes propres mains.

Tiago,Cédric: vamos chèfe,ont a tous pris.

Erika: " je regarde jo, pour la rassure et la motive pour suivre tiago surtout, pas l'autre j'ai pas confiance en lui".

Olivier : bon maintenant que nous sommes que tous les deux explique moi et pas d'entoure loupe.

Erika : j'avais 8 ans quand mais parents son mort dans un accident de voiture, j'étais avec eux bien sur mais moi j'étais gravement blessé donc ils mon apporté à l'hôpital en hélico. Puis trous noir jusqu'au jour où je me réveil dans ce même hôpital à porto.
Un médecin, était là quand j'ai ouvert les yeux, ainsi que deux autres personnes un homme qui ressemblé fortement à mon père et un femme que je n'avais jamais vu.

Olivier : quoi un homme qui ressemble fortement à ton père ???

Erika: oui c'est mon tuteur avec sa femme, nous habitons en France. Et je suis en France depuis ma sortie de l'hôpital.
Je n'ai remis les pieds ici que très rarement du moins, pour aller chez mon papi, qui n'est plus des notre depuis l'an dernier à la même période.

À la base je suis venue avec Johanna pour lui changé les idées et pour que je puisse aller à sa tombe, il me manque."elle commence à pleurer".

Olivier : " merde elle pleure maintenant, je pense pas d'un bout de femme qui me paraît forte, qu'elle pleure facilement comme ça, je m'approche d'elle, lui prend le visage avec ma main".

Ne pleure pas, t'as l'ère d'êtres une fille forte, j'approche mon visage du sien, j'en meurs d'envie mais il faut pas. J'attrape son visage avec mais deux mains et pose mon front contre le sien. Et je dis princessa minha.

Erika: je le regarde, pourquoi est il aussi doux avec moi, il passe du chaud au froid, il a ses mains sur mon visage, j'ai envie de l'embrasser mais je ne sais pas quel va êtres sa réaction, donc je m'abstients. Il colle son front contre le mien. Je pensse que lui aussi il a envie mais  bon il ne fait rien. Jusqu'à ce qu'il me dise "princessa minha". Ma princesse.

Je l'embrasse.

Olivier : elle a fait le premier pas mais je la laisse pas menait se Longoureux baisse, je lui demande l'accès à sa bouche en lui mordillant sa lèvre inférieure, elle me l'a donné je la recul jusqu'à ce qu'elle touche le mur de sa chambre, lui soulèvent les cuisse en passent mais mains, qui ont parcouru son corps sous ses fesses bien ferme,hum cossa mía.

Elle s'écarte de moi, mais je ne la laisse pas faire, elle n'imagine même pas dans quels état elle me mais, quand je pensse qu'elle m'était Promise et qu'elle s'en doute même pas un peu. Que nous étions destiné à vivre enssemble, d'après les voeux de nos père.

Erika: stop Olivier, nous sommes pas là pour ça dit-elle.

Olivier: pour une douche froide s'en ai une ma belle là. Mi principessa.

Erika : arrêt si tu veux que je te raconte mon histoire, il faut que tu reste sage. "Mdr c'est moi qui est commencée et je le reprimande".

Olivier : ont parleras plus tard d'abord je m'occupe de toi, hein.
Ne dis plus rien est laisse toi faire.
Et arrête de me regarder comme sa si tu veux que je sois sage.