Dis-moi...?

44 10 6
                                    

Hey, sweetheart.

Dis-moi.

Dis-moi ce que tu vois au-delà des nuages.
Moi, j'ai plissé les yeux et j'ai vu l'ombre de ton sourire...

Je tend ma main vers le ciel à la recherche de ta voix,
Tu ne le vois pas.
Je tremble, j'ai besoin de ta main posée sur moi
Tu ne le sais pas.
Je suis au creux du feu, ce qui ne m'empêche pas d'avoir froid.
Tu ne te doutes pas.
Qu'avec des ailes nous pourrions partir loin de là.
Alors, dis-moi...
Qu'est ce que tu aimerais, toi ?...

Si un seul de mes vœux pouvait maintenant se réaliser, 
Je souhaiterais des ailes. 
Dans mon dos, à la manière d'un oiseau,
Je voudrais des ailes blanches.

Dans ce grand ciel, je veux étendre mes ailes,
Et m'envoler au loin.
Je veux que mes ailes se laissent porter
Dans ce ciel libre où la tristesse n'existe pas.

S'il s'agit de richesse ou d'honneur, je n'en ai pas besoin.
En revanche, je veux des ailes !
Le rêve que j'ai fait quand j'étais enfant,
Est toujours le même aujourd'hui.

Dans ce grand ciel, je veux étendre mes ailes,
Et m'envoler au loin.
Je veux que mes ailes se laissent porter,
Dans ce ciel libre où la tristesse n'existe pas. 

Je veux m'envoler, grâce à ces ailes symbole de liberté.
Oui, c'est avec toi que je veux m'échapper.

Illusions, désillusions ? Des chaînes sont pendues à mes pieds.
Illusions, désillusions ? Il ne me reste que des larmes à pleurer.
Illusions, désillusions ? Laisse moi encore à toi m'attacher.
Illusions, désillusions ? Je me demande : pourquoi ?

Si tu le sais, dis-moi...

J'ai vu beaucoup de bonjour et d'au revoir.
Ils m'ont abandonnée sans jamais être revenus.
Mais tu es apparu
Et tu as donné des couleurs à mon monde.

Ce que je ressens pour toi et moi
Est tellement vrai.
Tu me donnes envie
De croire à la vie
Comme je le faisais avant.

Je replie mon parapluie et je lève les yeux
Vers le ciel bleu, pour me trouver.
Je ne me connais même pas.

J'ai souvent gagné et souvent perdu,
Mais je pense savoir à quel point je tiens à toi.
Tu n'as pas à avoir peur,
Donne des couleurs à mon monde.

C'est en apprenant à te connaître que je me découvre.
C'est tout doucement que la fleur de mon coeur s'ouvre.
C'est impatiemment que j'attend que tu taches mon gris de tes propres couleurs.
De tes propres douleurs. Est-ce rouge, est-ce sang ? ...Est-ce le jour, est-ce l'heure ?

  Il est déjà temps...
Le soleil s'est couché et on ne voit plus d'ombre.
Je sais que je ne peux pas abandonner et que ma vie va se poursuivre.
Je resterai forte jusqu'à ce que je vois la fin...

Un ciel transparent se trouve au-dessus de moi.
Tant que je survivrai,
Tu feras partie de moi,
Tu seras un des fragments
Froids et abîmés en moi...
Un ciel transparent au-dessus de moi
M'enveloppe...  

Dis-moi ce que tu penses.
Dis-moi si 'nous' a un sens.
Dis-moi ce qu'est la transe.

Mais avant, laisse-moi le temps de t'apprendre ce que je suis.
Enfin...

Je crierai cet amour qui ne cessera de résonner 
Etreignant tout ce que j'ai !

Car c'est là que notre lumière se trouve.
Je repasse en revue mes pensées inébranlables. Je vivrai tant qu'il y a une once d'espoir.

Le commencement naîtra un jour, forgé de nos mains
Et avec ta gentillesse, je suis sûre que ta voix pourra changer le monde

Je crierai cet amour qui ne cessera de résonner
Alors que nous commençons à festoyer et à mieux nous connaître

Avec des sentiments que je ne peux abandonner
Je vivrai tant qu'il y a une once d'espoir
Ce rêve me relie à toi.

Si c'est un rêve, laisse moi le rêver.
Si c'est la réalité, laisse moi la vivre.

Dis-moi, est ce que tu aimes le crépuscule... ?

Dis-moi...?

Voilà ! Chose promise, chose due !
Les paroles en gras ne sont pas de moi....
Merci à :

Stubasa wo kudasai version BABYMETAL


Poésie d'un coeur maladeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant