Moi & le sorcier [ boyXboy ]✔

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La cinquième rue était remplie de monde. Pour marcher, on était obligés de pousser les personnes qui avançaient dans notre sens inverse, pour entrer dans le magasin, j'avais du presque frapper quelqu'un pour qu'on nous laisse entrer.

Tout chez les sorciers étaient du bazar.

Le magasin, contrairement à la rue,était vide. C'était le genre d'endroit à venir si on voulait trouver comme par exemple, des dents de dragon – des animaux extrêmement dangereux qu'on laisse tranquilles dans leur coin, les humains avaient bon les aimer, ces choses étaient des vrais machines à tuer.

-Que cherchez-vous, nous demande une voix prévenant de nulle part. Je déteste les sorciers.

-Dina, on cherche Dina.

Une femme aux cheveux bleus électriques très courts apparu devant nous. Ses vêtements étaient presque tous déchirés – chez les sorciers, c'était la nouvelle « mode »- et ses doigts étaient ornés d'une bonne vingtaine de bagues.

Comme son visage se ferma, je vus que c'était elle Dina.

-Ouais... c'est moi. Qui êtes-vous ?

-Des inspecteurs.

Voulant parler en privé, elle nous amena à l'arrière du magasin. Les bras croisés, elle nous demanda ce qui ce passait.

-Une personne qui est sur notre liste de recherche à possiblement passé par votre miroir. Est-ce que vous avez broyé l'historique de votre miroir.

-Non, s'exclama-t-elle choquée, c'est contre la loi ! Regardez, je n'aime pas les embrouilles depuis qu'on ma fermée pour avoir vendu des herbes hallucinogènes à des fées. J'ai pas touché mon miroir, d'accord ?

Nylo s'approcha d'elle.

-Êtes-vous rentrée hier soir chez-vous ?

Dina rougis, se tortillant mal à l'aise.

-Je suis restée chez un ami.

Un ami. Mais je la croyais,contrairement à Adam, son histoire l'embarrassai, je le voyais. Vu qu'elle n'était pas chez elle, cela voulait dire que n'importe qui aurait pu entrer dans sa maison comme on l'avait fait. Ce qui me surprenait tout de même, les sorciers ont tendance à remplir leur maison de sortilèges de protection.

On avait pas avancé de grand chose avec l'investigation et cela commençai à se sentir dans l'équipe.

-Tu viens boire un coup, me demanda quelqu'un dont franchement je ne connaissais pas le prénom.

-Pourquoi pas.

-Mais on allait revoir la scène du crime, dit Nylo d'une petite voix.

-Tu n'as pas besoin de moi si tu veux y aller.

Oh, il allait dire quelque chose, je le voyais, mais l'avait tue avant que le mal ne soit fait. Il fini par acquiescer, s'éloignant.

Est-ce que j'étais préoccupé quand je ne le vus pas arriver le soir ?

Je voudrais pourvoir dire non.

Il aurait pu aller chez quelqu'un, je ne sais pas, chez sa famille, chez un ami. Après tout, je ne suis pas le colocataire le plus facile à vivre au monde. Je m'attendais à plein de choses mais pas à mon chef, toquant à la porte de chez-moi au petit matin.

-Habille-toi.

Normalement, quand une personne nem'adresse pas beaucoup la parole, c'est mauvais signe. Je me suis alors habillé et dépêché à partir.